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Auto moto (161 blagues)

Il y a plusieurs façons de considérer les feux de signalisation :

  • l’automobiliste optimise ne voit que les feux verts,
  • l’automobiliste pessimiste ne voit que les feux rouges,
  • quand au piéton, il les voit tous mais n’en tient aucun compte.
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😯 😝 😂

Il y a quelques jours alors que je quittais une réunion Tupperware, j’ai réalisé que je n’avais pas mes clés d’auto.

Je me suis mise à les chercher. Elles n’étaient ni dans mes poches ni dans mon sac a main.
Une recherche rapide dans le local de réunion n’a rien révélé.

Soudain, j’ai réalisé que je devais les avoir laissées dans la voiture.
Frénétiquement, je me dirigeai vers le stationnement.
Mon mari m’a grondé plusieurs fois par le passé d’avoir laissé mes clés sur le contact.
Ma théorie est que le contact est le meilleur endroit pour ne pas les perdre.
Sa théorie est que la voiture est plus facile à voler.

Comme je me dirigeais vers le stationnement, j’en suis venue à une conclusion terrifiante.
Sa théorie était juste, le stationnement était vide.
J’ai immédiatement appelé la police.
Je leur ai donné ma position, j ai avoué que j’avais laissé mes clés dans la voiture et qu’elle avait été volée.
Puis j’ai fait l’appel le plus difficile de tous :
— Chéri, ai-je balbutié (je l’appelle toujours « chéri » dans ces moments-là)
— Oui ?
— J’ai laissé mes clés dans la voiture et elle a été volée.

Il y eut une période de silence.

Je pensais que l’appel avait été coupé, mais ensuite j’ai entendu sa voix.
Il aboya :
— C’est moi qui t’ai conduite ce matin à ta réunion !

Maintenant, c’était à mon tour de me taire.
Embarrassée, j’ai dit :
— Eh bien, viens me chercher.

Il rétorqua :
– J’étais en route pour le faire, mais je vais être retardé.
— Pourquoi ? demandai-je.
— Parce que je viens d’être arrêté par la police et tu dois maintenant les convaincre que je n’ai pas volé notre voiture ! Et prouver mon identité…parce que j’ai oublié mes papiers chez nous !…

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Ivan, un jeune gars de vingt-cinq ans, est venu à Moscou pour acheter une voiture. Ouvrier dans une ville de province, il est très impressionné de se retrouver pour la première fois dans la capitale. Il se sent un peu perdu. Sur une immense avenue, il découvre un bâtiment dont la façade est longue de cinquante mètres et au sommet duquel trône une gigantesque enseigne « Volga » faite de lettres hautes de huit mètres.
À l’intérieur du bâtiment, des centaines de personnes forment de longues files d’attente jusqu’à des guichets. Casquette à la main, notre homme prend humblement son tour dans la queue et au bout d’une demi-heure il se retrouve devant un vendeur :
— Camarade, je viens me renseigner pour savoir comment faire pour acheter une de vos magnifiques voitures Volga.
— C’est très simple, camarade. Tu m’apportes une valise avec cinq cent mille roubles en liquide, tu choisis la couleur de ta voiture et je te donne la date de livraison.
— Ah ! C’est aussi simple que cela ?
— C’est aussi simple que cela !
— Ah bien, merci beaucoup.

Notre homme ressort, rentre dans sa province et travaille pendant vingt-cinq ans pour économiser la somme dont il a besoin pour s’acheter sa voiture. Au bout de ces vingt-cinq années, il reprend le chemin de la capitale avec dans sa valise cinq cent mille roubles en espèces. Le bâtiment Volga est toujours situé au même endroit. À l’intérieur ce sont toujours d’interminables files d’individus attendant leur tour. En entrant Ivan a repéré le vendeur qui l’avait renseigné vingt-cinq ans auparavant. Certes celui-ci a vieilli, grossi, les quelques cheveux qui lui restent sont devenus gris, mais c’est bien le même homme. « Il ne se souviendra pas de moi, se dit Ivan, mais je préfère me mettre dans sa file, on ne sait jamais. » Cela le rassure de revoir la même tête. Au bout de trois quarts d’heure, il se retrouve en présence de son vendeur :
— Camarade ?
— C’est pour commander ma voiture, c’est bien toujours cinq cent mille roubles dans une valise ?
— Absolument, camarade, le prix n’a pas changé.

Notre homme tend sa valise. Le vendeur l’ouvre et compte les roubles :
— Le compte y est, camarade, quelle couleur choisissez-vous ?

Il tend à Ivan un prospectus avec le choix des couleurs :
— Attendez, attendez, cela fait vingt-cinq ans que je travaille pour pouvoir me payer cette voiture et…
— Pressez-vous, camarade, pressez-vous, vous voyez bien qu’il y a la queue derrière vous…
— Oui, oui, je comprends. Eh bien disons gris, que me conseillez-vous ?
— Gris, rouge, vert, bleu ou même noir si vous voulez, moi vous savez c’est pas mon problème. C’est votre voiture, c’est à vous de choisir.
— Ah, la la ! Ma femme la voudrait rouge, mais…
— Écoutez, camarade, décidez-vous. Vous faites attendre les autres camarades.
— Oui, oui, alors disons une bleue.
— Eh bien voilà ! Une Volga bleue. On est aujourd’hui le 2 mai 1979, vous serez donc livré le 14 juin 1996.
— Ah ! parce qu’il faut que j’attende à nouveau…
— Ah, bien sûr, camarade, les carnets de commandes de l’usine sont archi-pleins.
— Mais mon argent ?…
— Votre argent, on le garde, il sert à payer les camarades ouvriers !
— Ah oui ! Alors je serai livré le 14 juin 1996, oui, oui, oui…
— Si vous n’en voulez pas, je déchire le contrat.
— Non, non, non, c’est très bien. Le 14 juin 1996. Bien, très bien !

Préoccupé, Ivan ressort de chez Volga. Une fois dans la rue, il fait quelques pas, puis rebrousse soudainement chemin et entre à nouveau dans le bâtiment. Cette fois-ci il se rend directement au guichet qu’il vient de quitter et passant devant le camarade dont c’est le tour, il demande au vendeur :
— Excusez-moi, camarade.
— Vous ne voulez plus de votre voiture ?
— Si, si, j’en veux toujours, bien sûr, mais vous m’avez dit le 14 juin 1996 comme date de livraison ?
— Oui, le 14 juin 1996.
— Et ce sera le matin ou l’après-midi ?
— Ah ! Chez Volga, on livre toujours l’après-midi.
— Ah ! Tant mieux, parce que le matin, j’ai le plombier.

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Je tweete en voiture. Ne vous en faites pas, je suis sur le siège passager !
C’est plus dur de conduire, mais au moins ça trompe la police.

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J’ignore si beaucoup parmi vous font leurs courses chez Carrefour, mais ceci pourrait vous être utile.
Je vous envoie ceci pour vous prévenir d’une mésaventure qui m’est arrivée, étant donné que j’ai été la victime d’une arnaque alors que je faisais mes courses.
Ceci s’est produit au Carrefour et peut vous arriver !

Voici comment cela fonctionne : deux superbes jeunes filles vous abordent alors que vous rangez vos courses dans le coffre de votre voiture.
Elles commencent par frotter votre pare-brise avec une éponge et du produit nettoyant, leur poitrine sortant littéralement de leur petit T-shirt.
Il est presque impossible de ne pas y prêter attention.

Alors que vous les remerciez et leur offrez un pourboire, elles le refusent et vous demandent à la place de les conduire dans un autre centre Carrefour.
Vous acceptez et elles montent à l’arrière de votre voiture.
En chemin, elles commencent à faire l’amour ensemble.
L’une d’elles grimpe ensuite sur le siège passager et s’adonne à une fellation avec vous, pendant que l’autre vole votre portefeuille !
Soyez donc vigilants ! Ceci peut vous arriver aussi.
On m’a ainsi volé le mien vendredi dernier, samedi, deux fois dimanche, encore une fois mardi, à nouveau hier soir et j’y retourne demain.

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Journaux intimes du chien et du chat

Extraits du journal intime du chien :

Jour n° 180

08h00 : Chouette de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
09h30 : Chouette une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
09h40 : Chouette une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
12h00 : Chouette les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette de la pâtée pour chien ! Ce que jepréfère !
17h30 : Chouette papa et maman ! Ce que je préfère !

Jour n°181

Voir jour n°180

Jour n°182

Voir jour n°181

Jour n°183

Voir jour n°182

Extraits du journal intime du chat :

Jour n° 152

Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d’une ficelle.
Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu’ils me forcent à manger des céréales déshydratées.
La seule chose qui m’aide à tenir le coup est l’espoir d’une évasion et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d’un meuble.
Demain je mangerai peut-être une autre plante d’appartement.

Jour n° 161

Aujourd’hui ma tentative d’assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu’ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j’essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l’espoir d’induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.

Jour n° 165

J’ai décapité une souris et leur ai apporté le corps afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable et pour frapper leurs cœurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes me disant à quel point j’étais un bon petit chat. Hmmm…
Ça ne fonctionne pas conformément au plan.

Jour n° 168

J’ai enfin réalisé jusqu’à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison j’ai été choisi pour le supplice de l’eau. Cette fois de plus il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée « shampooing ».
Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ?
Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.

Jour n° 171

Aujourd’hui s’est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J’ai été placé à l’isolement pendant l’événement. Cependant j’ai pu entendre le bruit et humer l’odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu’ils appellent « bière ».
Plus important j’ai réussi à obtenir l’information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir « allergisant ».
Il va falloir que j’apprenne de quoi il s’agit pour que je puisse l’utiliser à mon avantage.

Jour n° 174

Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu’heureux de revenir. C’est visiblement un attardé mental.
D’un autre côté, l’oiseau doit être un informateur puisqu’il leur parle constamment. Je suis certain qu’il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu’il restera dans cette pièce de métal sa sécurité est assurée.
Mais je peux attendre. Ce n’est qu’une question de temps…

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Un homme se fait arrêter par la police.
Le policier :
— Soufflez dans le ballon s’il vous plaît.
L’homme :
— Je peux pas je suis asthmatique
Le policier :
— On va vous faire une prise de sang alors…
L’homme :
— Je peux pas je suis hémophile.
Le policier :
— Sortez de la voiture et essayez de marcher en suivant cette ligne blanche, s’il vous plaît.
L’homme :
— Je peux pas je suis bourré !!!

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L’action se déroule dans un bar banal en banlieue parisienne. Navarro se pointe au comptoir, il se tourne vers le patron et lui demande :
— Bon écoute tout de suite toi, j’voudrais un café bien noir, bien serré, deux sucres et un spéculoos…

Dès que Navarro a terminé sa commande, un perroquet sur son perchoir derrière le bar se permet d’ajouter :
— Et un coca !
— Écoute, le perroquet, dit Navarro, tu fermes ta gueule si tu veux pas finir empaillé… quand à toi Barman, j’enquête sur un de tes clients habituels, il s’appelle Abidbol, j’aimerais que tu m’donnes son numéro de portable, la marque de sa voiture et les heures auxquels il passe à ton bar…

Et là, le perroquet ajoute de nouveau :
— Et un coca !!!
— Bon écoute le perroquet, repris Navarro, j’t’ai déjà demandé d’la fermer, la prochaine fois que j’tentends la ramener j’te cloue les deux ailes aux murs et tu feras moins ton fier, quand à toi Barman, j’aimerai les informations que j’t’ai demandées et mon addition aussi.
Et là, le perroquet à nouveau :
— Et un coca !

Bon, là Navarro s’énerve, il chope le perroquet, sort deux clous, un marteau et il te plaque le perroquet contre le mur et lui cloue les deux ailes contre le mur… le barman, terrorisé, donne les infos à Navarro et ce dernier sort du bar.

Alors le perroquet tourne la tête et aperçoit au dessus de la porte des toilettes une croix avec le Christ représenté crucifié :
— Toi aussi tu voulais un coca ?

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La femme d’un milliardaire rentre chez elle avec sa Rolls Royce sérieusement endommagée. Le mari voit dans quel état lamentable se trouve la voiture et lui demande ce qui s’est passé.
— Rien lui dit elle. C’est un vélo qui m’est rentré dedans.
— Un vélo ? Combien de fois ?

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La meilleure voiture du monde, c’est la femme !

En voici les raisons :

  1. Elle démarre sans manivelle mais au doigt.
  2. Elle marche avec les sens.
  3. Elle est utilisable avec ou sans capote.
  4. On la monte sans permis.
  5. Toutes les bougies s’y adaptent.
  6. Elle se graisse automatiquement quand le gicleur est a fond.
  7. Elle se vidange tous les mois.
  8. A l’état normal, elle fait du 69.
  9. Bien réglée, elle fait du 100.
  10. En cas d’incendie, elle fait le pompier.
  11. On peut la monter par devant et par derrière.
  12. Bien gonflée, elle tient neuf mois
  13. Elle est antipollution, elle avale la fumée.
  14. Bien chauffée, bien rodée, elle tire convenablement.
  15. Elle n’use pas les routes mais les roulettes.
  16. Dans tous les pays, elle jouit d’une flatteuse réputation.
  17. Sa tenue est correcte sur autoroute, irréprochable sur biroute.
  18. La sécurité est assurée même dans les tête-à-queue.
  19. Quand on possède une voiture de ce type, on ne trouve jamais la marche arrière.
  20. En agglomération, quand elle prend une queue, elle suce.
  21. Pour la garder en état, un seul conseil : lavez-la, mais lavez-la souvent.
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