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Allemand (33 blagues)
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Ce mois de mai avec plein de ponts vous est offert par Jésus et Hitler. Jésus et Hitler, partenaires de vos loisirs.
🔗Voir la blagueCe moment gênant où le correcteur iPhone transforme « Je suis naze, je vais me coucher » en « Je suis nazi, je vais te doucher ».
🔗Voir la blagueCe site de généalogie est vraiment une arnaque !
Les résultats me disent que je suis 85% allemand et 10% bavarois, mais je sais avec CERTITUDE que mes grands-parents ont émigrés aux États-Unis depuis l’Argentine !
🔗Voir la blagueC’est l’histoire d’un Allemand qui visite la France et qui s’arrête à coté de deux types qui attendent le bus. Il demande :
— Entschuldigung, bitte, sprechen Sie Deutsch ?
Les deux Français le regardent en silence.
L’Allemand :
— Spreekt u misschien Nederlands ?
Les deux Français ne bougent pas…
L’Allemand essaye alors :
— Sorry, do you speak English ?
Les deux autres continuent à le regarder.
L’Allemand :
— Parlare Italiano ?
Pas de réponse.
L’Allemand :
— Habla usted Espanol ?
Toujours rien.
L’Allemand hoche alors la tête d’un air dégouté et s’en va.
Le premier Français dit alors à l’autre :
— Tu ne crois pas qu’on devrait quand même apprendre une langue étrangère ?
L’autre lui répond :
— Pourquoi ? Ce type en connaissait cinq et ça ne lui a servi à rien !
Cinquante habitants d’un petit village du centre de l’Allemagne ont été submergés par un torrent pestilentiel lorsque 270.000 litres de purin échappés d’un silo se sont répandus dans leurs rues.
Le purin a envahi mardi soir les rues d’Elsa, un hameau situé près de Coburg dans le nord de la Bavière à la suite de l’éclatement d’un silo pour des raisons encore non élucidées. Les flots nauséabonds ont atteint par endroits une hauteur de 50 centimètres.
Les autorités ne pouvaient pas se prononcer mercredi sur une éventuelle pollution de la nappe phréatique.
Les pompiers ont dû ériger des barrières de neige pour tenter d’endiguer le flot d’excréments avant de réussir à le pomper.
À la fin de l’opération les secouristes n’avaient qu’une envie : « se doucher », selon un porte-parole.
🔗Voir la blagueDans les tranchées pendant la guerre. Il y a le coté des Français, et celui des Allemands.
Coté des Français :
— Bon les gars j’ai une idée du tonnerre !
— Vas-y raconte !
— Bon, comme vous le savez, tous les boches s’appellent Hans… et bien voila ce que nous allons faire…
Après avoir chuchoté quelques consignes, un des français sort de la tranchée avec son fusil pendant qu’un autre crie :
— Hans chéri ! Tu es là ?
À ce moment, un allemand se lève en criant
— Yawohl ?
Le tireur français n’hésite pas, il tire et tue le boche !
Toute la soirée, ils se moquent des Allemands en répétant cette action…
Coté allemand, on n’est pas en reste :
— Arrrr camarades !….Il faut se fencher ! Tous les français s’appellent Chean (Jean), nous avons les afoir !
Un allemand prépare son fusil tandis qu’un autre est chargé d’attirer le français…
— Jean ?
— Ça dépend, c’est Hans ?
Étude du comportement masculin
L’homme arrive à la maison et retrouve sa femme au lit… avec un autre.
Réactions :
- L’Allemand : Décide de faire une thérapie : Freud peut tout expliquer !
- Le Belge : Après une longue réflexion décide de les rejoindre au lit et fait ménage à trois.
- Le Portugais : Comme il est très machiste il tue l’amant. Comme il est très catholique il reste marié.
- L’Italien : Tue l’amant, tue sa femme, prend sa Ferrari rouge et va manger une pizza. Après une semaine il tombe amoureux de la femme de son meilleur ami.
- Le Russe : Désespéré, se met à pleurer. Ensuite il boit une bouteille de vodka et va tuer quelques innocents en Tchétchénie.
- L’Africain : Frappe sa femme, tue l’amant, coupe son pénis et le pend derrière la porte pour se protéger des mauvais esprits.
- L’Anglais : Pense au Prince Charles qui a vécu une expérience similaire. Mais espère que sa prochaine femme sera moins moche que Camilla…
- Le Chinois : Accepte la situation. Après tout il a déjà 5 filles et avec un peu de chance sa femme pourrait bien tomber enceinte d’un garçon.
- L’Américain : Reste marié mais se venge avec la première stagiaire qui entre dans son bureau !
- Le Suisse : Il pardonne sa femme… Car après tout elle a bien le droit d’avoir un orgasme de temps en temps…
- et Le Français : lui il n’a pas encore retrouvé sa femme au lit vu qu’il est devant son poste de télévision à attendre le premier but marqué par les Bleus…
Hitler est au paradis. Tout le monde se demande pourquoi il est au paradis, saint Pierre, Jésus, même Dieu, mais c’est ainsi, il est au paradis. Il a gardé la même coiffure avec la mèche, la même moustache, le même uniforme, avec la culotte de cheval, les bottes, la casquette, les gants, la badine. Il casse les couilles à tout le monde.
Il n’arrête pas de donner des ordres, de dire que tout va mal, que la propreté des lieux laisse à désirer. Il oblige les anges à des inspections, il exige d’eux qu’ils défilent au pas, que pas une plume de leurs ailes ne dépasse. Le paradis est devenu un enfer. Tout le monde en a plein le cul. Enfin un jour, bonne nouvelle, saint Pierre, joyeux comme tout, déboule
chez Dieu :
— Hitler a posé une demande de permission pour retourner sur la terre.
— Oh ! là ! là ! Amène-le moi immédiatement.
Hitler arrive dans le bureau de Dieu. Il claque des bottes.
— Écoutez, mon vieux, arrêtez de claquer des bottes, vous me gonflez avec ça.
— Ché né peu pas m’en empêcher, z’est la Natur.
— Bon, bon, d’accord. Vous avez posé une permission, paraît-il…
— Oui, ché foudré dezendr zur terre pour foir zi…
— Vous me promettez de ne pas faire de conneries ?
— Ché fous le promez, ché ne feré pas de Konneries.
Et de claquer des talons de plus belle.
— Ne claquez plus des talons, soyez gentil, monsieur Hitler. Et votre badine, là, vous voyez bien que vous me dérangez avec, vous êtes en train d’éteindre ma bougie.
— Jé m’excuz, mezzieur Tieu.
— Bon, je vous autorise à aller sur terre, mais vous rasez votre moustache, vous vous coupez les cheveux en brosse, vous les teignez en blond, vous supprimez votre mèche, vous enlevez votre costume, votre casquette, vos bottes, tout le saint frusquin, et vous remplacez tout ça par un grand tee-shirt Mickey, un short large façon sport et des basquettes.
— Yawohl, aber warum…
— Nicht warum, c’est comme ça, plus d’uniforme, de putains de bottes, de mèche.
Hitler claque une nouvelle fois des bottes.
— Qu’est-ce que je vous ai dit ? Ne claquez plus des bottes, nom de nom.
— Toutes mes excuzes, mezzieur Tieu. Ché fous promets que temain ché serai un autre homme.
Et le lendemain, incroyable, Hitler revient complètement transformé. Il a coupé sa moustache, il est teint en blond
et coiffé en brosse, il porte un tee-shirt Mickey, un short large, des basquettes.
Il claque néanmoins des basquettes (La Natur, que voulez-vous !)
— Ne claquez pas des basquettes, c’est absurde.
— Excusez-moi, c’est…
— Oui, oui, la Nature, je sais, je sais… Bon, vous allez sur terre le temps que vous voulez et vous ne faites
pas le con, vous restez peinard.
— Ché fous remerzie.
Et Hitler descend sur terre. Aussitôt, c’est la fête au para- dis. Caviar, saumon, champagne pour tout le monde.
Dieu, Jésus, saint Pierre, les apôtres, les anges, tous respirent. « Enfin barré ce con, ah ! là ! là ! quel bonheur, ah ! qu’est-ce qu’on se sent mieux ! »
Manque de bol, deux heures plus tard, toc, toc, on frappe à la porte du paradis. Saint Pierre qui a été ouvrir n’en croit pas ses yeux. C’est pas possible. Hitler est déjà de retour. « Ah non, pas ça, c’est pas vrai. » Il finit quand même par lui ouvrir. Consternation générale et c’est un Hitler toujours avec son tee-shirt Mickey, les cheveux courts, le short large, les basquettes qui réapparaît sanglotant.
À le voir ainsi, les habitants du paradis auraient presque pitié de lui :
— Asseyez-vous, monsieur Hitler, lui dit Dieu. Qu’est-ce qui se passe ? Vous m’avez demandé une permission pour redescendre sur terre…
— Katastrof, Katastrof, gross Malheur, kolossal Katastrof.
— Mais que se passe-t-il ? Je vous avais dit que vous pouviez passer tout le temps que vous vouliez sur terre. Ça fait pas deux heures que vous êtes parti que vous êtes déjà revenu !
— Ché ne feu plus chamais rétourner sur terre. Ché feu rester au paradis avec fous tous, fous êtes ma fraie
famille.
— Quelle horreur, mais qu’y a t-il ?
— Ché ne peux pas fous expliker, fous ne pou-vez pas comprendre, gross Malheur, atroce, horrible.
— Mais quoi, quoi ?
Et dans un sanglot, Hitler s’écrie :
— Maintenant sur terre ce sont les Allemands qui font des affaires et les juifs qui font la guerre.