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Russe (18 blagues)
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DERNIÈRE MINUTE : Tremblement de terre en Algérie
Le monde entier réagit déjà…
Un puissant tremblement de terre, d’une intensité inouïe de 8,9 sur l’échelle de Richter, s’est produit ce matin au centre de l’Algérie, tuant sur place au moins 25 OOO habitants, tandis que des milliers d’autres sont blessés.
Des villes entières sont complètement dévastées, la population survivante se lamente parmi les ruines.
L’Amérique a immédiatement envoyé son armée pour aider à la reconstruction du pays anéanti.
La Russie a déjà envoyé des vivres.
L’Angleterre et la Belgique ont envoyé de l’argent.
La France, par la voix de son ministre des Affaires Étrangères, qui ne veut à aucun prix rester passive, enverra dès demain 25 OOO nouveaux Algériens…
Des scientifiques russes ont creusé le sol de la mère patrie sur une profondeur de 100 mètres. Ils ont trouvé des traces de fils de cuivre âgés de plus de 1000 ans et en sont arrivés à la conclusion que leurs ancêtres avaient un réseau téléphonique interurbain à cette époque.
Pour ne pas être en reste, les Américains ont creusé à plus de 200 mètres de profondeur le sous-sol de la mère-patrie pour découvrir des traces de fibres optiques vieilles de 2000 ans, confirmant que l’Amérique possédait un réseau de communications digitales très avancé, à l’époque de Jésus et 1000 ans avant les Russes.
Une semaine plus tard, le président Français publiait un rapport mentionnant que des scientifiques avaient creusé le doux sol de France à une profondeur de 500 mètres et n’avaient absolument rien trouvé, confirmant que 3000 ans avant Jésus-Christ, tous les Français avaient déjà un téléphone cellulaire et niquaient les Américains et les Russes.
🔗Voir la blagueÉtude du comportement masculin
L’homme arrive à la maison et retrouve sa femme au lit… avec un autre.
Réactions :
- L’Allemand : Décide de faire une thérapie : Freud peut tout expliquer !
- Le Belge : Après une longue réflexion décide de les rejoindre au lit et fait ménage à trois.
- Le Portugais : Comme il est très machiste il tue l’amant. Comme il est très catholique il reste marié.
- L’Italien : Tue l’amant, tue sa femme, prend sa Ferrari rouge et va manger une pizza. Après une semaine il tombe amoureux de la femme de son meilleur ami.
- Le Russe : Désespéré, se met à pleurer. Ensuite il boit une bouteille de vodka et va tuer quelques innocents en Tchétchénie.
- L’Africain : Frappe sa femme, tue l’amant, coupe son pénis et le pend derrière la porte pour se protéger des mauvais esprits.
- L’Anglais : Pense au Prince Charles qui a vécu une expérience similaire. Mais espère que sa prochaine femme sera moins moche que Camilla…
- Le Chinois : Accepte la situation. Après tout il a déjà 5 filles et avec un peu de chance sa femme pourrait bien tomber enceinte d’un garçon.
- L’Américain : Reste marié mais se venge avec la première stagiaire qui entre dans son bureau !
- Le Suisse : Il pardonne sa femme… Car après tout elle a bien le droit d’avoir un orgasme de temps en temps…
- et Le Français : lui il n’a pas encore retrouvé sa femme au lit vu qu’il est devant son poste de télévision à attendre le premier but marqué par les Bleus…
Géographie d’une femme
- Entre 18 et 20 ans, une femme est comme l’Afrique : à moitié sauvage, naturellement belle et pleine de mystérieux deltas à la fertilité certaine.
- Entre 21 et 30 ans, une femme est comme l’Amérique : développée et ouverte au commerce, spécialement avec ceux qui ont du pognon.
- Entre 31 et 35 ans, une femme est comme l’Inde : sensuelle, relaxée, épanouie, convaincue de sa beauté.
- Entre 36 et 40 ans, une femme est comme la France : délicieusement mûre, elle reste un agréable territoire à visiter.
- Entre 41 et 50 ans, une femme est comme la Yougoslavie : la guerre est aujourd’hui perdue, les erreurs du passé la hantent. De gros travaux de reconstruction doivent être lancés.
- Entre 51 et 60 ans, une femme est comme la Russie : étendue, aux limites incontrôlées. Le climat froid décourage les visiteurs.
- Entre 61 et 70 ans, une femme est comme la Mongolie : un glorieux passé, de grandes conquêtes, mais hélas, aucun futur.
- Après 70 ans, une femme est comme l’Afghanistan : beaucoup savent où ça se trouve, mais personne ne veut plus y aller…
Géographie d’un homme
- Entre 15 et 70 ans, un homme est comme les États-Unis : gouverné par un gland…
Ivan, un jeune gars de vingt-cinq ans, est venu à Moscou pour acheter une voiture. Ouvrier dans une ville de province, il est très impressionné de se retrouver pour la première fois dans la capitale. Il se sent un peu perdu. Sur une immense avenue, il découvre un bâtiment dont la façade est longue de cinquante mètres et au sommet duquel trône une gigantesque enseigne « Volga » faite de lettres hautes de huit mètres.
À l’intérieur du bâtiment, des centaines de personnes forment de longues files d’attente jusqu’à des guichets. Casquette à la main, notre homme prend humblement son tour dans la queue et au bout d’une demi-heure il se retrouve devant un vendeur :
— Camarade, je viens me renseigner pour savoir comment faire pour acheter une de vos magnifiques voitures Volga.
— C’est très simple, camarade. Tu m’apportes une valise avec cinq cent mille roubles en liquide, tu choisis la couleur de ta voiture et je te donne la date de livraison.
— Ah ! C’est aussi simple que cela ?
— C’est aussi simple que cela !
— Ah bien, merci beaucoup.
Notre homme ressort, rentre dans sa province et travaille pendant vingt-cinq ans pour économiser la somme dont il a besoin pour s’acheter sa voiture. Au bout de ces vingt-cinq années, il reprend le chemin de la capitale avec dans sa valise cinq cent mille roubles en espèces. Le bâtiment Volga est toujours situé au même endroit. À l’intérieur ce sont toujours d’interminables files d’individus attendant leur tour. En entrant Ivan a repéré le vendeur qui l’avait renseigné vingt-cinq ans auparavant. Certes celui-ci a vieilli, grossi, les quelques cheveux qui lui restent sont devenus gris, mais c’est bien le même homme. « Il ne se souviendra pas de moi, se dit Ivan, mais je préfère me mettre dans sa file, on ne sait jamais. » Cela le rassure de revoir la même tête. Au bout de trois quarts d’heure, il se retrouve en présence de son vendeur :
— Camarade ?
— C’est pour commander ma voiture, c’est bien toujours cinq cent mille roubles dans une valise ?
— Absolument, camarade, le prix n’a pas changé.
Notre homme tend sa valise. Le vendeur l’ouvre et compte les roubles :
— Le compte y est, camarade, quelle couleur choisissez-vous ?
Il tend à Ivan un prospectus avec le choix des couleurs :
— Attendez, attendez, cela fait vingt-cinq ans que je travaille pour pouvoir me payer cette voiture et…
— Pressez-vous, camarade, pressez-vous, vous voyez bien qu’il y a la queue derrière vous…
— Oui, oui, je comprends. Eh bien disons gris, que me conseillez-vous ?
— Gris, rouge, vert, bleu ou même noir si vous voulez, moi vous savez c’est pas mon problème. C’est votre voiture, c’est à vous de choisir.
— Ah, la la ! Ma femme la voudrait rouge, mais…
— Écoutez, camarade, décidez-vous. Vous faites attendre les autres camarades.
— Oui, oui, alors disons une bleue.
— Eh bien voilà ! Une Volga bleue. On est aujourd’hui le 2 mai 1979, vous serez donc livré le 14 juin 1996.
— Ah ! parce qu’il faut que j’attende à nouveau…
— Ah, bien sûr, camarade, les carnets de commandes de l’usine sont archi-pleins.
— Mais mon argent ?…
— Votre argent, on le garde, il sert à payer les camarades ouvriers !
— Ah oui ! Alors je serai livré le 14 juin 1996, oui, oui, oui…
— Si vous n’en voulez pas, je déchire le contrat.
— Non, non, non, c’est très bien. Le 14 juin 1996. Bien, très bien !
Préoccupé, Ivan ressort de chez Volga. Une fois dans la rue, il fait quelques pas, puis rebrousse soudainement chemin et entre à nouveau dans le bâtiment. Cette fois-ci il se rend directement au guichet qu’il vient de quitter et passant devant le camarade dont c’est le tour, il demande au vendeur :
— Excusez-moi, camarade.
— Vous ne voulez plus de votre voiture ?
— Si, si, j’en veux toujours, bien sûr, mais vous m’avez dit le 14 juin 1996 comme date de livraison ?
— Oui, le 14 juin 1996.
— Et ce sera le matin ou l’après-midi ?
— Ah ! Chez Volga, on livre toujours l’après-midi.
— Ah ! Tant mieux, parce que le matin, j’ai le plombier.
La guerre froide est terminée. Boris Eltsine qui appelle Clinton sur le téléphone rouge.
— Bill ? Bonjour, ici c’est Boris. Notre fabrique nationale de préservatifs vient d’exploser. Les russes n’auront plus aucun moyen de se protéger du SIDA. Il faut nous aider !
— Boris, pas de problème. Tu as frappé à la bonne porte. Les États-Unis vont t’aider… Ce n’est pas comme ces bons à rien d’européens. Qu’est-ce qu’il te faut Boris ?
— Il me faudrait dès que possible un million de préservatifs…
— Aucun problème Boris, compte sur moi.
— Et Bill, tant que j’y suis, tu pourrais me faire une autre faveur ?
— Oui ?
— Est-ce que les préservatifs pourraient être de couleur rouge, avec une longueur de 25 cm et un diamètre de 8 centimètres ?
— Pas de problème Boris.
Là dessus, Clinton appelle le PDG de Mannix :
— Il faut réaliser 1 million de préservatifs et les expédier en Russie. Pouvez-vous faire ça ?
— Certainement Monsieur le Président
— Très bien. Mais il devront avoir certaines caractéristiques : être de couleur rouge, mesurer 25 cm de long sur 8 cm de diamètre.
— C’est noté. Et quoi d’autre ?
— Sur chaque préservatif, vous écrirez 'MADE IN AMERICA, Taille MEDIUM’
Les présidents Biden, Macron, Poutine et Xi Jinping se retrouvent dans Air Force One à l’invitation du président des USA, afin de signer un important traité de coopération militaire.
Après avoir apposé leurs signatures respectives au bas du document, les chefs d’État fêtent l’événement au champagne.
L’altitude et les bulles aidant, les présidents commencent à adopter un comportement un peu irrationnel… Joe Biden en particulier fait le fanfaron :
— Mes amis, laissez-moi vous dire que de toutes les armées du monde, l’armée américaine est de loin la plus vaillante et la plus courageuse ! Et d’ailleurs je vais vous le prouver tout de suite !
S’adressant alors à son aide de camp, Biden ordonne :
— Colonel, vous allez sauter de cet avion sans parachute. C’est un ordre !
— Hem… Mister president, are you sure ? J’ai une femme, quatre enfants et je vis dans un pays libre… Je ne peux pas sauter Mister President, sorry !
Voyant Biden dans la panade, Macron tente sa chance avec son aide de camp :
— Colonel, c’est à vous de relever l’honneur de l’armée française et de la France. Je vous ordonne de sauter de cet avion sans parachute !
— Pas question Monsieur le Président. J’ai une femme, quatre enfants et je vis dans un pays libre. Je ne sauterai pas !
Sentant qu’il a là une occasion de prendre le dessus, Vladimir Poutine se lance :
— Colonel, pour l’honneur de la Russie Immortelle, vous allez sauter de cet avion sans parachute !
— Non non non, je ne peux pas. J’ai une femme et quatre enfants qui m’attendent. Mon pays est vérolé par la mafia, mais c’est un pays libre. Je ne saute pas.
Enfin, Xi Jinping le président chinois s’adresse à son aide de camp :
— Vous allez sauter de cet avion sans parachute et montrer à ces Occidentaux ce qu’est le vrai courage.
— Monsieur le Président, je ne peux pas sauter ! J’ai une femme, quatre enfants, et… bon, d’accord, je saute.
On installe, sur une île déserte et merveilleuse mais perdue au milieu du Pacifique :
- Deux Italiens et une Italienne,
- Deux Français et une Française,
- Deux Allemands et une Allemande,
- Deux Grecs et une Grecque,
- Deux Anglais et une Anglaise,
- Deux Bulgares et une Bulgare,
- Deux Suédois et une Suédoise,
- Deux Irlandais et une Irlandaise,
- Deux Russes et une Russe,
- Deux Suisses et une Suissesse.
Un mois plus tard, sur cette merveilleuse île déserte, voici ce qui s’est passé :
- Un des Italiens a fait assassiner l’autre pour garder l’Italienne à lui seul.
- Les deux Français et la Française forment un très harmonieux ménage à trois.
- Les deux Allemands se partagent les faveurs de l’Allemande, en respectant très scrupuleusement l’alternance hebdomadaire.
- Les deux Grecs couchent ensemble et la Grecque fait la cuisine et le ménage.
- Les deux Anglais attendent désespérément que quelqu’un veuille bien avoir l’obligeance de leur présenter l’Anglaise.
- Les deux Bulgares, après avoir jeté un regard à la Bulgare et scrupuleusement observé l’horizon, ont finalement décidé de tenter leur chance… à la nage.
- Les deux Suédois spéculent toujours sur les vertus du suicide alors que la Suédoise use et abuse des bains de soleil pour mettre en valeur son corps
- Les Irlandais ont commencé par diviser l’île en Nord et Sud et ont installé une distillerie au centre. L’important pour eux, c’est que les Anglais n’en aient pas une goutte !!! Quant au sexe, considérant qu’après quelques litres de whisky coca, il règne une sorte de brouillard épais sur l’île, la question ne se pose même pas.
- Le premier Russe a épousé la femme russe et a divorcé peu après. Il est le meilleur client de la distillerie irlandaise. Le second Russe s’est fait un peu d’argent en tuant un des deux Italiens et en négociant les visas de sortie des deux Bulgares. Avec cet argent, il a acquis 33,3 % des parts de la distillerie irlandaise, obtenu une licence de vente exclusive pour les Anglais et a engagé un Grec comme vendeur. Il emploie de plus les Allemands comme gardes du corps pour lui et sa fiancée russe en promettant à la Bulgare le poste de nurse pour son premier enfant. Enfin, il prend régulièrement des cours d’anglais avec la Suédoise.
- Les trois Suisses, quant à eux, ont sorti un nouveau catalogue printemps été.
L’Europe est en marche.
🔗Voir la blagueOn le sait, les Russes étaient habitués à faire la queue, pour tout, pour la bouffe, la vodka, les chaussures. La scène se déroule à Moscou. Deux amis marchent dans la rue.
Le premier dit à l’autre :
— Oh là là ! Qu’est-ce que je me suis fait chier hier, j’ai fait la queue pendant deux heures et demi pour baiser ta femme !
Et son pote lui répond :
— T’es complètement con, va baiser la tienne, il n’y a jamais personne
Poutine meurt et va en enfer.
Au bout de quelques mois, il a droit à une permission pour bonne conduite.
Il se rend dans un bar a Moscou, commande une vodka et questionne le serveur :
— La Crimée, elle est bien à nous ?
— Oui.
— Et le Donbass, toujours à nous ?
— Toujours.
— Et Kiev, à nous ?
— Oui oui, à nous !
Satisfait, il finit sa boisson, puis demande au serveur :
— Je vous dois combien pour la vodka ?
— 5 euros !