je suis venu, j'ai cliqué,
Chrétien (131 blagues)
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Un dimanche, à la messe, le curé dit :
— La semaine prochaine, je ferai mon sermon sur le mensonge.
Pour en savoir plus sur ce pêché, je vous invite à lire l’Évangile selon Saint Marc, chapitre 17. Le dimanche suivant, alors qu’il s’apprête à monter en chaire pour le prêche, le curé pose la question :
— Qui parmi vous a lu St Marc, chapitre 17 ?
Et tout le monde lève la main. Le curé sourit et dit :
— L’Évangile selon Saint Marc ne contient que 16 chapitres. Vous voilà tous prêts à entendre mon sermon sur le pêché de mensonge !
Un dimanche matin, un vieil homme entre dans une église huppée de centre ville.
Il était vêtu de vieilles bottes usagées, d’une salopette sale et d’une chemise au col tout élimé. Et il sentait aussi mauvais que son air était minable !
Certains membres de l’église se sentirent gênés et envoyèrent un petit mot au pasteur pour lui demander de faire quelque chose.
À la fin du culte, celui-ci alla saluer le nouveau venu et suggéra avec le plus de tact possible de prier Dieu qu’Il lui indique comment il devait s’habiller pour venir à l’église le dimanche suivant.
La semaine suivante son apparence ne s’était en rien améliorée. Le pasteur de nouveau le prit à part pour lui demander ce que Dieu lui avait dit concernant sa tenue vestimentaire dans l’église. Le vieil homme répondit doucement :
— Eh bien vous le croirez ou non j’en ai parlé avec le Seigneur. Mais Il m’a répondu qu’Il ne savait pas comment on devait s’habiller pour venir dans cette église parce qu’Il n’y avait jamais été Lui-même.
Une bonne Soeur va chez le médecin, avec une crise de hoquet qui dure depuis déjà un mois.
— Docteur, j’ai une crise de hoquet depuis plus d’un mois et je n’en peux plus : je ne dors plus, je ne mange plus et tout mon corps est endolori par toutes ces contractions brusques…
Le médecin lui dit :
— Etendez-vous sur la table d’examen, ma Soeur, je vais vous examiner…
Il l’examine, puis lui dit :
— Ma Soeur, vous êtes enceinte !
— QUOI !!! hurle la bonne sœur qui se relève et sort en courant du cabinet de consultation, complètement paniquée.
Une heure plus tard, le médecin reçoit un appel téléphonique de la Mère supérieure du couvent :
— Dites-moi, Docteur, qu’avez-vous bien pu raconter à Soeur Marie ?
— Vous allez tout de suite comprendre, ma Mère : j’ai fait un pieux mensonge. Comme elle avait une forte crise de hoquet, j’ai voulu lui faire peur pour lui faire passer. Et je suppose que ça aura marché, n’est-ce pas ? lui demande le médecin.
— Oui, la Soeur Marie n’a plus son hoquet, mais le Père Damien avec qui elle s’est disputé s’est jeté du haut du clocher !!!
Une dame âgée voyage en train entre Lausanne et Lyon. Peu avant la frontière suisse, elle s’adresse à son voisin, un prêtre :
— Si vous pouviez mettre cette jolie trousse de toilette toute neuve que je viens d’acheter sous votre soutane, cela m’éviterait de payer une taxe.
— Bien sûre, lui répond le curé, mais je dois vous rappeler que si l’on m’interroge, je ne pourrai pas mentir.
Arrive la douane et le douanier :
— Rien à déclarer mon Père ?
— De la tête à la ceinture : je n’ai absolument rien.
— Ah bon, interroge l’homme un peu tatillon, et en dessous ?
— Oh ! En dessous je n’ai qu’un petit nécessaire pour dame qui n’a jamais servi…
Une femme reçoit souvent son amant pendant que son mari est au travail.
Un jour, son fils de 8 ans se cache dans l’armoire pour voir ce que sa mère fait avec cet homme-là.
Un moment plus tard, le mari rentre à l’improviste.
Paniquée, la femme cache son amant dans la même armoire.
— le fils : fait sombre ici.
— l’amant : ouais c’est vrai
— le fils : j’ai un ballon de foot
— l’homme : content pour toi
— le fils : tu veux l’acheter ?
— l’homme : non merci
— le fils : mon père est là dehors
— l’homme : ok, combien ?
— le fils : 250 euros
Quelques jours plus tard, le fils se retrouve à nouveau dans l’armoire en compagnie de l’amant de sa mère :
— le fils : fait sombre ici
— l’homme : ouais c’est vrai
— le fils : j’ai des super baskets
L’homme, se rappelant la dernière fois, grimace :
— combien ?
— le fils : 500 euros
Quelques jours plus tard, le père dit à son fils : mets tes baskets et prends ton ballon, on va faire une partie.
— le fils : je ne peux pas, j’ai tout vendu
— le père : pour combien ?
— le fils : 750 euros
— le père : c’est inadmissible d’arnaquer les gens comme ça. Ces affaires n’ont jamais coûté ce prix là. Je t’amène à l’église pour te confesser.
Le père amène son fils à l’église, le pousse dans le confessionnal et ferme la porte
— le fils : fait sombre ici
— le curé : merde, maintenant t’arrête tes conneries !
Une femme se promène et rencontre le curé.
— Bonjour Madame. Ne vous ai-je pas mariée il y a deux ans ?
— Si, Monsieur le curé.
— Avez-vous des enfants ?
— Non, Monsieur le curé. Depuis le mariage, nous essayons en vain.
— La semaine prochaine je dois partir à Rome j’y allumerai un cierge pour vous.
Huit ans plus tard, elle croise le curé devenu évêque.
— Bonjour Madame, comment allez-vous ?
— Très bien.
— Avez-vous eu des enfants ?
— Oui, j’ai eu trois paires de jumeaux, quatre autres filles, et comme vous le voyez, le onzième est en route.
— Ah oui ! ? !… Et comment va votre mari ?
— Très bien. Il est en voyage : il est parti à Rome éteindre votre bougie à la con !
Une femme va chez son coiffeur avant un voyage à Rome avec son mari.
Elle mentionne le voyage au coiffeur :
« Rome ? Pourquoi quelqu’un voudrait-il aller là-bas ? C’est sale et bondé. Tu es folle d’y aller. Et comment vous y allez ? »
« Nous prenons Continental », répond-elle. « Nous avons eu un super tarif ! »
« Continental ? » s’exclame le coiffeur. « C’est une compagnie affreuse ! Leurs avions sont vieux, leurs hôtesses sont laides et ils sont toujours en retard. Et où allez-vous loger à Rome ? »
« Nous serons dans un petit hôtel exclusif sur le Tibre, qui s’appelle le Teste. »
« N’en dis pas plus. Je connais cet endroit. Tout le monde croit que c’est un lieu chic et spécial, mais en réalité c’est un taudis. »
« Nous allons visiter le Vatican et peut-être voir le Pape. »
« Quelle blague ! » ricane le coiffeur. « Toi et un million d’autres personnes essayant de le voir. Il aura l’air d’une fourmi. Eh bien, bonne chance pour ton affreux voyage, tu en auras besoin. »
Un mois plus tard, la femme revient se faire coiffer. Le coiffeur lui demande comment s’est passé son voyage à Rome.
« C’était merveilleux, » explique la femme. « Non seulement nous étions à l’heure dans un tout nouvel avion de Continental, mais en plus, comme le vol était complet, ils nous ont surclassés en première classe. Le repas et le vin étaient excellents et j’ai eu un charmant steward de 28 ans qui aux petits soins pour moi. Et l’hôtel Teste était formidable ! Ils venaient juste de terminer des rénovations de cinq millions de dollars et maintenant c’est un bijou, le plus bel hôtel de la ville. Eux aussi étaient complets, alors ils se sont excusés et nous ont offert la suite du propriétaire, sans supplément ! »
« Eh bien, » marmonne le coiffeur, « tout ça c’est très bien, mais je parie que tu n’as pas vu le Pape. »
« En fait, nous avons eu beaucoup de chance. Pendant la visite du Vatican, un garde suisse m’a tapé sur l’épaule et m’a expliqué que le Pape aimait rencontrer certains visiteurs, et que si je voulais bien attendre dans sa salle privée, le Pape viendrait me saluer personnellement. Et, effectivement, cinq minutes plus tard, le Pape est entré et m’a serré la main ! Je me suis agenouillée et il m’a adressé quelques mots. »
« Ah bon ? Et qu’est-ce qu’il t’a dit ? »
Il a dit : « Bon sang, qui t’a massacré les cheveux ? »
Une jeune fille vient prendre place dans le confessionnal. Elle se penche à la grille du parloir et commence :
— Pardonnez-moi mon père, parce que j’ai pêché.
— Allez-y mon enfant, parlez, quel pêché avez-vous commis ?
— Mon père, j’ai commis le pêché de vanité. Deux fois par jour, je me contemple devant le miroir en me disant que je suis magnifique.
À ce moment là, le curé se penche à la grille et observe longuement la jeune fille, puis il lui dit :
— Mon enfant, j’ai une bonne nouvelle pour vous : Ce n’est pas un pêché, c’est simplement une erreur.
🔗Voir la blague
Une jeune novice se présente devant la mère supérieure à son entrée au couvent.
Mère Supérieure : Mon enfant, vous savez que vous avez choisi un couvent très strict ? Ici, vous n’avez pas le droit de parler si ce n’est à moi, tous les dix ans et pas plus de deux mots
Novice : Oui ma mère, je le sais…
MS : Très bien. On va vous conduire à votre cellule, vous viendrez me dire vos deux mots dans dix ans.
Dix années passent, la novice est devenue nonne et se présente enfin devant la Mère supérieure pour prononcer deux mots mûrement réfléchis :
— Lit, pue !
Dix ans plus tard, elle a de nouveau droit à la parole et vient déclarer :
— Repas, froids !
Encore dix années plus tard–30 ans donc après son entrée dans les ordres, elle annonce :
— Je pars !
— Et bien tant mieux : des chieuses comme toi qui se plaignent tout le temps, on en a pas besoin !
Une nymphomane en proie a des crises aiguës se promène dans la rue.
Tout a coup elle a une très très grosse envie ; il faut absolument qu’elle baise.
Elle frappe à toute les portes mais il n’y a personne.
Alors elle rentre dans une église.
Il n’y a pas de messe à cette heure-là mais le curé est présent.
— Que désirez vous ma fille ?
— Ooooooooh toi ! Je te veux. Prends-moi !!!
— Je vous demande pardon ?
— Prends moi toute, je te veux, rhaaaaaa !!! baise moi !!!
— Mais enfin, ma fille, vous êtes dans la maison de dieu !!!
— Je m’en fous, je veux que tu me prennes là maintenant. Prends-moiiiiiii
— Mais je ne peux pas je suis prêtre.
La fille s’allonge sur l’autel et se déshabille.
Elle est superbe et se caresse.
Le curé ne sait plus quoi faire, il transpire et commence a avoir des bouffées de chaleur.
Il se tourne alors vers la croix de Jésus et lui demande :
— Jésus aide moi, que dois-je faire ?
Et Jésus répond :
— Mais détache moi connard, détache moi !«