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Professeur (99 blagues)
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Le petit Pierre revient de l’école et demande à son père :
— Papa, j’aurais besoin de tes lumières. Pourrais-tu me parler de la politique ? J’ai un devoir à rendre pour demain.
Après un instant de réflexion, son père lui répond :
— Bien, je pense que la meilleure méthode pour t’expliquer tout cela est de faire une analogie avec notre famille. Je suis le capitalisme car je nourris la famille. Ta mère est le gouvernement car elle contrôle chaque chose. La bonne est la classe ouvrière car elle travaille pour nous. Toi, tu es le peuple et ton petit frère, c’est la future génération. En espérant que cela puisse t’aider pour ton devoir.
— Merci Papa, dit le petit Pierre. Je ne comprends pas tout mais je vais y réfléchir.
Dans la nuit, le petit Pierre est réveillé par les cris de son frère.
Il constate que ses couches sont sales.
Il se rend dans la chambre de ses parents et essaie de réveiller sa mère sans succès.
Il remarque que la place de son père est vide.
Il retrouve son père au lit avec la bonne. En désespoir de cause, il retourne se coucher.
Le matin suivant, au petit déjeuner, il dit à son père :
— Papa, je crois que cette nuit, j’ai tout compris à la politique.
— Excellent mon garçon. Et qu’as-tu compris ?
— J’ai appris que le capitalisme baise la classe ouvrière tandis que le gouvernement roupille, ignorant le peuple et laissant la génération future dans la merde.
Le petit Thomas demande un jour à sa maîtresse d’aller la voir après les cours, elle accepte.
— Quel est ton problème, Thomas ?
— Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je veux passer directement au lycée !
La prof, un peu surprise par l’initiative de son élève, surtout qu’il n’a pas des notes extraordinaires, décide d’aller consulter le directeur de l’établissement. Celui-ci propose de lui faire passer un test qui à coup sûr sera trop difficile pour Thomas et qui le fera revenir sur sa décision.
Thomas accepte sans hésiter et le directeur commence le test :
— Voyons voir Thomas : 3 × 4 ?
— Douze !
— et 6 × 6 ?
— Trente six, monsieur le directeur
— Capitale du Japon ?
— Tokyo !
Et le test continue pendant une demi-heure, Thomas ne fait aucune erreur ! Au bout du test, le directeur ne voit pas de problème, et la prof demande si elle peut à son tour lui poser des questions. Tous les 2 acceptent, la prof commence :
— Bon, Thomas, la vache elle en a 4 et moi j’en ai que 2, qu’est-ce que c’est ?
— les jambes, madame !
— Correct, qu’est-ce qu’on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ?
Le directeur s’étonne de la question, mais ne dit rien.
— les poches, madame
— bien Thomas, qu’est-ce qu’il y a en double au centre des hommes ?
Le directeur se prépare à intervenir lorsque Thomas répond :
— les deux lettres m
— et où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
— En Afrique ! répond le gamin sans hésiter.
— Qu’est-ce qui est mou mais qui dans les mains d’une femme devient dur ?
Le directeur ouvre grands les yeux mais avant de parler, Thomas répond :
— Le vernis des ongles !
— Qu’est-ce que nous les femmes nous avons en plein milieu des jambes ?«
— Les genoux !
— Bien ! et qu’est-ce qu’une femme mariée a de plus large qu’une femme célibataire ?
Le directeur n’en croit pas ses oreilles !
— le lit, madame
— quelle est la partie de mon corps qui est souvent le plus humide ?
— la langue, madame
— quel mot commençant par la lettre C… désigne quelque chose qui peut-être clair ou obscur, humide ou sec, ouvert ou fermé, noir, bleu ou rosé ?
— le ciel ! affirme Thomas.
Le directeur souffrant, transpirant comme un sauvage décide d’arrêter le test et s’exclame :
— Ce n’est pas au lycée que je vais l’envoyer mais directement à l’université ! Même moi je l’aurais tout raté ce test…
Le petit Toto est assis au fond de la classe en train de faire un problème de math quand la jeune maîtresse décide de l’interroger.
— Toto, 5 oiseaux se posent sur une clôture, si tu tires sur un oiseau avec une carabine, combien d’oiseaux reste-t-il ?
— Zéro, répond le petit Toto, parce que, si je tire un oiseau, les autres vont s’envoler.
— Hum…. Ce n’est pas la réponse que j’attendais, dit la maîtresse, mais j’aime bien ta manière de penser.
Alors, le petit Toto lève la main et dit :
— J’ai une question pour vous, Maîtresse. Trois femmes sont en train de savourer des cônes Miko, la première lèche son cône, la deuxième mord son cône et la troisième le suce. Laquelle des trois est mariée ?
La maîtresse rougit jusqu’aux oreilles et répond d’un air gêné :
— Heu… je ne suis pas sûre. J’imagine que c’est celle qui suce le cône…
— Non, dit le petit Toto, c’est celle qui porte une alliance mais j’aime bien votre manière de penser.
Le président Donald Trump fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer les très jeunes futurs votants du pays.
Il entre dans une classe et arrive au moment où l’institutrice est en train de faire un cours aux enfants sur la tragédie du 11 septembre 2001.
Un des enfants lève sa main et demande :
— Madame, qu’est-ce que c’est une « Tragédie » ?
L’institutrice se tourne alors vers le président et lui propose de diriger la discussion. Ainsi, l’illustre dirigeant demande aux autres jeunes élèves qui connaissent la signification de ce mot d’illustrer le sens du terme qu’ils viennent d’utiliser.
Un petit garçon se lève et dit :
— Si mon meilleur ami qui vit à côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu’une voiture le renverse, ce sera une tragédie.
Trump secoue tristement la tête :
— Non, mon petit. Ce serait un accident !«
Un léger silence s’installe dans la classe. Le président insiste.
— Qui veut proposer autre chose ?
Une petite fille se lève alors à son tour :
— Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ça, c’est une tragédie !
Trump secoue la tête à nouveau :
— Non, petite, il s’agit là d’une grosse perte pour le monde…
Cette fois, c’est un lourd silence qui tombe sur le groupe. Trump s’impatiente légèrement :
— Allons, les enfants ! Il n’y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ?
Alors, petit Johnny du fin fond de la classe se lève :
— Si Air Force One, alors qu’il transporte M. et Mme Trump, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça, c’est une tragédie !
— Fantastique ! s’écrie le Président, le visage illuminé. Voilà une superbe illustration du mot tragédie ! Et peux-tu expliquer à tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?
— Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte !
Le prof à l’école, classe de CE2 :
— Dis-moi, Benoît, qu’est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
— J’ai joué dans le bac à sable, Monsieur.
— Très bien, Benoît. Viens au tableau. Si tu arrives à écrire « sable » correctement, tu pourras rentrer une heure plus tôt à la maison… Voilà, c’est très bien, Benoît.
Le prof se tourne vers un autre élève :
— À ton tour, Bastien, qu’est-ce que tu as fait pendant la récréation ?
— J’ai joué au bac à sable avec Benoît, Monsieur.
— Eh bien, Bastien, si tu arrives à écrire « bac » correctement au tableau, tu pourras rentrer en même temps que Benoît… Voilà, c’est parfait.
— Et maintenant toi, Mouloud, qu’est-ce que tu as fait à la récré ?
— Euuuuh, moi, missieur, ji volu jouer au bac à sable, mais Binoît et Bastien zont pas volu, m’ont dit di mi casser !
— Mais, quelle horreur ! C’est la manifestation d’une discrimination scandaleuse d’un groupe ethnique minoritaire dont l’intégration sociale pourrait être remise en cause, et en plus, dans ma classe ! Écoute, Mouloud, si tu écris correctement au tableau « discrimination scandaleuse d’un groupe ethnique minoritaire dont l’intégration sociale pourrait être remise en cause », tu pourras aussi rentrer chez toi une heure plus tôt !
Le prof de psychologie, pendant ses cours pratiques, explique à ses élèves :
— Aujourd’hui nous allons expérimenter les moyens de faire parvenir une personne au comble de l’exaspération
Il décroche un téléphone, appelle une personne dénichée au hasard de l’annuaire, puis demande à l’interlocutrice,
— Bonjour madame, pourrais-je parler à M. Martin s’il vous plaît ?
La brave dame de répondre, surprise,
— Vous faites erreur monsieur, il n’y a pas de M. Martin ici…
(Heureusement d’ailleurs, sans quoi l’histoire serait un flop)
Le professeur s’excuse, raccroche, puis la rappelle :
— Bonjour madame, pourrais-je parler à M. Martin s’il vous plaît ?
La dame, toujours brave mais légèrement agacée :
— Ah ! Non alors, sachez qu’il n’y a pas de M. Martin ici, vous faites erreur, ça va comme ça !
Le professeur s’excuse à nouveau, raccroche, marque une pause, puis, une troisième fois, la rappelle.
Ainsi, la pression montant, répète-t-il l’opération autant que nécessaire jusqu’à ce que l’infortunée correspondante finisse par éclater de fureur.
S’adressant aux étudiants, le professeur les prend à témoin des effets possibles d’une répétition dénuée d’entendement (pour ainsi dire).
Un étudiant, songeur jusqu’alors, prend la parole pour proposer,
— Monsieur, il me semble que nous pourrions faire avancer encore d’un cran l’exaspération de cette dame…
Le prof, d’une lueur mi-curieuse mi-admirative, lui suggère de poursuivre :
L’étudiant zélé décroche le combiné, rappelle la suppliciée, et, d’un ton des plus courtois, lui demande,
— Bonjour madame, je suis M. Martin, pourriez-vous je vous prie m’indiquer s’il y a eu des appels pour moi ?
Silence. Un râle. Un bruit sourd.
Si la raison permet d’éviter l’explosion, seul la zen-attitude sauvera de l’implosion.
Les 10 commandements de l’École
- Ne sèche pas un cour : sèche toute la journée
- N’embrasse jamais dans les couloirs : Les coins sont plus confortables
- Ne pousse pas dans les couloirs : Dans les escaliers, ça fait plus mal
- N’emprunte pas à tes amis : vole-les
- Ne copie jamais : décalque
- Ne fais pas de croche-pieds aux autres : Attends les profs
- Ne déchire pas tes livres : Brûle-les, c’est plus excitant !
- Ne parle pas en classe : Crie, tu obtiendras plus d’attention
- Ne dépasse jamais 1 ou 2 personnes dans la file de la cantine : Dépasse toute la file, c’est mieux
- Si un prof se tue à t’expliquer : Sois patient et laisse le mourir
— Les hommes intelligents, dit un professeur de philosophie, sont toujours dans le doute. Il n’y a que les idiots pour être affirmatifs.
Un élève questionne :
— Vous êtes sûr de ce que vous avancez là ?
— Certain, fait le professeur.
Les mecs qui payent 8000€ / an pour une école de commerce, j’espère qu’on leur apprend comment vendre un an d’école de commerce à des pigeons.
🔗Voir la blagueDans une classe de biologie, le professeur explique que le sperme contient un taux de glucose très élevé.
Une jeune fille de première année lève la main et pose la question :
— Si je comprends bien, vous êtes en train de dire qu’il y a autant de glucose dans le sperme que dans le sucre ?
Le professeur :
— C’est vrai.
La jeune fille réfléchit un peu puis relève la main et demande :
— Dans ce cas, pourquoi cela n’a-t-il pas un goût de sucre ?
Après quelques secondes d’un silence étonné, la classe entière éclate de rire, et la pauvre fille, prenant conscience de ce qu’elle vient de dire malencontreusement, vire au rouge brique, ramasse ses affaires, et sort de l’amphi.
Cependant, sur le chemin de la sortie, elle entend la réponse du professeur, très pince-sans-rire :
— Mademoiselle, c’est parce que les papilles gustatives sont sur le bout de la langue, et non au fond de la gorge.