je suis venu, j'ai cliqué,
Auto moto (161 blagues)
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Un gars roule sur une route en foret et décide de s’arrêter pour une pause pipi.
Il entend des plaintes, s’enfonce dans la forêt et découvre un homme tout nu attaché de face à un arbre.
Celui-ci lui dit en l’apercevant :
— Haa enfin quelqu’un ! On m’a agressé, ils m’ont tout pris, mes papiers, ma voiture et mes vêtements…
L’homme s’approche, commence a ouvrir sa braguette et lui dit :
— Décidément c’est pas ton jour de chance !
Un gars sort du bar en titubant, c’est un véritable désastre. Il lui faut cinq bonnes minutes pour trouver les clés de sa voiture, non sans être tombé deux ou trois fois.
Au bout du parking, les policiers regardent la scène. Il faut encore cinq grosses minutes pour que le gars réussisse à faire tourner le moteur.
Pendant ce temps, ces amis sortent du bar, cognent sur sa vitre et lui souhaitent bonne nuit.
Ça ne va pas bien pour Albert, mais il chante quand même « I did It My Way ».
Finalement, il réussit à lancer le moteur, et il commence à rouler. Immédiatement, les policiers allument leur gyrophare, et le mettent en état d’arrestation. Ils lui demandent de souffler dans le ballon.
Zéro. Rien. Pas une goutte d’alcool !
— Mais pourquoi ça vous semblait si difficile de trouver vos clés et de monter dans la voiture. ?
— Ah ! Ça ! Bien ce soir, c’est moi qui tenait le rôle du leurre. Les autres sont tous partis !
Un gars veut s’acheter une nouvelle moto. Il se rend chez le concessionnaire, et voit LA moto, celle dont il a toujours rêvé. Par contre, le vendeur lui dit que la peinture sur sa nouvelle moto est très sensible aux intempéries, et qu’il doit enduir la bécane de Vaseline quand il commence à pleuvoir. Le type est un peu embêté du ridicule de la situation, mais décide tout de même d’acheter l’engin, et court vite à la pharmacie pour acheter un pot de Vaseline.
Le lendemain soir, il rencontre sa belle famille pour la première fois. Sont présents à la table, outre le type et sa nouvelle blonde, ses parents, sa petite sœur de 19 ans, et sa vieille grand-mère de 82 ans. Le père avertit bien son nouveau gendre : le premier qui parle se tape la corvée de vaisselle. Étant donné que le repas est assez copieux, notre type ne veut évidemment pas se taper la montagne de vaisselle. Il commence donc dans le silence le plus complet à déshabiller sa copine, à l’étendre sur la table et à lui faire l’amour passionnément.
Personne ne dit mot.
Voyant que son stratagème ne fonctionne pas, il répète l’expérience avec la vieille grand-mère, puis avec la jeune jolie sœur, puis finalement avec la maîtresse de maison, sans que personne ne prononce le moindre son.
À cet instant, il voit par la fenêtre le ciel qui s’assombrit. Inquiet pour la peinture de sa nouvelle moto, il sort son pot de Vaseline qu’il met sur la table.
Le père s’empresse :
— OK ! OK ! Je vais la faire, la vaisselle !
Un homme arrive chez son docteur :
— Ah, monsieur Dubois, eh bien dites donc depuis le temps que je cherchais à vous voir.
— Oui, je sais, je sais, mais je suis pressé, docteur. Mon chauffeur m’attend en bas, le moteur de ma voiture tourne. Je n’ai pas le temps. Je suis un homme d’affaires très pressé, docteur.
— Je sais, je sais, mais je ne vous dérange pas pour rien malheureusement. C’est grave.
— C’est pour le résultat de mes analyses ?
— Oui, monsieur, asseyez-vous, s’il vous plaît.
— Non, non, ce matin, je n’ai pas le temps.
— Je vous en prie, c’est…
— Je suis un homme d’affaires, je suis pressé, vous dis-je, je dois être à Amsterdam pour un déjeuner capital. Mon chauffeur m’attend pour m’emmener à Roissy Ce soir, j’ai un dîner d’affaires à Londres. Demain je prends le Concorde pour être à New York. Je n’ai pas une minute à moi. Qu’est-ce qui se passe, docteur ?
— Monsieur, je vous en prie, asseyez-vous.
— Non, non, mais je vous fais tout à fait confiance. Alors ces analyses ?
— Asseyez-vous, vous dis-je.
— Non, je n’ai pas le temps !
— Je vous en prie.
— Je reste debout. Je n’ai pas le temps. Dites-moi seulement ce qu’il en est.
— Bon ! Ce sont en effet vos analyses. Comme elles m’inquiétaient, j’ai demandé leurs avis à d’éminents confrères à Paris, à Londres et à New York. Ils ont malheureusement confirmé ce que je pensais…
— Oui, ce doit être grave, mais qu’est-ce que j’ai ?
— Monsieur, c’est un peu difficile à dire.
— Je vous en prie, pas de chichi avec moi, je suis un homme d’affaires et je suis pressé, docteur.
— Bien, monsieur, bien, je vous le dis franchement : vous n’avez plus que deux mois à vivre.
— Très bien, je prends juillet-août.
Un homme en voiture avec sa femme se fait arrêter par la police.
Agent : Bonjour Monsieur. Vous rouliez à 135 dans une zone de 100.
Homme : Non, m’sieur l’agent. Je roulais à peine à 105.
Femme : Voyons, Gaston, tu roulais au moins à 135, si ce n’est pas plus.
L’homme lance un regard à sa femme…
Agent : Je vais aussi vous donner 48 heures pour votre lumière arrière qui est brûlée.
Homme : Lumière brûlée ? Je ne savais pas que j’avais une lumière de brûlée.
Femme : Voyons Gaston, ça fait des semaines que tu le sais et que tu ne la fais pas réparer.
L’homme est très fâché et regarde sa femme en lui faisant signe de se taire.
Agent : Je vais aussi devoir vous donner une contravention parce que vous ne portiez pas votre ceinture.
Homme : Mais je la portais, m’sieur l’agent. Je l’ai détachée après que vous m’ayez arrêté, pendant que vous marchiez vers l’auto.
Femme : Voyons Gaston, tu ne mets jamais ta ceinture !
L’homme est en furie.
Il se retourne vers sa femme et lui crie :
— VEUX-TU BIEN FERMER TA GRANDE GUEULE !
L’agent se penche et demande à la femme :
— Est-ce que votre mari vous parle toujours comme ça ?
Elle répond :
— Oh non ! Uniquement quand il a bu.
Un homme marche dans la rue lorsqu’il entend un cri derrière lui
— STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ PRENDRE UNE BRIQUE SUR LA TÊTE
Le gars s’arrête et au même moment, une brique qui s’était détachée d’un immeuble lui passe devant le nez. Le gars se retourne, personne !
Un peu plus tard, alors qu’il veut traverser la rue, il entend encore
— STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ VOUS FAIRE RENVERSER
Le gars s’arrête, laisse passer une voiture et comme il ne voit personne derrière lui, il demande tout haut :
— Mais qui êtes-vous ?
La voix répond :
— Je suis votre ange gardien.
Et le gars répond :
— Ah ouais ? Et où étais-tu quand je me suis marié alors ?
Un homme pousse un peu sa Mercedes et atteint 220 km/h sur l’autoroute.
C’est alors qu’il aperçoit une patrouille de police en BMW qui se met à sa poursuite. Intérieurement, il refuse d’être rattrapé par une BMW : il appuie à fond sur l’accélérateur pour atteindre cette fois 250 km/h. Les deux voitures foncent ainsi pendant un bon bout de temps, 270, 290, 320 km/h, jusqu’à ce que la sirène de la voiture de police retentisse. Après réflexion, le type décide de ralentir et de se laisser rattraper. Le policier s’approche, prend les papiers sans dire un mot, les examine, jette un coup d’œil à la voiture et dit :
— Écoutez, je termine dans 20 minutes et je suis fatigué. Je n’ai pas envie de rédiger une contravention. Alors, si vous me donnez une excuse que je n’ai encore jamais entendue, je vous laisse pour cette fois.
L’homme hésite un moment et lui répond :
— La semaine dernière, un policier est parti avec ma femme…
— Et alors ! ??? Rétorque le policier.
— Et bien, je croyais que c’était lui qui tentait de me la ramener.
— Conduisez prudemment, et bonne fin de journée !
Un instituteur demande à ses élèves :
— Quelle serait pour vous une belle mort ?
Ce à quoi une petite fille au fond de la classe répond :
— C’est mourir comme mon grand-père.
— Ah bon, Et comment est-il mort ton grand-père ?
— Il s’est endormi.
— Et quelle serait alors selon vous une mort atroce ?
— Ce serait mourir comme les copains de mon grand-père.
Le maître intrigué demande alors à la petite fille :
— Et comment sont-ils morts ?
— Ils étaient dans la voiture de mon grand-père quand il s’est endormi…
Un jeune Beur se fait arrêter par la police municipale de Vitrolles. Il roulait sur sa mobylette sans lumière (heureusement, c’était en plein jour !).
Le flic lui dit :
— T’as une amende, mais je te donne une chance. Si tu réponds à ma devinette, je ferme les yeux. Qu’est ce qui a un volant et quatre roues ?
— Une voiture !!!
— Perdu ! Il fallait être plus précis : Renault, Peugeot, Citroën… Je te donne une deuxième chance. Qu’est ce qui a un guidon et deux roues ?
— Une moto !!!
— Perdu ! Il fallait être plus précis : Honda, Yamaha, Toyota… Bon, t’as 50 euros d’amende.
Le gamin dit au flic :
— Et moi, je peux te poser une devinette ? Qui est ce qui porte une minijupe, des bas résille et qui marche sur le trottoir ?
— Une pute ?
— Perdu ! Il fallait être plus précis : Ta mère, ta sœur, ta femme…
Un jeune homme est mort et arrive devant les portes du Paradis. St-Pierre fouille dans le Grand Livre pendant un bon quart d’heure, et dit en soupirant au jeune homme :
— Apparemment, jeune homme, vous n’êtes pas signalé comme ayant fait quoi que ce soit de vraiment bien. Mais comme vous n’avez pas fait grand mal à quiconque non plus, si vous me dites une seule grande bonne action que vous avez faite dans votre vie, je vous laisserai entrer au Paradis.
— Et bien… Il y a eu une fois, alors que je roulais sur une autoroute, j’ai vu un groupe de motards, je saurais pas vous dire le gang, qui étaient en train d’assaillir une pauvre jeune fille. J’ai ralenti, et je me suis arrêté à leur hauteur. Ils étaient bien cinquante. N’écoutant que mon courage, je descend de la voiture, je prend la manivelle dans le coffre, je file droit vers le chef du gang, et je lui hurle de lâcher la fille. À ce moment, ils ont fait un cercle autour de moi. Je me suis jeté sur le chef, je lui ai arraché sa chaîne en or et lui ai balancé ma manivelle dans la gueule.
— Vraiment ? dit St-Pierre impressionné. C’était quand, cet exploit ?
— Il y a un quart d’heure.