je suis venu, j'ai cliqué,
Homme et femme (452 blagues)
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Ivan, un jeune gars de vingt-cinq ans, est venu à Moscou pour acheter une voiture. Ouvrier dans une ville de province, il est très impressionné de se retrouver pour la première fois dans la capitale. Il se sent un peu perdu. Sur une immense avenue, il découvre un bâtiment dont la façade est longue de cinquante mètres et au sommet duquel trône une gigantesque enseigne « Volga » faite de lettres hautes de huit mètres.
À l’intérieur du bâtiment, des centaines de personnes forment de longues files d’attente jusqu’à des guichets. Casquette à la main, notre homme prend humblement son tour dans la queue et au bout d’une demi-heure il se retrouve devant un vendeur :
— Camarade, je viens me renseigner pour savoir comment faire pour acheter une de vos magnifiques voitures Volga.
— C’est très simple, camarade. Tu m’apportes une valise avec cinq cent mille roubles en liquide, tu choisis la couleur de ta voiture et je te donne la date de livraison.
— Ah ! C’est aussi simple que cela ?
— C’est aussi simple que cela !
— Ah bien, merci beaucoup.
Notre homme ressort, rentre dans sa province et travaille pendant vingt-cinq ans pour économiser la somme dont il a besoin pour s’acheter sa voiture. Au bout de ces vingt-cinq années, il reprend le chemin de la capitale avec dans sa valise cinq cent mille roubles en espèces. Le bâtiment Volga est toujours situé au même endroit. À l’intérieur ce sont toujours d’interminables files d’individus attendant leur tour. En entrant Ivan a repéré le vendeur qui l’avait renseigné vingt-cinq ans auparavant. Certes celui-ci a vieilli, grossi, les quelques cheveux qui lui restent sont devenus gris, mais c’est bien le même homme. « Il ne se souviendra pas de moi, se dit Ivan, mais je préfère me mettre dans sa file, on ne sait jamais. » Cela le rassure de revoir la même tête. Au bout de trois quarts d’heure, il se retrouve en présence de son vendeur :
— Camarade ?
— C’est pour commander ma voiture, c’est bien toujours cinq cent mille roubles dans une valise ?
— Absolument, camarade, le prix n’a pas changé.
Notre homme tend sa valise. Le vendeur l’ouvre et compte les roubles :
— Le compte y est, camarade, quelle couleur choisissez-vous ?
Il tend à Ivan un prospectus avec le choix des couleurs :
— Attendez, attendez, cela fait vingt-cinq ans que je travaille pour pouvoir me payer cette voiture et…
— Pressez-vous, camarade, pressez-vous, vous voyez bien qu’il y a la queue derrière vous…
— Oui, oui, je comprends. Eh bien disons gris, que me conseillez-vous ?
— Gris, rouge, vert, bleu ou même noir si vous voulez, moi vous savez c’est pas mon problème. C’est votre voiture, c’est à vous de choisir.
— Ah, la la ! Ma femme la voudrait rouge, mais…
— Écoutez, camarade, décidez-vous. Vous faites attendre les autres camarades.
— Oui, oui, alors disons une bleue.
— Eh bien voilà ! Une Volga bleue. On est aujourd’hui le 2 mai 1979, vous serez donc livré le 14 juin 1996.
— Ah ! parce qu’il faut que j’attende à nouveau…
— Ah, bien sûr, camarade, les carnets de commandes de l’usine sont archi-pleins.
— Mais mon argent ?…
— Votre argent, on le garde, il sert à payer les camarades ouvriers !
— Ah oui ! Alors je serai livré le 14 juin 1996, oui, oui, oui…
— Si vous n’en voulez pas, je déchire le contrat.
— Non, non, non, c’est très bien. Le 14 juin 1996. Bien, très bien !
Préoccupé, Ivan ressort de chez Volga. Une fois dans la rue, il fait quelques pas, puis rebrousse soudainement chemin et entre à nouveau dans le bâtiment. Cette fois-ci il se rend directement au guichet qu’il vient de quitter et passant devant le camarade dont c’est le tour, il demande au vendeur :
— Excusez-moi, camarade.
— Vous ne voulez plus de votre voiture ?
— Si, si, j’en veux toujours, bien sûr, mais vous m’avez dit le 14 juin 1996 comme date de livraison ?
— Oui, le 14 juin 1996.
— Et ce sera le matin ou l’après-midi ?
— Ah ! Chez Volga, on livre toujours l’après-midi.
— Ah ! Tant mieux, parce que le matin, j’ai le plombier.
Jack et Bob décident d’aller skier pour le week-end.
Après quelques heures de conduite, ils se font surprendre par une grosse tempête de neige. Au travers du blizzard, ils aperçoivent une ferme et demandent à la très jolie dame qui leur a ouvert s’ils ne pourraient pas y passer la nuit.
— Je réalise que c’est une terrible tempête et que je vis seule dans cette énorme maison ; mais mon mari étant décédé depuis peu, j’ai peur que les voisins commèrent si je vous héberge dans la maison.
— Soyez tranquille ma chère dame, dit Bob, nous dormirons dans la grange et serons partis au lever du jour.
La dame étant d’accord, ils s’installent dans la grange et au lever du jour, ils reprennent la route. Ils eurent un très beau week-end de ski.
Mais neuf mois plus tard, Bob reçoit une très surprenante lettre d’un avocat. Il lui faut quelque minutes pour comprendre que cette lettre venait de l’avocat de la dame veuve rencontrée neuf mois plus tôt.
Il se rend chez son ami Jack et lui demande s’il se souvient de la jolie veuve rencontrée neuf mois plus tôt lors de leur week-end de ski.
— Oui je m’en souviens, dit Jack.
— Se pourrait-il que tu te sois réveillé au milieu de la nuit, que tu te sois rendu à sa maison et que tu te sois permis de la visiter ?
— Ouais… hum… oui dit Jack, un peu embarrassé que l’histoire se sache.
— Et est-ce que tu te serais servi de mon nom au lieu du tien ?
Jack devient rouge de gêne et dit :
— Yeah, écoute, je m’excuse, c’est vraiment pas cool ce que j’ai fait… mais pourquoi me demandes-tu tout cela ?
— J’ai reçu une lettre de son avocat, elle est décédée et j’hérite de tout.
J’ai donné un coup de fil à un copain, et je lui ai demandé ce qu’il faisait.
Il m’a répondu qu’en ces temps de confinement, il travaillait sur « le traitement aquathermique des céramiques, du verre, de l’aluminium et de l’acier dans un environnement contraint. »
J’étais impressionné…
Pour mieux comprendre, je lui demandais des précisions et il me déclara qu’en fait « il lavait la vaisselle à l’eau chaude… sous la surveillance de sa femme !… »
🔗Voir la blague— J’ai imaginé une technique en six points pour triompher des femmes les plus rebelles.
— Quel est le premier point ?
— Séduire la femme en question par ma prestance et mes remarques spirituelles.
— Et les points suivants ?
— Je n’ai jamais eu l’occasion de les mettre en pratique. Chaque fois que j’ai expérimenté ma technique, j’ai reçu une paire de claques.
J’ai rompu avec mon copain, il me reprochait plein de trucs.
« Arrête d’utiliser ma brosse à dents pour brosser ta cup ».
Un vrai maniaque.
Jean, très amoureux, sortait depuis trois ans avec une très belle fille appelée Alexandra, et jusqu’à présent il n’avait jamais essayé d’avoir une relation sexuelle avec elle.
Un jour, il commence à la caresser passionnément, il lui enlève tous ses vêtements, mais quand il essaye de lui faire l’amour, elle s’excuse en disant qu’elle le ferait seulement après le mariage, mais que, une fois mariés, elle irait jusqu’à faire « Le Petit Tour Vert ».
Très confus après cela, Jean appelle Johanne, une femme avec qui il fait certaines escapades.
Il se rend donc à son appartement et lui demande de faire… « Le Petit Tour Vert ».
Johanne, effrayée, commençe à crier en disant qu’elle est une femme respectable et que jamais il ne lui passerait par la tête de faire une chose pareille. Elle lui ordonne de sortir immédiatement de chez elle, en lui disant de l’oublier pour toujours.
Encore plus confus, Jean décide d’aller dans un bordel.
Il choisit une belle femme, va dans une chambre avec elle et lui demande si elle faisait de tout.
Elle répond qu’elle ferait n’importe quoi pour de l’argent.
Alors Jean lui demande de faire « Le Petit Tour Vert ».
Elle, pute de profession, répond que bien qu’elle soit pute et vulgaire, c’était une femme très respectable, et commence à le frapper.
Entendant un tel chahut, le gérant ouvre la porte d’un coup de pied et demande :
— Que se passe-t-il donc ?
Jean, plus confus que jamais, lui dit qu’il a simplement demandé à la femme un « Petit Tour Vert » avec lui.
En entendant ceci, le gérant s’enrage et le sort à coup de pieds du bordel en lui criant de ne plus réapparaître dans le coin.
Toujours confus, Jean alla chercher Filip, un ami gay, pour éclaircir ses doutes.
Quand il le rencontre dans son salon de coiffure, ils se saluent très chaleureusement, et Filip lui dit qu’il était prêt à passer la nuit avec lui.
Jean l’amène et lui propose aussi de faire « Le Petit Tour Vert ».
Filip ne supporte pas d’entendre cela, et le frappe à coup de séchoir à cheveux en lui disant qu’il était un pervers, qu’il ne voulait plus le revoir de son vivant, etc. Filip repousse Jean et le fait sortir, aidé par deux de ses assistants.
Jean était maintenant très nerveux et devenait fou….
Il alla chercher Alexandra (sa fiancée) et lui demanda de se marier tout de suite avec lui.
Il voulait faire l’amour avec elle mais il désirait surtout faire « Le Petit Tour Vert ».-
Alexandra accepte et, très euphorique, elle promit qu’elle le rendrait très heureux et qu’ils feraient « Le Petit Tour Vert » autant qu’il le souhaiterait.
Ils se marièrent…. et partirent en lune de miel.
Jean, très inquiet, voulait interrompre le voyage pour faire ce fameux « Petit Tour Vert »….
Dans cette angoisse, il détourna son attention de la route, et il prit un arbre de plein fouet.
Alexandra décéda.
Jean est encore en ce moment en train d’essayer de trouver ce qu’est « Le Petit Tour Vert »… et moi aussi.
J’ai perdu mon temps à lire cette merde de blague et au final, on ne te dit pas ce qu’est ce putain de « Petit Tour Vert », alors je vous en fait profiter aussi.
🔗Voir la blagueJe cherche depuis 3 ans l’assassin de ma femme, mais personne n’accepte de le faire.
🔗Voir la blagueJe déteste quand ma femme me tend le téléphone en disant « Tiens, c’est ta mère ». Alors qu’il est évident que c’est un téléphone.
🔗Voir la blagueDans un café, un gars dit à son ami :
— Je jouerais bien cent euros au tiercé, mais je connais rien aux chevaux…
— Moi non plus, mais j’ai un truc. Fais comme moi tu verras, ça marche à tous les coups. Compte d’abord combien tu as de boutons à ta veste !
— Euh… Quatre !
— Parfait. Et à ta chemise ?
— Voyons… cinq… six… sept !
— Très bien. Et combien de fois as-tu fait l’amour à ta femme depuis 1 mois ?
— Eh bien, douze fois !
— Alors tu joues 4-7-12.
Le soir, le gars écoute les résultats du tiercé. La combinaison gagnante est le 4-7-1 !
— Putain ! s’écrie-t-il dépité, si j’avais su, j’aurais dit la vérité !