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Sexe (518 blagues)
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Deux couples ont l’habitude de se rencontrer chaque week-end afin de jouer aux cartes.
Mais un jour, ils décident, pour changer, de tester un nouveau jeu dont le but est de faire deviner un métier en le mimant.
Une des deux femmes commence : elle enlève sa chemise, son soutien-gorge et prend ses deux seins à pleine main et dit :
— Alors, à votre avis c’est quoi le métier que je mime ?
Tout le monde se regarde et attend la réponse.
— Hé, bien, c’est médecin (mes deux seins).
L’autre femme, elle aussi, veut essayer de mimer un métier.
Elle enlève alors sa chemise, son soutien-gorge, caresse ses deux tétons et les fait se toucher l’un avec l’autre.
— Alors, à votre avis c’est quoi le métier que je mime ?
Personne ne sait…
— Hé bien, c’est bourrelier (bouts reliés).
C’est maintenant au tour d’un des deux mecs…
Le premier, enlève son pantalon, son slip et prend son membre dans la main. Il l’enrobe ensuite dans une serviette.
— Alors, à votre avis, c’est quoi le métier que je mime ?
Mais là encore personne ne sait… Et tout le monde attend impatiemment sa réponse.
— Hé bien, c’est boulanger (bout langé).
C’est désormais au tour du dernier homme, mais il avoue alors ne pas avoir compris les précédents jeux de mots… Les trois autres décident de lui expliquer.
Ils prennent alors un papier où ils font une liste et écrivent : « boulanger = bout langé », « bourrelier = bouts reliés », « médecin = mes deux seins ».
L’homme en question prend alors la LISTE et se la met dans le trou du cul !
Les autres le regardent d’un air étonné et lui demandent ce qu’il fait.
— Ben, je mime un métier !
— Mais c’est quoi ce métier ?
— C’est un oculiste !
Deux curés se déshabillent et s’apprêtent à prendre une douche.
Ils commencent à faire couler l’eau mais réalisent alors qu’ils n’ont pas de savon.
Le père Jean, qui a du savon dans sa chambre, décide alors d’aller le chercher rapidement sans prendre la peine de remettre ses habits.
Il court dans les couloirs, entre dans sa chambrée et prend deux petits morceaux de savon, un dans chaque main, et reprend le chemin des douches, toujours nu comme un ver.
À mi-chemin, dans un long couloir, il aperçoit trois bonnes sœurs qui arrivent dans sa direction.
N’ayant aucun moyen de se cacher, il se plaque alors comme un mur et prend la posture d’une statue.
Les sœurs arrivent à son niveau et s’arrêtent, ébahies par cette statue si réaliste.
La première sœur, intriguée, pose sa main sur le pénis de la “statue”.
Un peu perturbé, le père Jean laisse tomber un morceau de savon.
La première sœur :
— Ah d’accord, c’est un distributeur de savon !
La deuxième sœur surprise essaye elle aussi et tire à son tour le pénis.
Le père Jean laisse tomber le deuxième savon.
La troisième, épatée, tire elle aussi, une, puis deux, puis trois fois le pénis mais rien ne se passe.
Elle tire alors de plus belle l’appendice, et s’écrie :
— Sainte Vierge Marie. C’est rudement bien fait ! Il donne également le gel douche !
Deux employés d’un zoo transfèrent un gorille dans le zoo d’une autre région.
Ils l’embarquent dans leur camionnette, partent sur les routes, et s’arrêtent dans un petit village pour pic-niquer le midi. Là, ils voient une femme à une fenêtre qui crie :
— DU SEXE, DU SEXE ! DONNEZ MOI DU SEXE !
Les gars sont troublés, mais elle recommence et devant tant d’insistance, l’un d’eux se dévoue…
Il revient une demi-heure plus tard et décrit l’aventure :
— Je lui ai fait l’amour ! une vraie furie. Elle avait l’air satisfaite et a fait deux traits de craie sur le lit…
Mais la femme recommence !
— DU SEXE, DU SEXE ! DONNEZ MOI DU SEXE !
Le deuxième gars y va à son tour, et revient un peu plus tard :
— Tu avais raison, elle est vraiment chaude ! Elle était super satisfaite, elle a fait trois traits de craie sur le lit ! Mais elle en veut encore !
— DU SEXE, DU SEXE ! DONNEZ MOI DU SEXE !
Pour la calmer, ils décident d’envoyer le gorille, qui semblait s’ennuyer dans son fourgon…Le gorille monte, et redescend une demi-heure plus tard.
Soudain la fenêtre s’ouvre et l’on entend :
— DE LA CRAIE, DE LA CRAIE, DONNEZ-MOI DE LA CRAIE !!!
Deux jeunes femmes, en quête de sensations, décident un jour de faire l’amour avec deux nains car, parait-il, ce sont des supers coups…
Dans une discothèque, l’occasion se présente et nos deux nanas commencent à draguer deux nains qui sont en train de danser sur la piste. Tout se passe bien et, après une bonne soirée en boite, nos amis se décident de finir la nuit à l’hôtel. Les deux couples prennent chacun une chambre et se souhaitent une bonne nuit. Dans la première chambre, tout se passe à merveille. Notre jeune femme et le nain passent une heure à faire l’amour et puis fatigués par tant de dépenses d’énergie décident de dormir. Enfin, ils essaient de dormir car dans la chambre d’à côté, ils entendent des cris toutes les 30 secondes.
— « Yeeeehhhhaaaa » ! « Yeeeehhhhaaaa » !
— Et bien ils tiennent la forme à côté ! pensent-ils…
— « Yeeeehhhhaaaa » !
— Mon amie a tiré le bon numéro, elle passe une nuit d’amour d’enfer, se dit la première.
Le lendemain, les deux amies se retrouvent dans le hall de l’hôtel.
— Ah moi j’ai passé une nuit formidable et toi ça a dû être super vu les cris qu’on entendait dans votre chambre ?
— Tu parles, fait l’autre, toute la nuit il l’a passée à essayer de grimper sur le lit !
Deux mineurs, un Français et un Belge, descendent dans l’ascenseur d’un puits de mine.
Le Français ouvre un Thermos et se sert du café. Le Belge le regarde et lui dit :
— C’est quoi ça ?
Pour rigoler, le Français lui répond :
— C’est une capote !
— C’est génial ! Ça garde le café au chaud !
À la fin de la journée, le Belge va dans une pharmacie. Il entre et demande une capote à la pharmacienne. Celle-ci lui demande :
— Quelle taille ?
— Une capote pouvant contenir au moins deux litres.
La pharmacienne étonnée lui réplique :
— Mais comment ça ?
— Ben oui autant, je reste quatre heures au fond du trou !
Deux muets discutent au coin de la rue. Le premier dit avec des signes :
— Qu’est-ce que tu as envie de faire aujourd’hui ?
Le second :
— Je sais pas… Et toi ?
— Et si on prenait la voiture, qu’on se dégotait des filles et qu’on prenait un peu de bon temps avec elles ?
— Ah ouais ! Pas mal !
Alors ils prennent la voiture, embarquent deux nanas qui faisaient le trottoir, et se mettent à la recherche d’un endroit tranquille. Mais soudain, le muet qui était monté à l’arrière demande a l’autre, toujours par des signes :
— Tu as des préservatifs ?
Le premier lui répond :
— Non. Et toi ?
— Non plus… Tu n’as qu’à t’arrêter devant la pharmacie et j’irai en acheter quelques-uns.
Le gars trouve enfin une pharmacie et descend pour acheter des capotes.
Deux minutes plus tard, il est de retour et il tape au carreau de la voiture et faisant des signes :
— J’ai un problème.
L’autre lui demande :
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Je n’arrive pas à faire comprendre ce que je veux au pharmacien !
— Je sais ce que tu vas faire : tu n’as qu’à y retourner. Ensuite, tu vas poser 10 euros sur le comptoir. Puis tu ouvriras ta braguette, tu sortiras ta bite et tu la poseras sur le comptoir. Comme ça, c’est sûr qu’il comprendra ce que tu veux !
— Bonne idée, répond le muet qui repart dans la pharmacie…
Cinq minutes plus tard, le voilà de retour au carreau de la voiture, avec un air dépité.
— Qu’est-ce qui se passe, demande l’autre muet.
— Ça n’a pas marché !
— Qu’est-ce que tu veux dire ?
— J’ai fait ce que tu m’as dit de faire : je suis rentré ; j’ai posé 10 euros sur le comptoir ; j’ai ouvert ma braguette ; j’ai sorti ma bite et je l’ai posée sur le comptoir… Alors il a sorti la sienne. Elle était plus grosse que la mienne et il a pris mes 10 euros.
Deux ouvriers homosexuels travaillent sur un chantier lorsque tout à coup ils ont une grosse envie l’un de l’autre…
Ils se dirigent alors vers un coin tranquille du chantier où vont se dérouler les festivités…
C’est alors en plein acte sexuel qu’arrive inopinément le chef de chantier qui les aperçoit en train de pratiquer la sodomie !
Les deux hommes apprennent peu après qu’ils sont licenciés et ne sont pas prêts à se laisser virer comme ça.
Les deux hommes ont décider d’envoyer l’affaire aux prud’hommes et finalement ont obtenu gain de cause : on ne peut pas licencier des gars qui se défoncent le cul au boulot !
Deux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier fait :
— Tu connais Victor Hugo ?
— Non
— T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Le lendemain, toujours le même :
— Tu connais Albert Einstein ?
— Non
— T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Le surlendemain, ça recommence :
— Tu connais Karl Marx ?
— Non
— T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !
Alors l’autre tout énervé fait :
—Et toi, tu connais Jean Dupont ?
— Non ?
— T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir !
Deux petites filles de cinq ans discutent :
— Tu ne me croiras pas… mais ce matin j’ai trouvé une capote sous la véranda.
— C’est quoi une véranda ?
Deux puces se rencontrent, lors de la soirée des puces…
L’une des deux est frigorifiée, elle claque des dents.
L’autre lui dit :
— Mais qu’est ce qui t’est arrivé pour avoir froid comme ça ?
Elle lui répond :
— M’en parle pas Je suis venue dans la moustache d’un motard, je suis gelée !
L’autre puce lui explique :
— Mais t’as rien compris ! trouve une jolie fille, monte le long de ses jambes, va te mettre dans sa culotte, et tu verras, tu voyageras bien au chaud !
— Bonne idée, je vais essayer la semaine prochaine !
La semaine suivante, les deux puces se retrouvent, comme prévu, à la soirée des puces.
La première petite puce est toujours aussi gelée, elle tremble et claque des dents.
L’autre lui dit :
— Mais qu’est ce que t’as foutu ? T 'as pas suivi mon conseil ?
Elle lui répond :
— Ben si ! J’ai vu une belle nana, hier, et j’ai fait comme tu m’as dit. Je me suis installée dans sa culotte, j’étais bien, je me suis même endormie !
— Et alors ?
— Eh bien quand je me suis réveillée, j’étais encore dans la moustache d’un motard…