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Homme et femme (452 blagues)
Voir aussi :
Le mariage c’est comme un mirage dans le désert :
Oasis, palais, cocotiers, chameau,…
Mais soudain tout disparaît, et il ne reste que le chameau !
🔗Voir la blagueLe mariage, c’est le triomphe de l’imagination sur l’intelligence.
Le second mariage, c’est le triomphe de l’espoir sur l’expérience.
Le mari rentre d’une visite médicale et dit à sa femme que le docteur a besoin d’un échantillon d’urine, d’un échantillon de selles et d’un échantillon de sperme. Sa femme lui répond :
— Facile, tu n’as qu’à lui donner un de tes caleçons !
Le mari se penche et demande à sa femme :
— Te souviens-tu de la première fois que nous avons fait l’amour, il y a plus de cinquante ans ? Nous sommes allés derrière le bar du village. Tu t’es appuyé sur la clôture et je t’ai fait jouir.
— Oui, je m’en souviens comme si c’était hier !
— Que dirais-tu de retourner là-bas, et de refaire l’amour comme au bon vieux temps ?
— Oh Jim, vieux coquin, c’est une folie, mais une super idée !
Un homme assis juste à côté a entendu leur conversation et, riant tout seul et un peu pervers, se dit qu’il doit voir ces deux anciens baiser contre une clôture.
Le couple de vieux marche doucement, s’appuyant l’un sur l’autre pour se soutenir aidé par leurs cannes.
Enfin, ils arrivent au fond du bar et se dirigent vers la clôture. La vieille dame soulève sa jupe et le vieil homme baisse son pantalon. Alors qu’elle s’appuie contre la clôture, le vieil homme entre…
Puis, soudain,le témoin assiste à la scène de sexe la plus folle qu’il ait jamais vu. Cela dure environ dix minutes pendant que les deux vieux font des bruits forts, gémissent et crient. Finalement, ils s’effondrent tous les deux, haletant sur le sol.
Le type est stupéfait. Il se dit qu’il a appris quelque chose sur la vie et la vieillesse.
Après environ une demi-heure de récupération allongés sur le sol, le vieux couple se remet debout et se rhabille.
Le type qui regardait toujours se dit qu’il doit absolument leur demander leur secret. Alors que le couple passe, il s’enquiert :
— Excusez-moi, mais c’était vraiment incroyable. Vous avez dû avoir une vie sexuelle fantastique ensemble. Y a-t-il une sorte de secret là-dedans ?
Tremblant, le vieil homme est à peine capable de répondre :
— Il y a cinquante ans, ce n’était pas une clôture électrique.
Le mari sort de la salle de bains complètement nu et très en forme.
Voyant venir son mari, la femme lui dit :
— Pas ce soir, chéri, j’ai très mal à la tête…
— Ça tombe bien : j’ai saupoudré mon sexe avec de l’aspirine. Tu le veux en cachet ou en suppositoire ?
Le mari vient de terminer la lecture du livre « L’HOMME DE LA MAISON » Il arrive en toute hâte dans la cuisine, marche vers sa femme et, tout en lui pointant le doigt à la figure, lui dit :
— À partir de maintenant, je veux que tu saches que JE suis l’homme de la maison et ma parole est loi ! Je veux que tu me prépares un repas gourmet et quand j’aurai terminé de manger mon repas, je m’attends à un somptueux dessert. Ensuite, après le souper, tu vas me faire couler un bon bain afin que je puisse me relaxer et quand j’en aurai terminé avec mon bain, devine qui va me peigner et m’habiller ???
Et sa femme de répondre :
— Les pompes funèbres, connard !!!
Le mari vient de terminer la lecture du livre « L’HOMME DE LA MAISON ».
Il arrive en toute hâte dans la cuisine, marche vers sa femme et, tout en lui pointant le doigt à la figure, lui dit :
— À partir de maintenant, je veux que tu saches que JE suis l’homme de la maison et ma parole est loi !Je veux que tu me prépares un repas gourmet et quand j’aurai terminé de manger mon repas, je m’attends à un somptueux dessert. Ensuite, après le souper, tu vas me faire couler un bon bain afin que je puisse me relaxer et quand j’en aurai terminé avec mon bain, devine qui va me peigner et m’habiller ?
— Les pompes funèbres, connard !
Le matin je ne mange pas, je pense à toi.
Le midi je ne mange pas, je pense à toi.
Le soir je ne mange pas, je pense à toi.
La nuit je ne dors pas, je crève la dalle !
L’enfant dans le berceau est tout noir.
Devant la mine interloquée de son mari, la maman s’explique :
— Mon amour, je comprends ta surprise, mais vois-tu, je sais pourquoi notre enfant est noir. Tu sais que quand j’étais petite, mon père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant. Ma mère avait choisi une nourrice noire, Lili. Les gènes de son lait sont passés directement dans mon sang et voilà pourquoi notre enfant est noir.
— Ah bon ? C’est pour ça ?
Le jeune papa va au téléphone annoncer la naissance de l’enfant à sa propre maman.
— Oh mon chéri comme je suis heureuse, est-ce qu’il te ressemble ?
— Je suis l’homme le plus heureux de la terre, mais bon, il est juste heu… hum, bon à vrai dire, il est noir… Mais j’ai l’explication. Voilà : Est-ce que tu savais que quand ta belle-fille était petite, son père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant, et sa mère avait choisi Lili, une nourrice noire. Les gènes de son lait sont passés dans son sang et voilà pourquoi notre enfant est noir.
— Ah oui, je comprends, répond la mère. C’est comme pour toi quand tu étais bébé, je t’ai nourri au lait de vache, les gènes ont dû passer dans ton sang et c’est pour ça que tu as des cornes !
Le patron d’une entreprise vient d’engager un homme, lequel doit se présenter au travail le lundi.
Le lundi matin, l’homme téléphone et dit qu’il est malade.
Le patron l’excuse et, le mardi matin, le nouvel employé arrive et travaille tellement bien le restant de la semaine qu’il gagne le respect de tout le monde.
Le lundi d’après, il téléphone et annonce qu’il est malade.
Le patron l’excuse une fois encore, non sans noter que ça fait le deuxième lundi qu’il lui fait le coup.
Le type arrive le mardi matin et travaille tout le restant de la semaine encore mieux que la semaine précédente.
Le troisième lundi, le type téléphone : il est malade.
Le patron l’excuse, mais prend note de le convoquer le lendemain matin.
Le mardi matin le type arrive et est immédiatement convoqué dans le bureau du patron.
— Écoutez, vous êtes un excellent employé, je n’ai absolument pas à me plaindre de vous, mais ce n’est plus possible. Vous ne pouvez pas être malade tous les lundi.
— C’est que, voyez-vous, ma sœur a fait un très mauvais mariage et j’ai l’habitude de passer chez elle tous les lundis matin avant d’aller travailler pour la réconforter. Une chose menant a l’autre, nous finissons par faire l’amour toute la journée.
— Avec votre sœur ? Mais c’est dégoûtant !
— Je vous avais dit que j’étais malade !