je suis venu, j'ai cliqué,
Sexe (516 blagues)
Voir aussi :
Le mari sort de la salle de bains complètement nu et très en forme.
Voyant venir son mari, la femme lui dit :
— Pas ce soir, chéri, j’ai très mal à la tête…
— Ça tombe bien : j’ai saupoudré mon sexe avec de l’aspirine. Tu le veux en cachet ou en suppositoire ?
L’Enfer, un problème thermodynamique
Un professeur de Thermodynamique a rédigé un jour un problème à résoudre à la maison pour ses étudiants. Il ne contenait qu’une question :
L’Enfer est-il exothermique (rejette de la chaleur) ou endothermique (absorbe de la chaleur) ?
Justifiez votre réponse.
La plupart des étudiants écrivirent diverses démonstrations utilisant la loi de Boyle (un gaz se refroidit lorsqu’il est en expansion et se réchauffe lorsqu’il est compressé). Un étudiant, pourtant, écrivit ce qui suit :
D’abord, nous devons connaître la variation de la masse de l’Enfer au cours du temps. Pour cela, nous devons connaître la vitesse à laquelle les âmes entrent en l’Enfer et la vitesse à laquelle elles en sortent. Je pense que nous pouvons de manière certaine considérer qu’une fois qu’une âme est arrivée en enfer elle n’en repart pas. Donc, aucune âme ne sort.
En ce qui concerne le nombre d’âmes entrant en Enfer, examinons les différentes religions existant dans le monde aujourd’hui. Certaines de ces religions établissent que si vous n’en êtes pas membre vous irez en Enfer. Du fait qu’il existent plusieurs de ces religions et que les gens n’appartiennent pas à plus d’une religion, nous pouvons déduire que tout le monde donc toutes les âmes vont en Enfer.
Les taux de naissance et de mortalité étant ce qu’ils sont, nous pouvons nous attendre à un accroissement exponentiel du nombre d’âmes en Enfer.
Maintenant, regardons la vitesse de changement du volume de l’Enfer en tenant compte de la loi de Boyle qui établit que, si la température et la pression en Enfer ne varient pas, son volume doit s’accroître losque l’on ajoute des âmes. Ceci nous donne deux possibilités :
* Si l’Enfer s’étend plus lentement que n’arrivent les âmes, alors la température et la pression augmentent jusqu’à ce que l’Enfer s’échappe.
* Bien sûr, si l’Enfer s’étend plus rapidement que l’arrivée des âmes, alors la température et la pression vont diminuer jusqu’à ce que l’Enfer se mette à geler.Quelle est la bonne réponse ?
Si nous acceptons le postulat qui m’a été énoncé par Melle Therese Banyan durant ma première année de fac, « Il fera froid en Enfer avant que j’accepte de sortir avec toi », et si on prend en compte le fait que je n’ai toujours pas réussi à avoir de relations sexuelles avec elle, alors la solution 2 ne peut être vraie.
Conclusion : l’Enfer est exothermique.
Cet étudiant a été le seul à avoir la plus haute note.
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Le patron d’une entreprise vient d’engager un homme, lequel doit se présenter au travail le lundi.
Le lundi matin, l’homme téléphone et dit qu’il est malade.
Le patron l’excuse et, le mardi matin, le nouvel employé arrive et travaille tellement bien le restant de la semaine qu’il gagne le respect de tout le monde.
Le lundi d’après, il téléphone et annonce qu’il est malade.
Le patron l’excuse une fois encore, non sans noter que ça fait le deuxième lundi qu’il lui fait le coup.
Le type arrive le mardi matin et travaille tout le restant de la semaine encore mieux que la semaine précédente.
Le troisième lundi, le type téléphone : il est malade.
Le patron l’excuse, mais prend note de le convoquer le lendemain matin.
Le mardi matin le type arrive et est immédiatement convoqué dans le bureau du patron.
— Écoutez, vous êtes un excellent employé, je n’ai absolument pas à me plaindre de vous, mais ce n’est plus possible. Vous ne pouvez pas être malade tous les lundi.
— C’est que, voyez-vous, ma sœur a fait un très mauvais mariage et j’ai l’habitude de passer chez elle tous les lundis matin avant d’aller travailler pour la réconforter. Une chose menant a l’autre, nous finissons par faire l’amour toute la journée.
— Avec votre sœur ? Mais c’est dégoûtant !
— Je vous avais dit que j’étais malade !
Le petit Jojo rentre dans une pharmacie et annonce à haute-voix :
— Bonjour, j’aimerai trois douzaines de capotes dans différentes tailles…
Tout le monde reste perplexe… Le pharmacien :
— Primo : on ne parle pas aussi fort ! Secundo : ce que tu demandes ce n’est pas pour les enfants ! Tertio : dis à ton papa de faire ce genre de courses lui-même !
Jojo ne se laisse pas démonter :
— Primo : à l’école on m’a appris de parler fort et de bien articuler ! Secundo : ce que je veux ce n’est pas POUR les enfants mais POUR LES ÉVITER ! Tertio : Papa n’a pas à le savoir : c’est maman qui part aux Baléares pour 15 jours !
Le petit Pierre revient de l’école et demande à son père :
— Papa, j’aurais besoin de tes lumières. Pourrais-tu me parler de la politique ? J’ai un devoir à rendre pour demain.
Après un instant de réflexion, son père lui répond :
— Bien, je pense que la meilleure méthode pour t’expliquer tout cela est de faire une analogie avec notre famille. Je suis le capitalisme car je nourris la famille. Ta mère est le gouvernement car elle contrôle chaque chose. La bonne est la classe ouvrière car elle travaille pour nous. Toi, tu es le peuple et ton petit frère, c’est la future génération. En espérant que cela puisse t’aider pour ton devoir.
— Merci Papa, dit le petit Pierre. Je ne comprends pas tout mais je vais y réfléchir.
Dans la nuit, le petit Pierre est réveillé par les cris de son frère.
Il constate que ses couches sont sales.
Il se rend dans la chambre de ses parents et essaie de réveiller sa mère sans succès.
Il remarque que la place de son père est vide.
Il retrouve son père au lit avec la bonne. En désespoir de cause, il retourne se coucher.
Le matin suivant, au petit déjeuner, il dit à son père :
— Papa, je crois que cette nuit, j’ai tout compris à la politique.
— Excellent mon garçon. Et qu’as-tu compris ?
— J’ai appris que le capitalisme baise la classe ouvrière tandis que le gouvernement roupille, ignorant le peuple et laissant la génération future dans la merde.
Le petit Toto et la petite Nini sont en train de jouer à « Montre-moi le tien d’abord, et je te montrerai le mien ensuite. » Nini demande à Toto en montrant la partie impaire de l’anatomie de Toto qui lui fait défaut :
— Qu’est-ce que c’est ça ?
— Ça c’est mon zizi.
Alors Nini lui dit :
— Eh bien mon papa, il en a deux comme toi : un petit pour faire pipi, et un gros pour brosser les dents de la femme de ménage.
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C’est un type qui arrive dans une ferme de Bigorre et qui demande l’hospitalité. Le fermier lui demande ce qu’il fait dans la vie :
— Putain, moi je suis poète, poète provençal, un troubadour quoi !
Le fermier accepte de l’héberger dans la grange, puis il voit sa fille :
— Oh, y a un type bizarre dans la grange, y dit qu’il est poète !
— Je vais voir ça, dit la fille !
Elle se pointe dans la grange.
— Alors comme ça, vous êtes poète ?
— Beh ouais, je fais des vers, des rimes, c’est quoi ton nom ?
— Moi c’est Gervaise !
— He ben Gervaise, vient par ici que je te baise !
Il la prend, la couche sur le foin et lui fait son affaire, bim-bam-boum ! Ravie, la fille revient voir son père :
— Il est super ce gars, il fait des super poèmes !
La mère dit :
— Bon beh moi aussi je vais voir ça !
— Alors comme ça vous faites de la poésie ? demande-t-elle.
— Putain, ouais, je suis un barde, un troubadour, c’est quoi ton nom ?
— Moi c’est Pauline !
— Ah Pauline, viens par la que je te pine !
Il se rue sur elle et rebelote, bim-bam-boum ! dans le foin. La mère retourne à la ferme.
— Extra, il m’a fait un grand poème, boudiou c’était beau !
Le mari dit alors :
— Vingt diou, y faut que j’aille voir ça moi aussi !
La mère et la fille se jettent alors sur lui en criant :
— HERCULE ! NON ! N’Y VA PAS !
Les 16 types de crottes
LA CROTTE FANTÔME :
C’est celle que tu sens sortir, que tu vois sur le papier mais pas dans la cuvette…
LA CROTTE PROPRE :
C’est celle qui sort, que tu vois dans la cuvette mais pas sur le papier…
LA CROTTE ÉTERNELLE :
Tu t’essuies, tu t’essuies, tu t’essuies… Mais il en reste toujours sur le papier. Tu décides alors de remonter ton pantalon et de mettre une feuille de papier dans le caleçon pour éviter les traces de freinage…
LA CROTTE 2 :
Le retour de la revanche de la suite qui contre-attaque :
Tu as fini mais quand tu remontes ton pantalon tu t’aperçois qu’il faut que tu chies encore un peu…
LA CROTTE QUI TE FAIT POUSSER UNE VEINE SUR LE FRONT :
C’est celle qui te fait forcer tellement fort que tu as peur de la crise cardiaque…
LE BILLOT :
C’est celui qui est tellement gros que tu as peur de le casser en tirant la chasse. Tu es surpris mais fier que cela vienne de toi…
LA CROTTE J’AIMERAIS QUE ÇA SORTE :
Tu veux chier, tu sens qu’elle est proche, mais tout ce que tu as ce sont des crampes et des pets…
LE BOUT DE LA CROTTE :
C’est celle qui fait tellement mal que tu jurerais qu’elle sort de travers…
LA SPLASHEUSE :
C’est celle qui sort avec tellement de vitesse ou qui est tellement lourde qu’elle t’éclabousse le cul…
LA CROTTE DU LENDEMAIN DE FÊTE (ou CROTTE AU NAPALM) :
C’est le liquide jaune brun qui éclabousse toute la cuvette et qui te brûle le cul…
LA CROTTE DE LAPIN :
Ce sont les toutes petites boules. Certaines coulent d’autres flottent…
LA CROTTE SURPRISE :
Tu penses que tu vas péter, mais tu réalises que tu vas chier et c’est déjà trop tard…
LA CROTTE TIME-OUT :
C’est quand tu es en train de faire une bonne crotte dans les toilettes publiques et que tu dois t’arrêter car tu ne veux pas que la personne d’à côté t’entende…
LA BRUYANTE :
C’est tellement bruyant que tout le monde autour rigole…
LA MEXICAINE :
Elle sent tellement fort qu’elle te pique le nez…
LA CROTTE SAUT À L’ÉLASTIQUE :
Celle qui refuse de tomber bien que tu saches qu’elle est sortie. Tu espères qu’en te secouant le derrière elle va se décrocher…
🔗Voir la blague
- Clitoris
- Son voisin le plus proche est un trou du cul
- Il fait souvent des pertes
- Saigne régulièrement du nez
- Se fait souvent inondé
- A un front flasque avec des joues bouffies.
Les sept défauts du pénis :
- Il a un trou dans la tête…
- Il a des cernes autour du cou…
- Il a 2 gosses à charge…
- Son voisin le plus proche est un trou du cul…
- Il travaille au noir…
- Il paye en liquide… Et,
- Il s’évanouit après le travail…