je suis venu, j'ai cliqué,
Policier (85 blagues)
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Il est 23 heures passées, deux gars complètement ivres sortent de chez un collègue chez qui ils sont allés boire l’apéro. L’un dit à l’autre :
— Ouktami la bagnole ?
L’autre lui répond :
— Chaiplus !
— Bon je vais chercher par là et toi par là…
Et les voilà qui tâtent le toit de deux voitures.
— C’est pas celle-là !
— Pas celle-là non plus !
Et ils tâtent les toits de 2 autres tires.
— Pas celle-là…
— Pas celle-là non plus…
Et ils continuent !
Un mec qui promène son chien, intrigué, demande au plus proche :
— Je ne suis pas curieux mais j’aimerais savoir, comment vous pouvez reconnaître votre voiture en tâtant le toit ?
Un des mecs bourrés lui répond :
— Tout simple, sur le toit de la nôtre il y a un gyrophare bleu…
À la douane néerlandaise, le douanier :
— Vous avez de l’alcool ?
— Non.
— Vous avez des armes ?
— Non.
— Vous avez de la drogue ?
— Non.
Après avoir jeté un bref coup d’œil alentour, le douanier :
— Vous en voulez ?
Après avoir rangé les bagages du Pape dans le coffre de la limousine, le chauffeur réalise que le Pape est resté sur le trottoir.
— Excusez-moi, Votre Sainteté », dit le chauffeur. « Voudriez-vous, je vous prie, vous asseoir pour que nous puissions partir ?
— Pour vous dire la vérité, dit le Pape, ils ne veulent pas me laisser conduire au Vatican, et j’aimerais beaucoup pouvoir le faire aujourd’hui.
— Je suis désolé, mais je ne peux pas vous laisser faire cela. Je perdrais mon job ! Et que faire s’il arrive quelque chose ?, proteste le chauffeur, qui aurait aimé être ailleurs ce matin là.
— Je ferai quelque chose de spécial pour vous, dit le Pape.
De mauvaise grâce, le chauffeur passe à l’arrière et le Pape s’installe derrière le volant. Très vite, le chauffeur regrette sa décision, quand après avoir quitté l’aéroport, le souverain pontife met la pédale au plancher accélérant jusqu’à 140 km/h.
— Je vous en supplie, votre Sainteté, ralentissez ! implore le chauffeur très inquiet. Mais le Pape continue jusqu’à ce que les sirènes de police retentissent.
— Je vais perdre mon permis, s’écrie le chauffeur.
Le Pape se range sur le coté et baisse sa vitre quand le policier s’approche. Dès que celui-ci voit le Pape, il retourne à sa moto, ouvre sa radio et dit à son chef qu’il a arrêté une limousine roulant à 140 km/h.
— Où est le problème ? Bouclez-le !, dit le chef de police.
— Je ne pense pas qu’on puisse faire ça, c’est quelqu’un de très important !
— Il n’y a pas de raison !
— Non, je veux dire réellement important !
— Qui avez-vous coincé ? Le maire ?
— Plus gros.
— Un sénateur ?
— PLUS GROS.
— Bien ! Dites-moi qui c’est !
— Je pense que c’est Dieu lui-même !
— Vous vous moquez de moi ? Qu’est-ce qui vous fait croire que c’est Dieu ?
— Il a le Pape comme chauffeur… !
Avec un sourire épanoui, un policier s’écrie, après avoir examiné le permis de conduire d’une contrevenante :
— Enfin, j’en tiens une ! Hé bien, madame l’institutrice, avant de reprendre le volant, vous allez me conjuguer par écrit à tous les temps de l’indicatif et du subjonctif la phrase suivante : « je ne dois pas rouler à 120km/h quand la limite est fixée à 90 ».
🔗Voir la blagueBêtisier des rapports de police :
- Dans ce conflit, le rôle des forces de l’ordure a été déterminant…
- C’est alors que le suspect a eu l’audace de s’endormir pendant que nous l’interrogions.
- Interrogé par nos soins, l’homme a alors menacé de nous répondre si on continuait à l’interroger…
- L’homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l’inspecteur à la bouche.
- Le garçon de café était une femme…
- L’homme nous raconta toute la vérité qui n’était qu’un tissu de mensonges.
- L’homme a refusé de reconnaître qu’il nous avait menti en affirmant qu’il était mort.
- Le prévenu a attendu d’avoir fini son repas pour commencer une grève de la faim.
- L’homme attendait l’autobus d’un œil suspect…
- Les trois africains soupçonnés d’avoir trempé dans l’affaire ont tous été blanchis par l’enquête qui a suivi.
- Face à face avec son adversaire, l’homme le prit en traître par derrière…
- Le suspect nous a alors menacés en fronçant les sourcils…
- Le cadavre de l’homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins.
- L’homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s’y introduire
- Seule l’autopsie pourra dire si l’homme est encore vivant…
- Non seulement la mère n’est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu’elle est en vie
- La femme resta ouverte jusqu’à l’arrivée de son mari…
- Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligé de constater que le suspect ne pouvait être présent à l’heure dite sur les lieux du vol qu’il avait commis
- L’homme s’est pendu après s’être tranché la gorge
- Dès que l’homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire
- Il est probable que la suicidée a été lâchement assassinée
- Le défunt confirma que son meurtrier avait bien agi seul
- Malgré son mariage et ses quatre enfants, l’homme vivait comme un veuf éploré…
- Grièvement blessé, la vitrine s’effondra en morceaux…
- La mer était sa terre natale…
- Le trio des voleurs était composé de quatre hommes d’origine africaine…
- Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui
- L’homme qui avait dérobé les miches s’en prit ensuite à celles de la boulangère…
- La femme a vraisemblablement été étranglée par son assassin…
- L’assassinat avait donc bien le crime pour seule et unique raison
- On ignore les raisons qui ont poussé le désespéré à se faire assassiner…
- Après avoir déjà enfilé deux sens interdits, l’homme s’en est pris à la conductrice…
- Le défunt a formellement reconnu son agresseur
- Cinq des trois suspects ont été relâchés…
- La femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu’à présent de mettre un nom sur son visage
- Aucun dégât n’est à déplorer à l’exception de la seule et unique victime
- Selon ses dires, l’homme est mort vers 16h30
- L’homme a déposé sa plainte sur le bureau avant de s’envoler devant nos yeux qui n’ont rien compris
- Le choc fut sans gravité même s’il fallut déplorer deux morts…
- Seuls quelques dégâts matériels furent notés sur le cadavre…
- Le policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire
- L’homme ne semblait pas avoir prévu son meurtre avec préméditation…
- Un violent coup sur la tête semblait indiquer une mort naturelle…
- Après identification, le corps fut rendu à sa famille dont personne n’a pu retrouver la trace.
- J’ai entendu un coup de feu et j’ai vu un type qui sortait comme une balle…
Birmingham, Alabama : la police vient d’arrêter un noir pour port d’armes ; il avait un couteau dans le dos.
🔗Voir la blagueCe camionneur conduisait tranquillement (enfin un peu vite tout de même) quand au détour d’un virage il aperçoit un panneau signalant un pont à hauteur réduite.
Il a à peine le temps de réaliser qu’il ne passera pas qu’il est déjà sous le pont, où bien sûr il se coince.
S’en suit un embouteillage terrible ; la police finit par arriver sur les lieux. Un flic descend de sa voiture avec l’air de celui qui en a trois et se campe devant le chauffeur :
— Coincé, hein ?
Le chauffeur le regarde, puis hausse légèrement les épaules :
— Non j’étais en train de livrer ce pont et je suis tombé en panne d’essence !
Il a été inculpé pour outrage à agent mais finalement relaxé…
🔗Voir la blagueC’est un Algérien qui roule à moto avec son sexe dans le réservoir.
Il se fait arrêter et le flic lui dit :
— Monsieur, vous roulez à 200 km/heure et en plus avec le sexe dans le réservoir !
L’algérien répond :
— Si pas moi, si lé vendeur. Il m’a dit « si ti roule vite, la moto elle suce boucou » Alors, jissaie pour voir !
C’est un belge du Vlaam’s Block (un extrémiste de droite) qui part en vacances aux USA. Au bout de quelques jours, il se fait chier à mourir et décide de s’inscrire au Ku Klux Klan.
Pour fêter l’arrivée d’un nouvel adhérent, les membres décident de faire une descente dans un bowling du coin.
Ils rentrent tous et commencent à tabasser la gueule de tous les joueurs de couleur présents.
Au bout d’un moment, des sirènes de police retentissent et les agresseurs se sauvent en courant. Ils se retrouvent tous dans leur véhicule prêts a partir quand ils s’aperçoivent qu’il manque le Belge.
Ils y retournent et voient ce dernier en train de filer des grands coups de battes de base-ball dans les boules de bowling. La bande l’interroge sur ce comportement plus que bizarre et ce dernier de répondre :
— Maintenant que l’on a tabassé tous les vivants, il faut pas oublier de casser tous les œufs…