je suis venu, j'ai cliqué,
Homme et femme (452 blagues)
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Coucou chéri, je t’ai acheté un cadeau, une belle cravate soldée. J’en ai profité pour me prendre une trentaine de paires de chaussures.
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Dans cette famille de jeunes mariés, le mari a perdu son emploi depuis plus d’un an : impossible de trouver un nouveau job. Après avoir essayé tous les stages rémunérés et autres formations diplômantes, notre gars se retrouve encore et toujours au chômage.
Après moult réflexions avec sa femme, un beau soir, la femme a une idée :
— Il faut faire quelque chose pour trouver de l’argent. Le RSA ne suffit pas. Je vais me prostituer !
— Quoi, tu n’y penses pas ? ! Moi vivant, jamais tu ne vendras ton corps !
Mais à force d’insister, la femme obtient gain de cause. Alors le soir même, sur le coup de 20 heures, la femme quitte la maison et se dirige vers le boulevard.
Plusieurs heures passent. Vers 1h00 du matin, le mari commence à s’inquiéter, surtout qu’elle est jeune, belle, et qu’elle n’a aucune expérience de ces choses-là. Ce n’est que sur le coup des 3 heures du matin que son épouse rentre à la maison. Le mari l’accueille tout réjoui, puis il lui demande comment ça s’est passé. Elle lui répond :
— Oh très bien. Je me suis fait quinze euros cinquante.
— Quoi ? ! Tu es restée dehors 7 heures et tu ne t’es fait que 15,5 € ! Et puis d’abord qui a osé te donner 50 centimes ?
Alors la femme rougit et dit :
— Ben… tous.
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Dans l’autobus, un type assis en face d’une jeune femme la regarde avec insistance. Excédée, elle lui dit :
— Monsieur, je vous en prie ! Arrêtez de me dévisager comme ça !
— Je ne dévisage pas, fait l’autre, j’envisage…
Dans le calendrier de l’Avent de ma femme, j’ai remplacé chaque chocolat par une feuille de salade. J’espère qu’elle comprendra le message.
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Dans les tranchées pendant la guerre. Il y a le coté des Français, et celui des Allemands.
Coté des Français :
— Bon les gars j’ai une idée du tonnerre !
— Vas-y raconte !
— Bon, comme vous le savez, tous les boches s’appellent Hans… et bien voila ce que nous allons faire…
Après avoir chuchoté quelques consignes, un des français sort de la tranchée avec son fusil pendant qu’un autre crie :
— Hans chéri ! Tu es là ?
À ce moment, un allemand se lève en criant
— Yawohl ?
Le tireur français n’hésite pas, il tire et tue le boche !
Toute la soirée, ils se moquent des Allemands en répétant cette action…
Coté allemand, on n’est pas en reste :
— Arrrr camarades !….Il faut se fencher ! Tous les français s’appellent Chean (Jean), nous avons les afoir !
Un allemand prépare son fusil tandis qu’un autre est chargé d’attirer le français…
— Jean ?
— Ça dépend, c’est Hans ?
Dans un bar, un mec un peu bourré est sur son tabouret en train de boire sa n-ième bière. Une fille vient s’asseoir à côté de lui et lui parle à l’oreille :
— Dis donc chéri, ça te dirait d’aller prendre un peu de bon temps, toi et moi ?
Le gars fait mine de ne pas s’occuper d’elle, alors la fille laisse son tabouret et fait mine de s’en aller. Alors qu’elle a le dos tourné, le gars lance bruyamment :
— Ma poule, c’est sûr que tu saurais y faire, mais j’ai même pas 5 euros à te donner pour ça !
Alors la fille se retourne et lance encore plus bruyamment :
— Et qu’est-ce qui te fait croire que je facture au centimètre ?
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La scène se passe dans un train.
Dans un compartiment, un gars et une vieille dame.
Le gars, assis, mange bruyamment des crevettes roses qu’il sort d’un sac. Il les décortique et jette les carapaces par la fenêtre du train…
La vieille femme assise en face lui dit :
— Pouvez-vous arrêter de faire ça ? C’est dégoûtant, ça sent très mauvais !
Le gars lui répond :
— Écoute chérie ! Je n’ai rien contre toi, ne m’énerve pas ! J’ai payé mon billet pour ce voyage et je ferai ce que je veux dans ce train !
Sur ce, il continue à décortiquer et à manger encore plus bruyamment ses crevettes et à jeter les carapaces par la fenêtre.
Enfin, quand il a fini son sac de crevettes, il le jette aussi par la fenêtre et décide de piquer un petit roupillon…
À ce moment, la petite vieille sort ses aiguilles et se met à tricoter.
Le gars n’arrive pas à s’endormir à cause du cliquetis incessant des aiguilles…
Au bout de quelques minutes, il se redresse et dit à la vieille femme :
— Hé mémé ! Tu ne veux pas arrêter ce bruit ? Tu ne vois pas que j’essaye de dormir ?
Alors, la petite vieille lui répond :
— Écoute mon chou, je n’ai rien contre toi, ne m’énerve pas ! J’ai payé mon billet pour ce voyage et je ferai ce que je veux dans ce train !
Alors, le gars se lève, furax, saisit les aiguilles à tricoter de la petite vieille et les jette par la fenêtre du train.
La petite vieille se lève à son tour et tire sur le signal d’alarme.
Le mec rigole et dit :
— Ha ! ha ! Tu vas te prendre une amende de 200 euros pour ce coup là !
Et la petite vieille lui répond :
— Et toi, tu vas te prendre dix ans pour tentative de viol… lorsque la police sentira tes doigts !
Dans un restaurant Italien, un mafioso dit à son homme de main :
— Hey Tony ! Va te branler dans les toilettes !
— Mais Patron, je n’ai pas le goût de me branler…
— Tony… Tony… n’oublie pas que c’est moi le patron, je t’écrase quand je veux.
— D’accord patron.
Cinq minutes plus tard, Tony revient et son patron lui dit :
— Tony ! Retourne te branler dans les toilettes.
— Mais patron j’en revient.
— Tony…
— D’accord patron.
Cinq minutes plus tard, Tony revient et son patron lui redemande la même chose.
— Mais patron je ne suis vraiment plus capable de me branler.
— C’est bien Tony, prends les clés et va reconduire ma femme.
Dans un sanatorium spécialisé pour les handicapés physiques, un cul-de-jatte annonce un beau jour à ses amis qu’il s’apprête à les quitter pour aller se marier. Les autres le félicitent et se cotisent pour lui offrir un cadeau (non, pas une montre…).
Quelques jours plus tard, le cul-de-jatte s’en revient rendre visite à ses anciens amis. Ils lui demandent comment s’est passé le mariage, et cherchent à en savoir un peu plus :
— Mais enfin, tu ne nous as pas dit, avec qui t’es-tu marié ? Comment est-elle ?
— Eh bien, je me suis trouvé une autre cul-de-jatte ! répond le jeune marié.
Les autres en cœur :
— Mais alors il faut qu’on sache : pour faire l’amour, comment vous faites ? !
— Ah, ça… répond le cul-de-jatte, heureusement que ma belle-mère est-là !
— Comment ça ? demandent les amis du sanatorium.
— Eh bien, elle pose sa fille sur la commode, moi elle me met dans un tiroir… et elle ouvre le tiroir… elle ferme le tiroir… elle ouvre le tiroir… elle ferme…
Dans un village africain, le chef du village vient d’avoir un enfant. Problème : celui-ci est né blanc. Désespéré et un peu aigri, il va voir le sorcier du village, pour comprendre ce phénomène.
— Dis moi sorcier, je ne comprends pas pourquoi mon enfant est blanc, peux tu m’expliquer ?
— Hum, as tu bien fais l’amour avec ta femme comme je te l’ai expliqué ?
— Ah oui, oui tout comme tu m’as dit !
— Hum, voyons voir, reprenons depuis le début, lorsque tu as fait l’amour avec ta femme, as tu bien posé ta bouche sur sa bouche, bien comme il faut, bien hermétiquement là ?
— Euh oui, c’est comme cela que j’ai fait…
— Ah, et lorsque tu as mis ton gros sexe dans la foufoune de ta femme, l’as tu bien mis comme il faut, bien collé hermétiquement et jusqu’au bout du fond ?
— Euh, attends…Je demande à ma femme… Oui oui, elle me dit que je l’ai bien mis au fond bien comme il faut !
— Et au moment où tout s’est fait, as-tu bien mis ton pouce dans le trou du cul de ta femme là, didon ?
Là, le chef se met à réfléchir et dit :
— Ah non, ouh là là, ça je l’ai complètement oublié dans l’instant !
— Eh bien voila, ne cherche plus, c’est par là que la lumière est passée.