je suis venu, j'ai cliqué,
Argent (97 blagues)
Voir aussi :
La prochaine fois j’allumerais la climatisation de la Lamborghini 5 minutes avant d’y monter…
Le cuir était bouillant ! Horrible.
L’argent ne vous change pas. L’argent ne fait que révéler la personne que vous êtes quand vous n’avez plus besoin d’être sympa.
🔗Voir la blagueL’Élysée doit remplacer une fenêtre cassée.
Elle demande un devis à trois artisans.
Les trois artisans examinent la fenêtre.
Le premier artisan vient de Paris. Il sort son mètre mesureur, griffonne sur un papier. « Cela coûtera 900€ : 400€ pour le matériel, 400€ de main d’œuvre, et je garde 100€ de profit. »
Le second artisan vient de Lyon. Lui aussi mesure la fenêtre, regarde la matière du cadre, calcule sur son téléphone. « Cela coûtera 700€ : 300€ de matos, 300 de main d’œuvre et je garde cent euros de profit. »
Le troisième artisan a travaillé chez McKinsey. Il ne mesure rien, ne calcule rien, mais se penche vers le responsable de l’appel d’offres : « 20 700€ ».
Le responsable, incrédule, bafouille : « Mais ! Vous n’avez même pas mesuré quoi que ce soit ! Comment pouvez-vous être aussi cher ? »
L’ancien consultant répond, en murmurant discrètement : « 10 000€ pour moi, 10 000 pour toi, et on embauche le Lyonnais pour réparer la fenêtre. »
« Parfait ! » répond le responsable.
🔗Voir la blagueLe PDG de Coca-Cola en audience à Rome demande au Saint-Père :
— Je vous offre 5 millions de dollars si dans votre prière dominicale au monde, vous remplacez dans le Notre Père « Donnez-nous notre PAIN quotidien » par « Notre COCA-COLA quotidien ».
Le pape sourit et lui répond :
— Vous savez bien que ce n’est pas possible !
Alors le PDG insiste et lui propose 50 millions de dollars. Le pape réfléchit, se tourne vers son secrétaire et demande :
— Quand s’achève le contrat avec les boulangers ?
Les gens qui jettent l’argent par les fenêtres, vous habitez où et vous faites ça plutôt vers quelle heure ?
🔗Voir la blagueLe système mis en place dans notre monde libre repose sur l’accord tacite d’une sorte de contrat passé avec chacun d’entre nous dont voici dans les grandes lignes le contenu :
- J’accepte la compétition comme base de notre système même si j’ai conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour l’immense majorité des perdants
- J’accepte d’être humilié ou exploité à condition qu’on me permette à mon tour d’humilier ou d’exploiter quelqu’un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale
- J’accepte l’exclusion sociale des marginaux des inadaptés et des faibles, car je considère que la prise en charge de la société a ses limites
- J’accepte de rémunérer les banques pour qu’elles investissent mes salaires à leur convenance et qu’elles ne me reversent aucun dividende de leurs gigantesques profits (qui serviront a dévaliser les pays pauvres ce que j’accepte implicitement). J’accepte aussi qu’elles prélèvent une forte commission pour me prêter de l’argent qui n’est autre que celui des autres clients.
- J’accepte que l’on congèle et que l’on jette des tonnes de nourriture afin d’éviter que les cours ne s’écroulent plutôt que de les offrir aux nécessiteux et de permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année.
- J’accepte qu’il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement, en revanche je tolère qu’on le fasse lentement en inhalant ou ingérant des substances toxiques autorisées par les États.
- J’accepte que l’on fasse la guerre pour faire régner la paix. J’accepte qu’au nom de la paix la première dépense des états soit le budget de la défense. J’accepte donc que des conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks d’armes et faire tourner l’économie mondiale.
- J’accepte l’hégémonie du pétrole dans notre économie bien qu’il s’agisse d’une énergie coûteuse et polluante et je suis d’accord pour empêcher toute tentative de substitution s’il s’avérait que l’on découvre un moyen gratuit et illimité de produire de l’énergie ce qui serait notre perte
- J’accepte que l’on condamne le meurtre de son prochain sauf si les états décrètent qu’il s’agit d’un ennemi et nous encouragent à le tuer
- J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système. j’accepte d’ailleurs toutes sortes de divisions possibles pourvu qu’elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux
- J’accepte que le pouvoir de façonner l’opinion publique jadis détenu par les religions soit aujourd’hui aux mains d’affairistes non élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis convaincu du bon usage qu’ils en feront
- J’accepte l’idée que le bonheur se résume au confort l’amour au sexe et la liberté à l’assouvissement de tous les désirs, car c’est ce que la publicité me rabâche toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je consommerai : je remplirai mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de notre économie.
- J’accepte que la valeur d’une personne se mesure à la taille de son compte bancaire, qu’on apprécie son utilité en fonction de sa productivité plutôt que de sa qualité et qu’on l’exclue du système si elle n’est plus assez productive.
- J’accepte que l’on paie grassement les joueurs de football ou des acteurs et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de l’éducation et de la santé des générations futures.
- J’accepte que l’on mette au ban de la société les personnes âgées dont l’expérience pourrait nous être utile, car étant la
civilisation la plus évoluée de la planète (et sans doute de l’univers) nous savons que l’expérience ne se partage ni ne se
transmet - J’accepte que l’on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours pour que je puisse apprécier à quel point notre situation est normale et combien j’ai de la chance de vivre en occident. je sais qu’entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique pour nous.
- J’accepte que les industriels militaires et politiciens se réunissent régulièrement pour prendre sans nous concerter des
décisions qui engagent l’avenir de la vie et de la planète. - J’accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans qu’on me le signale explicitement. J’accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier permettant ainsi aux trusts de l’agroalimentaire de breveter le vivant d’engranger des dividendes conséquents et de tenir sous leur joug l’agriculture mondiale.
- J’accepte que les banques internationales prêtent de l’argent aux pays souhaitant s’armer et se battre et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu’il vaut mieux financer les deux bords afin d’être sûr de gagner de l’argent et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s’ils ne peuvent pas rembourser les emprunts.
- J’accepte que les multinationales s’abstiennent d’appliquer les progrès sociaux de l’occident dans les pays défavorisés. Considérant que c’est déjà une embellie de les faire travailler je préfère qu’on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des droits de l’homme et du citoyen, nous n’avons pas le droit de faire de l’ingérence.
- J’accepte que ˘les hommes politiques puissent être d’une honnêteté douteuse et parfois même corrompus. Je pense d’ailleurs que c’est normal au vu des fortes pressions qu’ils subissent. Pour la majorité, par contre la tolérance zéro doit être de mise.
- J’accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de l’agroalimentaire vendent dans les pays défavorisés des produits périmés ou utilisent des substances cancérigènes interdites en Occident
- J’accepte que le reste de la planète, c’est-à-dire quatre milliards d’individus, puisse penser différemment à condition qu’ils
ne viennent pas exprimer leurs croyances chez nous et encore moins de tenter d’expliquer notre Histoire avec leurs notions philosophiques primitives - J’accepte l’idée qu’il n’existe que deux possibilités dans la nature, à savoir chasser ou être chassé. Et si nous sommes doués d’une conscience et d’un langage ce n’est certainement pas pour échapper à cette dualité, mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte.
- J’accepte de considérer notre passé comme une suite ininterrompue de conflits de conspirations politiques et de volontés hégémoniques, mais je sais qu’aujourd’hui tout ceci n’existe plus, car nous sommes au summum de notre évolution et que les seules règles régissant notre monde sont la recherche du bonheur et de la liberté de tous les peuples comme nous l’entendons sans cesse dans nos discours politiques
- J’accepte sans discuter et je considère comme vérités toutes les théories proposées pour l’explication du mystère de nos origines. Et j’accepte que la nature ait pu mettre des millions d’années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants.
- J’accepte la recherche du profit comme but suprême de l’Humanité et l’accumulation des richesses comme l’accomplissement de la vie humaine.
- J’accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons des rivières et de nos océans. J’accepte l’augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d’éléments radioactifs dans la nature. J’accepte l’utilisation de toutes sortes d’additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si on les y met c’est qu’ils sont utiles et sans danger.
- J’accepte la guerre économique sévissant sur la planète même si je sens qu’elle nous mène vers une catastrophe sans précédent
- j’accepte cette situation et j’admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l’améliorer.
- J’accepte d’être traité comme du bétail, car tout compte fait je pense que je ne vaux pas mieux.
- J’accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci et de ne formuler aucune véritable opposition, car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis. J’accepte même de défendre à la mort ce contrat si vous me le demandez.
- J’accepte donc en mon âme et conscience et définitivement cette triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m’empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui de tous et je vous en remercie.
L’histoire du petit Emmanuel.
Le petit Emmanuel déménage à la campagne et achète un âne d’un vieux fermier pour 100 euros.
Le fermier doit livrer l’âne le lendemain mais justement le lendemain…
— Désolé fiston mais j’ai une mauvaise nouvelle l’âne est mort.
— Bien alors rendez-moi mon argent.
— Je ne peux pas faire ça. Je l’ai déjà tout dépensé.
— OK alors vous n’avez qu’à m’apporter l’âne.
— Qu’est-ce que tu vas faire avec ?
— Je vais le faire gagner par un tirage au sort.
— Tu ne peux pas faire tirer un âne mort !
— Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu’il est mort.
Dans sa situation, le fermier se dit qu’il ne peut pas vraiment refuser.
Il ramène donc l’âne au petit Emmanuel.
Un mois plus tard il revient voir le petit Emmanuel :
— Qu’est devenu mon âne mort ?
— Je l’ai fait tirer au sort. J’ai vendu 500 billets à 2 euros l’unité et j’ai fait un profit de 898 euros.
— Et personne ne s’est plaint ?
— Seulement le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros.
Épilogue : Emmanuel a vieilli et est devenu président.
🔗Voir la blagueL’opéra c’est là où les riches s’emmerdent.
L’apéro c’est là où les pauvres s’amusent.
Comme quoi, deux lettres, ça change tout.
🔗Voir la blagueMa femme s’est fait voler sa carte bancaire, mais ce n’est pas grave. Le voleur dépense moins qu’elle.
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