je suis venu, j'ai cliqué,
Chrétien (129 blagues)
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Le jeune homme venait tout juste d’obtenir son permis de conduire.
Il demande donc à son père s’ils pouvaient discuter ensemble de l’utilisation de la voiture familiale.
Son père l’amène dans son bureau et lui propose le marché suivant :
— Tu améliores ton rendement scolaire, tu étudies la Bible et tu te fais couper les cheveux. Ensuite, nous parlerons de la voiture.
Un mois plus tard, le garçon revient à la charge et, encore, son père l’amène dans son bureau.
Le père ne tarde pas à prendre la parole :
— Mon fils, je suis très fier de toi. Ça va beaucoup mieux à l’école ; tu t’es concentré sur la Bible plus que je ne l’aurais cru, mais tu ne t’es pas fait couper les cheveux.
Le jeune réplique :
— Tu sais, papa, j’ai réfléchi à cela. Samson avait les cheveux longs ; Moïse avait le cheveux longs ; Noé avait les cheveux long et Jésus avait les cheveux longs…
Et du tac au tac, le père réplique :
— Et ils se déplaçaient à pied !
Un peu d’étymologie, ça ne fait pas de mal…
Vous savez sans doute que, dans des temps anciens, pour s’assurer que quelqu’un était bien décédé, l’usage voulait qu’une personne en charge de cette vérification morde violemment un des doigts de pied de la personne (en général le gros orteil).
Si rien ne se passait, la personne était déclarée morte. C’est donc de là que vient l’appellation de « croque-mort ».
Cette fonction de croque-mort, qui était en fait une vraie charge (comme les bourreaux) se transmettait de père en fils depuis la nuit des temps.
Mais un jour, catastrophe : le dernier croque-mort, bien que père de nombreux enfants, n’avait eu aucun garçon !
Après concertation, discussion et avis favorable du conseil des anciens et de l’Église, sa fille aînée reprit donc sa charge.
Mais une des premières victimes qu’elle eut à traiter était un jeune homme décédé d’une maladie grave : blessé aux jambes, la gangrène l’avait gagné et on lui avait coupé les deux jambes jusqu’aux cuisses avant qu’il ne meure des suites de l’opération.
Là, c’est certain que vous me voyez arriver avec mes gros sabots ! Bref, la jeune fille examina la situation et mordit donc avec précaution le premier membre inférieur qu’elle put trouver. Alors ?
Alors !
Ce fut à cette époque, et très précisément dans ces circonstances, qu’on passa de l’expression croque-mort à celle de pompe funèbre.
Amis de la littérature, salutations
🔗Voir la blagueUn prêtre dit à son ami rabbin :
— J’ai un truc pour manger gratuit…
— Super ! Donne-moi ton secret…, répond le rabbin, intéressé.
— Je vais au restaurant, assez tard, et je commande une entrée, un plat, du fromage, un dessert et puis je prends mon temps en dégustant un café, un cognac et un cigare, et j’attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, et quand toutes les autres chaises sont rangées sur les tables, le garçon vient me voir pour encaisser. Alors je lui réponds : mais j’ai déjà payé à votre collègue qui est parti ! Et le tour est joué…
Et le rabbin :
— Alors, on essaie demain ?
— OK.
Le lendemain, les deux compères vont au restaurant et tout se passe comme prévu. Au moment de la fermeture, le garçon demande s’il peut encaisser et le prêtre lui répond :
— Désolé, mais on a déjà payé à votre collègue qui est parti.
Et le rabbin qui ajoute :
— Et d’ailleurs nous attendons toujours notre monnaie…
Un prêtre et une nonne sont dans une tempête de neige.
Au bout d’un moment, ils trouvent une petite cabane.
Exténués, ils se préparent à dormir. Il y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit. Gentleman, le prêtre dit :
— Ma sœur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans le duvet.
Alors qu’il venait juste de fermer son duvet et commençait à s’endormir, la nonne dit :
— Mon père, j’ai froid. Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève et prend une couverture et la pose sur elle.
De nouveau, il s’installe dans le duvet, le ferme, et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore :
— Mon père, j’ai toujours très froid.
Il se lève a nouveau, mets une autre couverture sur elle et retourne se coucher.
Juste au moment où il ferme les yeux, elle dit :
— Mon père, j’ai siiiiii froid.
Cette fois, il reste couché et dit :
— Ma sœur, j’ai une idée : nous sommes ici au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais ce qu’il s’est passé.
Faisons comme si nous étions mariés.
Enfin exaucée, la nonne répond :
— Oui, c’est d’accord.
Et le prêtre crie :
— ALORS TU LÈVES TON CUL ET TU LA PRENDS TOI-MÊME TA PUTAIN DE COUVERTURE, CONNASSE !
Un prêtre un peu fou, monte l’escalier en chantonnant :
— C’est l’abbé bête qui monte qui monte qui monte…
Un punk entre dans un salon de coiffure et s’assoit à côté d’une bonne sœur…
Après l’avoir dévisagée, il lui demande si elle ne voudrait pas faire l’amour avec lui.
Horrifiée, la sœur se lève et quitte immédiatement le salon.
Le coiffeur témoin de la scène dit au punk :
— Si tu veux sérieusement coucher avec elle je connais un moyen infaillible. Rends-toi au cimetière à minuit et fais-toi passer pour Dieu elle ne pourra pas résister.
Le punk se rend donc à minuit au cimetière, couvert d’un grand drap blanc et d’une barbe.
La religieuse est effectivement là en train de prier.
Le Punk surgit soudain et lui dit :
— Je suis Dieu ! Si tu souhaites vraiment que tes prières se réalisent tu dois t’unir à moi en couchant avec moi.
Après un petit moment de réflexion la religieuse lui dit :
— D’accord mais comme je tiens à demeurer vierge, faites ça par l’arrière.
Alors le punk tout heureux se met au travail.
Puis, tout de suite après, fier de lui il se lève, enlève le drap et son déguisement et dit à la religieuse en ricanant :
— Ah ! Ah ! Coucou ! Je ne suis pas Dieu ! C’est moi le punk !
Alors la sœur enlève son voile et dit :
— Ah ! Ah ! Coucou ! Je ne suis pas la religieuse ! C’est moi le coiffeur !
Un rabbin, un pasteur protestant et un curé sont en train de discuter à propos de pigeons qui ont élu domicile dans le clocher. Chacun propose des solutions pour s’en débarrasser. Le rabbin dit :
— Il faut les enfumer… Ou bien essayer de les effrayer comme le font les agriculteurs dans les champs avec des bazookas.
Le pasteur protestant dit :
— Moi j’essaierai plutôt le blé empoisonné.
Alors le curé les regarde tous les deux d’un air triste et leur dit :
— Vraiment, je pense qu’il y a une manière beaucoup plus facile de se débarrasser de ces pigeons : Il n’y a qu’à les baptiser, leur faire faire leur première communion et après on ne les reverra plus.
Un train heurte un bus transportant des nonnes et elles périssent toutes. Elles sont toutes au ciel, essayant de franchir les portes sacrées. Saint-Pierre les accueille et il demande a la première nonne,
— Soeur Karen, n’avez-vous jamais eu le moindre contact avec un pénis ?
La nonne ricane et répond :
— Bon une fois j’ai touché la tête d’un pénis avec l’extrémité de mon doigt.
— Correct ! Plongez l’extrémité de votre doigt dans l’eau bénite et franchissez la porte.
Saint-Pierre pose la même question à la nonne suivante :
— Soeur Elizabeth, n’avez-vous jamais eu le moindre contact avec un pénis ?
La nonne quelque peu indisposée répond tous de même :
— Bon une fois j’en ai caressé un et je l’ai frotté.
Saint-Pierre est magnanime :
— Correct ! Plongez l’extrémité de votre doigt dans l’eau bénite et franchissez la porte.
Soudain, il y a beaucoup d’agitation dans les rangs des nonnes, une nonne se fraie un chemin et remonte la file d’attente. Elle arrive en début de queue. Saint-Pierre toujours magnanime :
— Ma sœur, ma sœur, que nous vaut cet empressement ?
La nonne répond :
— Si je dois me gargariser à l’eau bénite, je veux y aller avant que sœur Marie ne mette son cul dedans !
Un vieux monsieur va se confesser.
Il rentre dans le confessionnal et le curé commence :
— Allez-y mon fils. Confessez vos péchés…
— Eh bien voilà mon Père. Ce que j’ai à vous avouer n’est pas joli joli… Pendant la guerre de 39-45 j’ai reçu la visite dans la ferme d’une jeune fille juive qui voulait se cacher des Allemands. Alors je l’ai cachée dans mon grenier et comme ça, ils n’ont jamais pu la trouver.
— Mais c’est très bien ça ! C’est même un acte de résistance. Ce n’est pas un péché et ça pourrait même vous valoir une médaille…
— Mais je n’ai pas fini, mon Père… À l’époque, j’étais jeune, plutôt viril, si vous voyez ce que je veux dire… Alors je lui ai dit qu’en échange de cette cachette que je lui offrais, elle devrait m’accorder ses faveurs… sexuellement parlant…
Le curé réfléchit une minute puis reprend :
— Eh bien, les temps étaient vraiment difficiles, et puis vous preniez vraiment un très gros risque en la cachant chez vous… Je suis sûr que Dieu dans son infinie sagesse et sa grande bonté saura reconnaître en vous l’âme charitable plutôt que le simple profiteur d’une situation dramatique…
— Oh merci mon Père. C’est un gros poids sur ma conscience que vous me retirez. Est-ce que je peux vous poser une autre question ?
— Mais bien sûr, mon fils.
— Est-ce que je dois lui dire maintenant que la guerre est terminée ?