je suis venu, j'ai cliqué,
Professeur (99 blagues)
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Des étudiants en médecine reçoivent leur premier cours d’anatomie avec un vrai corps humain.
Ils sont tous réunis autour d’une table d’opération avec le corps recouvert d’un drap blanc. Le professeur leur dit :
— En médecine, il faut avoir 2 qualités importantes. La première il ne faut pas être dégoûté.
La dessus le prof retire le drap, enfonce un doigt dans l’anus du mort et quand il l’a retiré, il suce son doigt.
— Allez faites la même chose que moi.
Les étudiants après quelques minutes d’hésitation passent chacun leur tour. Ils enfoncent le doigt dans l’anus du mort et sucent leur doigt après l’avoir retiré.
Quand tout le monde a fini, le prof les regarde et leur dit :
— La seconde qualité c’est l’observation. J’ai enfoncé mon majeur et j’ai sucé mon index.
D’après une brève dans un journal, une école privée de Washington a été confrontée récemment à un problème inhabituel. Un nombre croissant de jeunes filles de 12 ans ont commencé à utiliser du rouge à lèvres et à se l’appliquer dans les toilettes. Jusque là, aucun problème, mais après l’avoir mis, elles appliquaient leurs lèvres sur le miroir, laissant des douzaines de petites marques.
Chaque nuit, l’homme de ménage devait nettoyer le miroir et chaque jour les filles recommençaient. Au final, le principal a décidé de faire quelque chose et a organisé une réunion entre les filles et l’homme de ménage dans les toilettes. Il a ensuite expliqué que les marques étaient un gros problème pour le nettoyage car très dures à retirer.
Pour montrer à quel point ces marques sont difficiles à enlever, il demande à l’homme de ménage de nettoyer le miroir.
Celui-ci prend alors son balai éponge, le trempe dans une cuvette de toilettes et nettoie le miroir avec.
Depuis, il n’y a plus de marques de rouge à lèvres…
🔗Voir la blagueHeureux l’étudiant qui, comme la rivière, arrive à suivre son cours sans sortir de son lit.
🔗Voir la blagueJ’ai demandé à mon fils ce qu’il préférait à l’école, il m’a répondu « mater des seins ».
J’ai mis du temps à comprendre.
J’avais convoquée la mère d’une de mes élèves pour lui signaler que sa fille trouble la classe par ses bavardages incessants.
Mais pendant le quart d’heure avec elle, je n’ai pas eu l’occasion de placer un mot.
La langue allemande est relativement facile.
La personne qui sait le latin et est habituée à faire des déclinaisons l’apprend sans grandes difficultés. C’est ce que les professeurs d’allemand disent lors de la première leçon.
Ensuite on commence à étudier le der des den dem die et ils disent que tout est une suite logique.
C’est donc facile : pour s’en rendre compte on va regarder un cas d’un peu plus près : En premier vous achetez Le livre d’allemand. C’est un livre magnifique fourré d’une toile publié à Dortmund et qui raconte les us et coutumes des Hotentots (auf Deutsch : Hottentotten).
Le livre raconte que les kangourous (Beutelratten) sont capturés et placés en cages (Kotter) couvertes d’un tissu (Lattengitter) pour les abriter des intempéries. Ces cages s’appellent en allemand « cages couvertes de tissu » (Lattengitterkotter) et lorsqu’elles contiennent un kangourou ça s’appelle (Lattengitterkotterbeutelratten).
Un jour les Hotentots arrêtèrent un assassin (Attentater) accusé d’avoir tué une mère (Mutter) hotentote (Hottentottenmutter) mère d’un fils bête et bégayeur (Stottertrottel).
Cette mère se dit en allemand Hottentottenstottertrottelmutter et son assassin s’appelle Hottentottenstottertrottelmutterattentater. La police capture l’assassin et le met provisoirement dans une cage à kangourou (Beutelrattenlattengitterkotter) mais le prisonnier s’échappe.
Tout de suite commencent les recherches et soudain vient un guerrier Hotentot en criant :
— J’ai capturé l’assassin (Attentater).
— Oui ? Lequel ? demande le chef.
— Le Lattengitterkotterbeutelratterattentater répond le guerrier.
— Comment, l’assassin qui est dans la cage à kangourous couverte d’une toile ? demande le chef des hotentotes.
— C’est, répond l’indigène, le Hottentottenstottertrottelmutterattentater. (L’assassin de la mère hotentote de l’enfant bête et bégayeur).
— Mais bien sûr ! répond le chef hotentote. T’aurais pu dire tout de suite que tu avais capturé le Hottentottenstottertrottelmutterlattengitterkotterbeutelrattenattentater.
Comme vous pouvez le constater, l’allemand est une langue facile. Il suffit de s’y intéresser…
🔗Voir la blagueLa maîtresse demande :
— Chacun votre tour vous allez me raconter ce que vous voulez faire plus tard, quand vous serez grands.
Et chacun leur tour, ils racontent :
— Moi, quand je serai grand, je veux être un grand joueur au TFC et puis si ça marche pas je serai petit joueur au PSG.
— Moi, quand je serai grand, je veux être chirurgien et puis si ça marche pas je serai brancardier.
— Moi, quand je serai grande, je veux être actrice et puis si ça marche pas je serai caissière au cinéma.
— Moi, quand je serai grand, je veux être un grand athlète et puis si ça marche pas je serai prof de gym.
— Moi, quand je serai grand, je veux des femmes et du champagne, dit Toto.
La maîtresse s’exclame en riant :
— Ah bon… Et si ça ne marche pas ?
Toto répond :
— Branlette et Champomy.
La maîtresse demande à ses élèves de faire une phrase avec « et pourtant ».
— Vas-y Patrick, montre-nous un exemple
— Hier j’ai été à la pêche avec mon papa et pourtant il pleuvait !
— Oui ce n’est pas trop mal. À toi Isabelle.
— Le chat a attrapé une souris et pourtant elle courait vite !
— Voilà c’est très bien. À toi Raoul.
Raoul réfléchit un instant et se lance :
— Les filles mouillent entre les jambes et pourtant elles ne rouillent pas !!!
La maîtresse est très mécontente :
— Tu me copieras 100 fois « je ne raconte pas de grossièreté en classe » pour demain et tu prépareras une phrase correcte avec « et pourtant ».
Le lendemain Raoul remet sa punition à la maîtresse.
— J’espère que tu as compris. Vas-y dis-nous ta nouvelle phrase.
— La terre est ronde (la maîtresse se dit que pour l’instant, ça commence bien), et pourtant ça baise dans tous les coins !
La maîtresse demande à Toto :
— Qu’est-ce que la légitime défense ?
— C’est quand mes notes sont tellement mauvaises que je suis obligé de signer moi-même mon carnet.
La maîtresse demande un jour aux enfants :
— Avec quoi fait-on de la compote ?
Les mains se lèvent :
— Avec des pommes, avec des poires, avec des pêches, etc…
Et un petit garçon qui dit : « avec des moules » !
La maîtresse lui demande :
— Es-tu sûr de toi ? Les moules, ce sont des fruits de mer, mais je ne crois pas qu’on fasse de la compote avec. Sais-tu comment on fait ça ?
Le petit garçon :
— Ben je ne connais pas la recette mais ma mère quand elle se lève le matin, elle dit toujours : « J’ai la moule en compote »