je suis venu, j'ai cliqué,
Homme et femme (453 blagues)
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Voici quelques phrases relevées dans des cours de justice américaines.
— Quel est le jour de votre anniversaire ?
— 18 juillet.
— Quelle année ?
— Chaque année.
— Dans quoi étiez-vous au moment de l’impact ?
— Un sweat-shirt Gucci et des Reebok.
— Cette maladie, affecte-t-elle vraiment votre mémoire ?
— Oui.
— Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
— J’ai oublié.
— Vous avez oublié. Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?
— …
— Quelle fut la première chose que votre mari vous a dite quand il s’est réveillé ce matin-là ?
— Il a dit « Où suis-je Cathy ?
— Et pourquoi cela vous a-t-il mis en colère ?
— Mon nom est Susan.
— Et à quel endroit a eu lieu l’accident ?
— Approximativement au kilomètre 499.
— Et où se trouve le kilomètre 499 ?
— Probablement entre les kilomètres 498 et 500.
— Le plus jeune fils, celui de 20 ans, quel âge a-t-il ?
— Étiez-vous présent quand votre photo a été prise ?
— Était-ce vous ou votre plus jeune frère qui fut tué durant la guerre ?
— Vous a-t-il tué ?
— À quelle distance étaient les véhicules au moment de la collision ?
— Vous étiez là jusqu’à ce que vous partiez, est-ce exact ?
— Combien de fois vous êtes-vous suicidé ?
— Elle avait trois enfants, vrai ?
— Oui.
— Combien de garçons ?
— Aucun.
— Il y avait des filles ?
— Docteur, combien d’autopsies avez-vous effectuées sur des morts ?
— Toutes mes autopsies ont été effectuées sur des morts.
— Toutes vos réponses doivent être orales. À quelle école êtes-vous allé ?
— Orale.
— Vous souvenez-vous à quelle heure vous avez examiné le corps ?
— L’autopsie a commencé vers 20h30.
— Et M. Dennington était mort à cette heure ?
— Non, il était assis sur la table à se demander pourquoi je faisais une autopsie.
— Docteur, avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
— Non.
— Avez- vous vérifié la pression sanguine ?
— Non.
— Avez-vous vérifié s’il respirait ?
— Non.
— Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand vous avez commencé l’autopsie ?
— Non.
— Comment pouvez-vous en être certain, Docteur ?
— Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
— Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en vie ?
— Il est possible qu’il ait été encore en vie et en train d’exercer le métier d’avocat quelque part.
— Qu’a donné le prélèvement de tissu vaginal ?
— Des traces de sperme.
— Du sperme masculin ?
— C’est le seul que je connaisse.
— Avez-vous couché avec lui à New York ?
— Je refuse de répondre à cette question.
— Avez-vous couché avec lui à Chicago ?
— Je refuse de répondre à cette question.
— Avez-vous couché avec lui à Miami ?
— Non.
— Répétez après moi s’il vous plaît : « Je jure devant Dieu… »
— Je jure devant Dieu…
— « Que le témoignage que je vais apporter… »
— Oui
— Répétez-le.
— Répétez-le.
— Non ! Répétez ce que j’ai dit.
— Ce que vous avez dit quand ?
— « Que le témoignage que je vais apporter… »
— Que le témoignage que je vais apporter…
— « Sera la vérité et… »
— Oh, oui ! Et rien que la vérité !
— S’il vous plaît, contentez-vous de répéter après moi : « Sera la vérité et… »
— Je ne suis pas lettré, vous savez.
— Nous pouvons le constater. Répétez après moi : « Sera la vérité et… »
— « Sera la vérité et… »
— Dites : « rien… ».
— D’accord. (Le témoin se tait.)
— Non ! Ne dites pas rien. Dites : « Rien que la vérité »
— Oui.
— Pouvez-vous dire « Rien que la vérité » ?
— Oui.
— Et bien, faites-le !
— Vous m’embrouillez.
— Dites simplement : « Rien que la vérité ??? »
— C’est tout ?
— Oui.
— Bien. Je comprends.
— Alors dites-le !
— Quoi ?
— « Rien que la vérité »
— Mais je le fais ! Je dirai la vérité.
— Vous devez dire : « Rien que la vérité »…
— Mais je dirai toute la vérité !
— S’il vous plaît répétez ces quatre mots. « Rien », « Que », « La », « Vérité ».
— Quoi ? Vous voulez dire, comme ça ?
— Oui ! Comme cela s’il vous plaît. Dites simplement ces quatre mots.
— « Rien. Que. La. Vérité. »
— Merci
Vous êtes un vrai geek et vous vous demandez pourquoi votre copine reste avec vous ?
Voici donc venu le temps d’éclairer la lanterne de nos lecteurs dubitatifs. Toutes autant que nous sommes, nous assumons et revendiquons notre condition de compagne d’informaticien fou (et mal rasé). Oui, la vie avec un geek a des avantages et pas des moindres. Voici un recueil de ces petits bonheurs qui rendent la vie avec un geek si douce et trépidante…
Dépanneur à domicile
Il répare votre PC. Vous avez VOTRE dépanneur à domicile prêt à intervenir 24/7 (attention contrairement aux SAV et hotlines classiques aucune maintenance de Windows n’est assurée). Et votre machine reste à la pointe : vous récupérez tout un tas de super matos qui ne lui sert plus. Comme la carte graphique GeForce qu’il a achetée le mois dernier et dont il ne veut déjà plus parce qu’il en a trouvé une encore mieux. En plus c’est presque gratuit et lui y prend beaucoup de plaisir…
Internet à toute vitesse
Vous bénéficiez d’une connexion haut débit à la maison vous restez à la pointe des kbps parce que votre homme voudra toujours avoir chez lui la dernière connexion à la mode qui va super vite. Là aussi vous avez un avantage financier en bonus : un geek est souvent peu regardant sur la facture il oubliera de vous faire payer votre part (et de se raser).
Votre espace d’expression vestimentaire
Vous pouvez bénéficier de plein de place libre dans l’armoire (quand il y en a une dans la maison du geek)… C’est vrai : c’est pas 4 t-shirts, 2 jeans et 8 caleçons (+ un pull pour l’hiver) qui vont prendre trop de place dans la chambre. Alors lâchez-vous, ne mettez plus de limite à votre boulimie de fringues vous avez toute la place qu’il vous faut pour stocker. Quoi, ça coûte cher ? Mais le geek là il peut payer non ? Et après il ira se raser aussi.
Trucs & astuces : cette loi est aussi valable pour les vacances : plein de place dans la valise pour les petits bikinis de la copine de geek.
Calculator
Vous économiserez les piles de votre calculatrice. Car il faut savoir que le geek aime faire les calculs de tête et les fait parfois très vite (quand il s’agit de se raser c’est le contraire). La fiabilité du résultat est estimé à 98 % (les 2 % d’échecs sont dus aux méchantes virgules flottantes).
Menu gastronomique
Vous êtes assurée de ne jamais mourir de faim ou de soif. Vous ne manquerez jamais de pâtes ou de coca. Les geeks évolués auront même le bon goût de remplir leur congélateur de plats cuisinés tellement pratiques et rapides à préparer. Et vous boirez toujours du bon café chez un geek qui se respecte.
Des parties de plaisir à deux
Vous vous adonnez aux plaisirs des parties de jeu vidéo à deux. Quel bonheur de jouer avec l’élu de son cœur. Et même s’il s’agit bien souvent de faire exploser le crâne de vos ennemis à coup de bazooka, le jeu est un grand moment de complicité que vous n’auriez sûrement jamais pu vivre avec un autre homme un prix Nobel de littérature par exemple.
Un romantisme échevelé (et toujours aussi mal rasé)
Vous êtes l’objet de petites attentions charmantes et originales. Des messages d’amour en rot13 (méthode de chiffrement des messages), des bouts de code à coller dans votre XTerm (alors les filles évidemment il faut avoir un XTerm sous la main) qui se transforment en déclarations enflammées, des petits programmes développés spécialement pour vous qui font exactement ce dont vous avez besoin et tout un tas de mots d’amour qui vous arriveront par les diverses voies électroniques. C’est quand même autre chose qu’une boîte de chocolats ou qu’un bouquet de fleurs !
Et aussi…
Votre chéri remplit également votre morne vie avec :
- Un cercle d’amis joviaux. Toujours prompts à la plaisanterie on ne s’ennuie jamais avec eux (pour peu qu’on sache de quoi ils causent).
- De saines activités sportives. Le transport de moniteur 19 pouces c’est bon pour les biceps.
- Des petites vis. Toute femme qui se respecte sait qu’on a toujours besoin de petites vis chez soi. Justement le geek en a plein. Il vous en donnera à condition que vous sachiez argumenter : faut pas gâcher, on ne les trouve pas si facilement.
Winston Churchill et une noble anglaise lors d’un débat très avancé. La noble lui dit :
— Moi, monsieur, si j’étais votre femme, je mettrais du poison dans votre soupe !
— Et moi, madame, si vous étiez ma femme, je le boirai !