je suis venu, j'ai cliqué,
Sexe (518 blagues)
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Un patient entre dans la salle de consultation de son médecin. Le docteur s’enquiert de ce qui l’amène.
— Il faudrait que vous voyiez mon pénis, lui répond le patient.
— Très bien, allez-y, déshabillez-vous et placez-vous sur la banquette d’examen
Le gars baisse son pantalon, puis son caleçon, et affiche un engin qui flirte avec les 25 centimètres. Après l’avoir examiné sous toutes les coutures, le médecin se tourne vers son patient :
— Je vois rien de mauvais là-dedans. Il m’a l’air tout à fait sain.
Et le gars sourit avant de répondre :
— Je sais, c’est une sacrée belle bête, hein ! ?
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Un patient se rend chez son médecin :
— C’est une inflammation du testicule gauche. Ce n’est pas grave, je vous donne le téléphone d’un ami urologue.
Mais le doc se trompe et lui donne le numéro de son avocat.
Le bonhomme prend rendez-vous et part voir le soi-disant spécialiste. L’avocat lui demande :
— En quoi puis-je vous être utile, Monsieur ?
Illico le malade baisse son pantalon et lui montre son testicule :
— Je viens de la part de mon médecin traitant, comme vous pouvez le constater docteur j’ai le testicule gauche enflammé.
L’avocat le regarde hébété.
Après un silence il lui dit :
— Cher ami, excusez-moi, mais ma spécialité, c’est le droit !
Le malade s’énerve alors :
— Putain, c’est vraiment devenu un pays de cons, maintenant il y a un spécialiste pour chaque couille !
Un paysan s’arrête au garage du coin pour faire réparer sa camionnette.
On ne peut pas la lui faire immédiatement ! Il se dit alors qu’il n’habite pas loin et qu’il va rentrer à pied.
Sur le chemin du retour, il s’arrête dans une boutique et achète un seau et cinq kilos de peinture. Puis il s’arrête dans une autre boutique et prend deux poules et une oie.
Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu’à la maison ? Pendant qu’il se gratte la tête, une petite vieille s’approche de lui et lui dit qu’elle est perdue…
— Pouvez-vous me dire comment aller au 160 Allée de Partington ?
— Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n’arrive pas à porter tout ceci.
— Pourquoi ne mettez-vous pas la peinture dans le seau ? Portez le seau d’une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l’oie dans l’autre main ?
— Bonne idée !
Et le paysan se met en route avec la vieille dame.
En cours de route, il dit :
— Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier. Nous y serons en un rien de temps.
La petite vieille le regarde attentivement :
— Je suis une veuve sans personne pour me défendre… Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n’allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?
— Cré vingt dieux, ma petite dame, je porte un seau, 5 kg de peinture, deux poules et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ?
— Posez l’oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la peinture sur le seau, et je tiendrai les poules…
Un petit cyclope demande à son papa :
— dis papa, dis papa, pourquoi on a qu’un œil ?
le papa lui dit
— mais tu vois que je suis en train de travailler !
Le petit cyclope ne lâche rien, il brûle de curiosité, alors il insiste :
— dis papa, dis papa, pourquoi on a qu’un œil ?
Et le papa cyclope :
— Tu commences à me casser la couille !
Un petit garçon demande à sa mère :
— Maman, comment je suis né ?
— Euh…Eh bien dans un chou ! Ton père et moi, nous t’avons trouvé dans un chou.
— Et ma sœur, comment elle est née ?
— Elle ? Dans.dans une rose ! Nous l’avons trouvée dans une magnifique rose.
Le soir, le petit garçon, entrant sans frapper dans la chambre de ses parents, les trouve en train de faire l’amour. Et il leur lance :
— Alors, les vieux, on jardine ?
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Un petit garçon demande à son père :
— Dis papa, comment on fait les bébés ?
— Et bien c’est tout simple, répond le père embarrassé, papa met une petite graine dans maman… et ensuite il la pousse bien au fond avec sa grosse bite.
Un petit pédé en mal d’amour n’a pas de copain depuis plusieurs mois et il a les pendentifs en fusions.
Ce soir là, il décide d’aller chasser la belette. Il part donc en boite de nuit « gay ».
Tant bien que mal, il tente de draguer et de se soulever un ptit lot, mais rien ne vient.
5h du mat, dégoûté, il s’en retourne chez lui. Sur la route, il croise un clodo défroqué couché dans une ruelle. Son sang ne fait qu’un tour dans son slip, il baisse son pantalon et hop, vazy qu’il enfile le pauv’SDF.
Satisfait, il laisse un billet de 100 balles à côté de sa victime. Le lendemain, le clodo se reveille, trouve le billet, se réjouit à l’idée de la bonne journée qu’il va passer grace à ce billet providentiel. Il fonce chez Momo, le commerçant du coin.
Le clodo : « Waaa, momo, file moi 10 sacs de rouge ! »
Momo s’éxécute. Le clodo boit toute la journée et tombe ivre mort à l’heure où les braves gens entament l’apéro.
Notre ptit pédé commence à ressentir les symptômes de manque d’activité sexuelle, et décide de retourner voir le clodo pour y remettre une cartouche. Coup de bol, il est encore là, toujours ivre mort. Il fait son affaire et laisse encore un billet de 100 balles.
Le lendemain, le clodo réitère la murge, et le ptit pédé aussi. S’installe une routine quotidienne entre les deux protagonistes.
Un autre matin, le clodo va chez Momo chercher sa cargaison de pinard. Momo le voyant arriver, lui lance :
— Alors Gégé ? 100 balles de rouge ?
— Bwaaa non, met moi du blanc, le rouge ca fait trop mal au cul
Un pompier regarde un petit gars qui joue dehors.
Le p’tit gars a peint un chariot rouge avec des échelles sur le côté, ça ressemble vraiment à un camion de pompiers.
Le pompier tout impressionné se rapproche et voit un chat et un chien attachés pour tirer le chariot.
Le chien est attaché par le collier et le chat par les couilles.
Le pompier dit alors au p’tit gars :
— Si tu attachais le chat par le collier t’irais plus vite non ?
Et le p’tit gars de répondre :
— Ouais c’est sûr… mais je n’aurai plus de sirène !
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Un prêtre et une nonne sont dans une tempête de neige.
Au bout d’un moment, ils trouvent une petite cabane.
Exténués, ils se préparent à dormir. Il y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit. Gentleman, le prêtre dit :
— Ma sœur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans le duvet.
Alors qu’il venait juste de fermer son duvet et commençait à s’endormir, la nonne dit :
— Mon père, j’ai froid. Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève et prend une couverture et la pose sur elle.
De nouveau, il s’installe dans le duvet, le ferme, et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore :
— Mon père, j’ai toujours très froid.
Il se lève a nouveau, mets une autre couverture sur elle et retourne se coucher.
Juste au moment où il ferme les yeux, elle dit :
— Mon père, j’ai siiiiii froid.
Cette fois, il reste couché et dit :
— Ma sœur, j’ai une idée : nous sommes ici au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais ce qu’il s’est passé.
Faisons comme si nous étions mariés.
Enfin exaucée, la nonne répond :
— Oui, c’est d’accord.
Et le prêtre crie :
— ALORS TU LÈVES TON CUL ET TU LA PRENDS TOI-MÊME TA PUTAIN DE COUVERTURE, CONNASSE !
Un professeur d’université était réputé pour ses blagues salaces, distillées avant chacun de ses cours. Ces blagues faisaient le plus grand plaisir des étudiants du « sexe fort », au grand dam des représentantes du « sexe faible », choquées par cet humour libertin.
Celles-ci décidèrent d’un commun accord qu’à la prochaine plaisanterie grivoise, toutes quitteraient l’amphithéâtre.
Ayant eu vent du complot, notre fantasque fonctionnaire décida de rentrer dans leur jeu.
Arrivant dans la salle de cours où ses élèves l’attendaient, il demande :
— Savez-vous qu’on manque de salopes au Moyen Orient ?
Outrées, les étudiantes se lèvent précipitamment et se dirigent vers la sortie.
L’enseignant de répliquer :
— Hé ! Attendez ! L’avion ne part que demain !