je suis venu, j'ai cliqué,
Arabe (46 blagues)
Voir aussi :
Aujourd’hui c’est la rentrée scolaire au collège de Neuilly.
Tous les élèves sont réunis dans la cour autour du proviseur qui fait l’appel pour l’affectation des élèves classe par classe.
Le Proviseur en arrive aux élèves de 5ème :
— Henri-Paul de la Turbinière
— Oui, Monsieur le Proviseur, répond l’Élève
— 5ème A, dit le Proviseur.
— Charles-Louis de Pareille
— Oui, Monsieur le Proviseur, répond l’Élève
— 5ème C dit le Proviseur.
— Louis-Nicolas-Édouard de Hautebourg
— Oui, Monsieur le Proviseur, répond l’Élève
— 5ème B dit le Proviseur.
Et ainsi de suite. Arrive le nom du dernier élève :
— Mohammed Ben Mameth, dit le Proviseur
— Ouech, répond l’Élève
— Terminal A, dit le Proviseur
Et Mohammed :
— Hé Msieur le Proviseur Ziva, j’y suis en 5ème pas en Terminale
Le Proviseur lui répond :
— Mohammed Ben Mameth : Terminal A, Roissy Charles-de-Gaulle 22h00…
Au lycée, dans le 93, en cours d’histoire, le professeur pose une question aux élèves de quatrième :
— Qui a cassé le vase de Soissons ?
— C’est pas moi, m’sieur, dit Mohamed.
— C’est pas moi non plus, crie Rachid.
— Ni moi, dit Mouloud.
— Ci pas moi mssio, dit Mustapha.
Et toute la classe braille et nie avoir cassé le vase, ce qui finit d’anéantir le pauvre professeur.
Le soir après les cours, il va raconter au principal ce qui s’est passé dans sa classe.
C’est trop grave, il faut prévenir l’Inspecteur d’Académie !
L’inspecteur vient le lendemain et après s’être fait relater les faits, dit :
– Ça va trop loin, il faut en aviser le Ministère…
Et les voilà, tous les trois, le lendemain à Paris, au Ministère de l’Éducation Nationale.
Ils racontent ce qui s’est passé au ministre, qui les écoute avec attention.
Après un moment de réflexion, le ministre va fouiller dans ses poches et en sort deux billets de 50 euros qu’il tend au professeur en lui disant :
— Pas de vagues avec les musulmans et pas de scandale en période électorale, surtout pas ! Prenez cet argent, vous rachetez un autre vase, vous le mettez à la place du premier, vous ne dites rien à personne, et on étouffe l’affaire !
🔗Voir la blague
À un congrès international d’émancipation de la femme la première à prendre la parole est allemande :
- Ponchour, mon nom est Birgit, et un matin, ch’ai ortonné à mon mari : « Helmut, prépare le tîner, LOS, SCHNELL !!! » Le bremier chour, che n’ai rien fu, le teussième non plus, mais au pout du droissième, Helmut m’a brébaré à tîner !
Applaudissements nourris.
C’est au tour d’une Italienne :
- Buon giorno a tutti, zé m’appelle Isabella, et un matin, z’ai dit à mon mari : « Luigi, à partir dé domani, tou va nettoyer toi-même la maison, capito ? » Lé prémier zour, ze n’ai rien vou, lé deuxième non plou, ma lé troisième, Luigi avait passé l’aspirator…
Ovation générale.
Arrive une Marocaine :
- Bijour, mon nom c’y est Aïcha, et un beau matin, ji dit comme ça à mon mari : « Ahmed, ripasse donc le linge, spice di fainéant ! ». Le premier jour, ji rien vu, le deuxième jour, ji rien vu non plus, mais le troisième jour, ji recommencé à rivoir un piti peu di l’œil gauche !
Au retour d’une réunion du rassemblement national, deux sympathisants qui avaient un peu arrosé l’évènement, percutent avec leur 4x4 la Clio de trois Maghrébins.
Le choc est terrible. Les deux membres du parti, quoique secoués, s’en sortent sans une égratignure. Ils s’extirpent de leur véhicule pour constater les dégâts.
Sous la violence de l’impact, un des Maghrébins a été éjecté. Il gît sur le sol dans une mare de sang.
Le pauvre est mourant. Le conducteur du 4x4 sort alors un pistolet qu’il avait dans sa boite à gants « au cas où », et pointe son arme vers le blessé.
— Je dois l’abattre, dit-il, C’est un être humain qui souffre…
Il descend le pauvre homme sans sourciller et ouvre ensuite la portière de la Clio.
Le passager de la voiture tombe comme une masse à ses pieds. Lui aussi est agonisant.
Pâle comme la mort, il doit souffrir d’une hémorragie interne.
L’homme sort son arme de nouveau :
— Cet homme doit souffrir et n’a plus aucune chance de survivre. Je dois l’achever pour son bien…
Il tire alors deux coups dans le corps du pauvre gars.
Aussitôt après, il entend alors une voix tremblotante de terreur qui provient de l’arrière de la voiture :
— Pitié, pitié ne tirez pas. Je vais bien, vous voyez je n’ai rien !
Alors l’extrémiste pointe son revolver vers le troisième Maghrébin sur le siège arrière de la voiture et il dit :
— C’est un être humain qui souffre et qui, de plus, est un sacré menteur…
Ça y est, j’ai rebaptisé mon chien…
J’ai réussi à obtenir une indemnité de chômage pour mon chien !
D’abord l’ANPE ne voulait rien savoir, mais après une discussion approfondie, les choses s’arrangeaient.
La dame derrière son guichet :
— Mais Monsieur, c’est un chien !
Sur quoi je lui répliquais :
— Il n’a pas choisi d’être un chien et donc vous ne pouvez pas le discriminer sur la base de sa race !
Elle ne s’attendait pas à cette réplique et hésitait quand même. Alors j’ai sorti mon argument extrême :
— Il est noir, bouclé, ne parle pas un mot de Français et n’a jamais travaillé de sa vie. En plus il vole tout ce dont il a envie.
Suite à ça, mon toutou a obtenu non seulement le chômage mais également les allocations familiales, les soins médicaux gratuits et nous, une maison avec jardin pour le chien ! Du coup je l’ai rebaptisé.
Maintenant il s’appelle « MOHAMED ».
C’est Mohammed le maghrébin qui dit à sa femme enceinte :
— Je veux donner un prinom à mon fils qui « passe partout » pour qu’il ne counisse pas le racisme comme ji l’ai connou ! Qu’est-ce qui ti ponse de « ROUGE TI STOP » ou « VERT TI PASSE » ?
Sa femme le regarde choquée et dit :
— Mais ça va pas ? Tu as perdu la tête !!! C’est pas un prénom ça !
Son mari lui répond alors :
— Attond, le voisine il a bien appilé son fils « JAUNE ATTEND »
C’est un Algérien qui roule à moto avec son sexe dans le réservoir.
Il se fait arrêter et le flic lui dit :
— Monsieur, vous roulez à 200 km/heure et en plus avec le sexe dans le réservoir !
L’algérien répond :
— Si pas moi, si lé vendeur. Il m’a dit « si ti roule vite, la moto elle suce boucou » Alors, jissaie pour voir !
Comment les Juifs ont-ils hérité des dix commandements ?
Dieu alla voir les Arabes et leur dit :
— J’ai 10 commandements pour vous qui amélioreront votre vie.
Les Arabes demandèrent :
— C’est quoi des commandements ?
Et Dieu répondit :
— Ce sont des règles de vie.
— Pouvez-vous nous donner un exemple ?
— Tu ne tueras point.
— Pas tuer ? Pas intéressés.
Alors il est allé voir les Noirs :
— J’ai des commandements.
Les Noirs voulurent un exemple et Dieu dit :
— Honore ton père et ta mère.
— Père ? On ne connaît pas nos pères. Pas intéressés.
Il alla voir les Mexicains et dit :
— J’ai des commandements.
Les Mexicains demandèrent un exemple et Dieu dit :
— Tu ne voleras point.
— Pas voler ? Pas intéressés.
Il alla voir les Français avec la même offre.
— Un exemple ? « Tu ne commettras pas d’adultère. »
— Pas d’adultère ? Pas intéressés.
Il alla voir les Juifs et dit :
— J’ai des commandements.
— Commandements ? Combien ça coûte ?
— C’est gratuit.
— OK, on en prend dix
Dans une caserne, l’adjudant rassemble tous les nouveaux et hurle :
– Les bretons et les Corses à gauche ! Les alsaciens et les lorrains à droite ! Les provençaux et les normands devant !
S’ensuit un grand remue-ménage. Quand enfin la poussière se dissipe, l’adjudant voit qu’il reste trois maghrébins et deux noirs au milieu de la cour. L’un d’eux lève la main et demande :
– Et nous les Français, on va où ?
Dans une école primaire très BCBG d’Auteuil, une institutrice fait un petit cours à ses élèves sur le thème de la richesse et de la pauvreté. Elle cherche à faire comprendre aux enfants que aussi riche que l’on soit financièrement parlant, on ne peut pas tout avoir.
À la suite de cette affirmation, un premier élève lève le doigt :
— Moi mon papa, il a tout ! L’écran plat, l’ordinateur portable…
L’institutrice répond :
— Mais est-ce qu’il a un bateau ???
L’élève répond que non.
L’institutrice :
— Alors tu n’as pas tout !
Un deuxième élève dit alors :
— Mon papa à moi, il a tout : l’écran plat, l’ordinateur portable et le bateau.
L’institutrice :
— Peut-être, mais est-ce qu’il a un jet privé ?
L’élève répond que non.
L’institutrice :
— Alors tu n’as pas tout !
Un troisième élève (appelons le Thomas De La Mastardière… mais ses petits copains le surnomment Toto) se lève alors :
— Eh bien moi, mon papa à moi, c’est sur qu’il a tout : parce que quand ma sœur a ramené l’autre jour son petit copain Rachid à la maison, mon papa il a dit : « Eh bien, il ne nous manquait plus que ça !!! »