je suis venu, j'ai cliqué,
Homme et femme (452 blagues)
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Je suis rentré à la maison, ma femme avait laissé un mot sur le frigidaire : « ça ne fonctionne plus. Je rentre chez ma mère ».
J’ai ouvert le frigo, la lumière s’est allumée et les bières étaient froides. Je ne vois pas de quoi elle parle ?
🔗Voir la blagueJe suis resté amoureux de la même femme durant 49 ans.
Si mon épouse le savait, elle me tuerait !
Je vais quitter mon mari, il ne m’a plus fait l’amour depuis la mort de notre fils.
Je partirais bien dès maintenant, mais l’ambulance bloque encore la porte du garage.
🔗Voir la blagueJuste avant d’aller se coucher un couple se dispute. La femme se sent un peu coupable et décide de se faire pardonner pour cela elle va se mettre au lit en attendant sagement son mari.
Le mari rentre dans la chambre et sa femme le regarde d’un air coquin et lui dit :
— Ce soir je vais te faire quelque chose et crois moi après ça, tu seras l’homme le plus heureux du monde.
Complètement insensible à l’opération séduction de sa femme il lui répond :
— Tu arriveras toute seule à faire tes valises ? Ou tu veux que je t’aide ?
La belle-mère arrive à la maison et trouve son gendre furieux en train de faire ses bagages.
— Mais qu’est-ce qui arrive ?
— Qu’est-ce qui arrive ? Je vais vous le dire ! J’ai envoyé un mail à ma femme en disant que je rentrais de voyage aujourd’hui. J’arrive chez moi et devinez ce que je trouve ? Votre fille, oui votre fille, ma femme quoi, à poil avec un mec dans notre lit conjugal ! C’est fini, je la quitte !
— Du calme, dit la belle-mère ! Il y a quelque chose de bizarre dans cette histoire. Ma fille ne ferait jamais une chose pareille ! Attends, je vais vérifier ce qui s’est passé.
Quelques instants plus tard, la belle-mère est de retour avec un grand sourire :
— Je te l’avais dit qu’il devait y avoir une explication simple : elle n’a pas reçu ton mail !
Un petit garçon de 9 ans demande à sa maman :
— Quel âge as-tu, maman ?
— Cela ne se demande pas mon chéri, lui répond sa mère.
— Combien mesures-tu, maman ?
— Cela n’est pas important mon chéri, reprend la mère.
— Maman, pourquoi toi et papa avez divorcé ? redemande le petit garçon…
— Cela ne te regarde pas mon chéri, dit la mère en terminant la discussion.
Le petit garçon demanda à son meilleur copain pourquoi les adultes ne parlent pas de ces choses-là.
Son copain lui dit :
— C’est vraiment simple, toutes les réponses à nos questions sont sur leur carte d’identité.
Le lendemain, le petit garçon fouille dans le sac à main de sa mère et trouve sa carte d’identité.
Il est ravi de voir que son ami disait vrai, toutes les réponses à ses questions s’y trouvent !
Il court alors voir sa mère et lui dit :
— Maman, je sais ton âge.
— Ah oui ? Et j’ai quel âge ?
— 36 ans. Et je sais combien tu mesures.
— Ah oui ? Combien ?
— 1 mètre 71.
— Et je sais aussi pourquoi toi et papa avez divorcé.
— Hé bien cela m’étonnerait fort !
— Tu as eu un F en sexe… c’est vraiment pas une bonne note !
La cérémonie à la mairie a été simplifiée à l’extrême. Le maire ne dit plus :
— Albert Lepied, voulez-vous prendre pour épouse mademoiselle Josiane Legenou ici présente ? Mademoielle Josiane Legenou, voulez-vous prendre pour époux monsieur Albert Lepied ici présent ?
Mais simplement :
— Lepied voulez-vous prendre Legenou, Legenou, voulez-vous prendre votre pied ?
C’est une femme qui est à l’article de la mort. Son mari lui tient la main, près du lit. Le mari a des larmes qui coulent doucement le long de ses joues. Bref, c’est triste.
La femme essaie de parler :
— Chéri…
Le mari l’interrompt :
— Chut ne parles pas.
Mais la femme insiste de sa voix fatiguée et chevrotante :
— Chéri, laisse-moi parler. Je dois t’avouer quelque chose…
Le mari tout en sanglots :
— Tu n’as rien a avouer. Tout va bien.
La femme :
— Non, tout ne va pas bien. Il faut que je t’avoue une chose sinon je ne pourrais pas mourir en paix : « je t’ai trompé ! »
Le mari lui sert alors la main avec affection et répond :
— Ne te préoccupe pas de ça. Je suis au courant. Pourquoi t’aurais-je empoisonnée sinon ?
La différence entre les besoins et souhaits sexuels d’un homme et ceux d’une femme m’a toujours sidéré.
Au lit l’autre soir avec ma femme, la température montait rapidement.
Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m’arrêta et me dit :
— Non, mon amour, je ne le sens pas bien…
Puis elle ajouta :
— Je n’ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras. Tu n’es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j’aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d’homme !
À mon regard ébahi, elle enchaîna :
— Je voudrais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pour ce que je fais pour toi au lit.
Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n’insistai pas et je m’endormis.
Quelque temps après, comme j’avais des congés à récupérer, je décidai de passer la journée avec elle.
Après un dîner dans un petit restaurant sympa, je l’emmenai dans un grand magasin de mode où je l’invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé. Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star. Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention.
Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu’elle prendrait bien les deux.
À l’étage suivant se trouvait le rayon des chaussures : une paire neuve par robe semblait indispensable. Une jolie paire de boucles d’oreilles lui faisait de l’œil : hop, dans le panier !
Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus !!!
Je la connais, je voyais monter en elle une forme d’excitation indescriptible. Elle voulut même me tester, voir jusqu’où j’irai, car elle s’intéressa aux bracelets de tennis. Elle n’a jamais tenu une raquette, mais bon… Je répondis oui. Puis il y eut quelques paires de bas, de la lingerie, un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles.
Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne, et dit :
— Ça va être cher tout ça, on passe à la caisse ?
Quand je répondis « Non, mon amour, je ne le sens pas bien… », Son visage devint béat d’étonnement et sa bouche resta ouverte.
Je lui dis alors : « je n’ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi.
Tu n’es pas assez en phase avec mes capacités financières d’homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d’achats de femme.«
Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j’ajoutai :
— Je voudrais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t’achète !