je suis venu, j'ai cliqué,
Militaire (58 blagues)
Voir aussi :
6 juin 1944 soir, débarquement en Normandie suspendu après plusieurs cas constatés de mal de mer.
🔗Voir la blagueÀ l’hôpital, un vieux monsieur couché dans son lit s’époumone à crier :
— Le revolver !… Le bazooka !… Le fusil !… La mitraillette !…
L’infirmière entre précipitamment dans la chambre et l’enguirlande :
— Non, mais ça ne va pas de crier comme ça !… Vous vous croyez encore à la guerre ?… Et puis c’est quoi cette odeur d’urine ?…
Elle soulève les draps et s’aperçoit qu’ils sont complètement mouillés :
— Mais c’est dégoûtant !… Vous auriez pu demander le pistolet…
— Voilà !… Le pistolet !… C’est le mot que je cherchais…
Un soldat américain se précipite sur une religieuse et, à bout de souffle, lui demande :
— S’il vous plaît, puis-je me cacher sous votre jupe ? Je vous expliquerai dans un instant pourquoi.
La religieuse accepte de le faire et une minute plus tard deux policiers militaires arrivent et demandent :
— Ma Soeur, avez-vous vu un soldat ?
La religieuse leur répond :
— Il est parti dans cette direction.
Une fois les deux policiers militaires partis, le soldat sort en rampant de sa jupe et dit :
— Ma Soeur, je ne vous remercierai jamais assez. Vous voyez, je n’ai pas envie d’aller en Irak.
La religieuse lui dit :
— Je vous comprends tout à fait.
Le soldat ajoute :
— J’espère que vous ne me trouverez pas grossier, mais vous avez une belle paire de jambes !
La religieuse répond :
— Si vous aviez regardé un peu plus haut, vous auriez vu une belle paire de couilles. Je n’ai pas envie d’aller en Irak non plus.
C’est la guerre, et pendant la nuit, les déflagrations se succèdent.
Les cadavres jonchent le sol.
Un obus vient d’atterrir près du soldat Mitchell, envoyant en l’air des tripes et des morceaux de membres sanglants.
Pris de panique, Mitchell s’enfuit. Il court, court, puis soudain, dans l’obscurité la plus totale, il heurte un militaire campé fièrement sur ses deux jambes.
— Pardon, mon lieutenant ! s’exclame Mitchell.
— Je ne suis pas lieutenant, soldat !
— Excusez moi, mon commandant, bafouille Mitchell.
— Je ne suis pas commandant, je suis général !!!
— Ah, dit Mitchell, je suis déjà si loin du front ?
C’est l’histoire d’un caca qui marche avec un sac à dos (sur le dos).
Il croise un autre caca :
— Bah où tu vas comme ça ? (contrecul)
— Je vais à la guerre ! Tu veux venir ?
Alors le deuxième caca prend aussi son sac et ils partent ensemble.
Ils passent devant une flaque de chiasse :
— eh vous allez ou ?
— on va a là guerre !
— Je peux venir ???
— NON ! La guerre c’est réservé aux durs !
C’est l’histoire d’un patron qui veut embaucher un comptable. Il pense recruter un militaire, se disant que ce sont des gens rigoureux et disciplinés.
L’entretien se déroule bien, et, avant de se quitter, le patron demande à l’ancien gradé s’il sait compter.
— Mais oui, bien sûr.
— Allez-y un peu, pour voir.
— Un deux, un deux, un deux….
Le patron réfléchit et se dit alors qu’il va plutôt prendre un informaticien, se disant qu’ils sont logiques et intelligents.
L’entrevue se passe bien, et, à la fin, il pose la même question.
— Pas de problème, répond l’informaticien : zéro un, zéro un, zéro un, zéro un…
Finalement, le patron a une illumination : il va embaucher un fonctionnaire : ils sont honnêtes et consciencieux.
L’entrevue est vite expédiée, et arrive la fameuse question :
— Oui, évidemment, dit le fonctionnaire : Un, deux, trois…
— Bien, et vous pouvez continuer ?
— Quatre, cinq, six, sept, huit
— Super ! Encore un peu ?
— Neuf, dix, valet, dame, roi…
C’est un gars du support technique Microsoft qui s’est engagé dans l’armée (il en avait assez qu’on rit de lui). Malheureusement, il est complètement nul avec une arme à feu. Et lors d’une séance de tir, après son dixième chargeur tiré et toujours pas une balle dans la cible, son instructeur de tir l’appelle et lui « brasse la cage ».
Le gars retourne à son poste, recharge, se met en position et là, met un doigt devant la bouche du canon et fait feu. Naturellement, hurlement, son doigt est arraché, l’instructeur arrête de la séance de tir, appel d’une ambulance, il se crée un affolement général.
Et l’instructeur s’approchant alors du gars étendu par terre en train de serrer sa main l’entend murmurer : « Mon pistolet tire bien lieutenant, ça doit venir de votre configuration de tir. »
C’est un militaire au Kosovo qui voit un de ses collègues aider une mémé à marcher. Il l’interpelle :
— Hé Dick, je ne te savais pas aussi sympa avec les populations locales !
— Civil, civil, c’est que ce n’est pas facile de savoir où ils foutent leurs mines !
Coïncidence troublante de l’Histoire, les armistices des deux guerres mondiales ont eu lieu un jour férié.
🔗Voir la blague