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Américain (63 blagues)
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Ça se passe dans une prison sud-américaine où sont emprisonnées trois filles, deux brunes et une blonde.
Elles sont condamnées à mort donc elles vont être fusillées dans la cour de la prison, une par une.
Évidemment elles sont mortes de trouille et elles éviteraient bien le peloton d’exécution.
Le curé qui vient les confesser prend pitié d’elles et leur confie :
— Les gens ont très peur des catastrophes naturelles par ici, ils pensent que ce sont des punitions de Dieu, alors servez-vous-en au moment crucial.
Le lendemain, la première brune est amenée dans la cour, attachée au poteau et lorsque le capitaine crie « en joue ! », elle se souvient des paroles du curé et hurle « OURAGAN ! ».
Là, les soldats s’enfuient affolés !
La deuxième brune et la blonde ont vu ça depuis la fenêtre de leur cellule et sont très impressionnées ! Le curé avait raison ! Ca marche !
Le lendemain, la seconde brune est amenée dans la cour, attachée au poteau et lorsque le capitaine crie « en joue ! », elle se remémore la scène de la veille et hurle « CYCLONE ! ».
Idem, les soldats courent dans tous les sens pour aller s’abriter et elle en réchappe.
La blonde a assisté à tout cela de sa fenêtre et a eu la confirmation que ça marchait.
Elle a bien compris le truc et réfléchit à ce qu’elle pourra faire.
Le lendemain, donc, elle est amenée dans la cour, attachée au poteau et lorsque le capitaine crie « en joue ! », elle hurle… « FEU ! »
Trois généraux américains reviennent de la guerre du Viêt-Nam pour prendre leur retraite aux USA.
Leurs états de service sont exceptionnels. Aussi l’armée décide de leur accorder une prime conséquente pour leur départ.
Le ministre de la Défense rencontre les trois généraux et leur annonce :
— Vous allez choisir une distance entre deux points de votre corps. Nous multiplierons les centimètres par mille et cela donnera votre pactole pour la retraite.
Le premier : mesurez-moi du haut de mon front jusqu’aux orteils.
Le docteur militaire s’exécute et le général part à la retraite avec quelques 180 000 $.
Le second : je lève mes bras en l’air et vous mesurerez de la pointe de mes doigts jusqu’aux orteils.
Le docteur sourit. Ce général est décidément bien malin.
Il repart avec 230 000 $.
Le troisième : mesurez-moi de la pointe de ma bite jusqu’à mes couilles.
Le docteur est surpris en pensant qu’il va repartir avec tout au plus 15000 $.
Il prend son mètre, le pose sur la pointe du sexe :
— Mais où sont passées vos couilles ?
— Elles sont restées au Viêt-Nam !
Trois individus de nationalité américaine, britannique et ivoirienne meurent dans un accident et se retrouvent en Enfer.
Après quelques temps, l’Américain désireux de savoir si, enfin, le terrorisme a été totalement résolu, sollicite la possibilité de passer un coup de fil vers l’Amérique.
Le diable accepte et lui facture, aussitôt le coup de fil terminé, les trois minutes à trois millions de dollars. L’américain sort son carnet de chèque et s’acquitte de sa dette sans sourciller…
Le britannique, à son tour sollicite la même faveur, afin de s’enquérir de la santé de la Reine Elisabeth…
Le diable accepte et lui facture, aussitôt la conversation achevée, les trois minutes à 4 millions de dollars que notre ami s’empresse de payer…
Ce fut, enfin, au tour de l’ivoirien.
Ce dernier hésitant du fait de la faiblesse de ses moyens, se décide quand même à demander l’autorisation d’appeler en Afrique pour avoir des nouvelles du continent. Satan accepte et là commence une longue conversation téléphonique au cours de laquelle l’ivoirien apprend qu’une guerre civile fait rage en Côte-d’Ivoire, que le sida continue de progresser sur l’ensemble du continent, que les Togolais s’affrontent, que le Jolo a coulé au Sénégal, que la famine et les criquets sévissent au Burkina et au Mali, etc…etc…etc… La conversation s’achève enfin au bout de trois heures ! L’Ivoirien osant à peine regarder le diable, lui demande en bégayant, le prix de la communication.
Le diable tout serein répond :
— Oh, pour les trois heures ça fait trois dollars !
Surpris, l’Ivoirien demande :
— Mais co… co…comment ça se fait ???
— Et bien, de l’Enfer à l’Enfer, c’est un appel local !!!
Trois médecins discutent lors d’un séminaire :
L’Américain :
— Moi je suis le meilleur ; une salope voulant voir King Kong sur le toit de l’Empire State Building s’est écrasée sur la 5° avenue… 17 heures de travail et je suis arrivé à refaire une nymphe.
Le Français :
— Moi une salope a traversé la canebière sans regarder. 12 heures de travail. J’ai reconstruit aussi une nymphe.
Le Belge :
— Moi un con s’est promené sur la plage. Il a explosé sur une mine de la dernière guerre. On m’a amené une paire de lunettes et une paire de couilles. Et bien moi sur une heure de temps j’ai pu faire un premier ministre.
Trois personnes (peu importe la nationalité, pourquoi faut-il toujours un Belge, un Américain et un Français ?) qui se trouvaient dans un avion de tourisme au-dessus d’îles sauvages ont eu quelques problèmes de moteur et se retrouvent obligées d’atterrir en catastrophe sur une île qu’ils pensent vierge (non je ne vais pas vous raconter Jurassik Park 3) mais qui ne l’est pas tant que ça…
En effet ils se retrouvent bien vite aux mains d’une tribu de sauvages qui n’ont pas l’air commodes… Le chef de la tribu leur propose le marché suivant…
« Bon… Voilà… On manque de femmes en ce moment… Donc je vous propose le marché suivant : on vous laisse le choix entre la mort ou bien… la chounga !!! » (Et à ce moment le reste de la tribu explose en hurlant « la chounga la chounga !!! »).
Le premier prisonnier se dit que ce ne peut être qu’un mauvais moment à passer cela vaut mieux que de mourir. « Je choisis… la chounga ! ».
Et de nouveau toute la tribu : La chounga ! La chounga !!!«
Et ils s’en vont tous à part les gardes. Les deux prisonniers restants restent en plan en attendant les cris atroces de leur camarade…
Le lendemain les cris cessent et la tribu revient devant les prisonniers qui ont étrangement l’air pâles.
Le second choisit tout de même la chounga, c’est toujours mieux que de mourir… Et la tribu de s’agiter : la chounga la chounga !!!
Même rituel : la tribu s’éclipse et pendant 24 heures ce ne sont que cris et hurlements…
Le lendemain le chef de la tribu s’approche du dernier prisonnier désormais complètement blême, et lui pose la question fatidique.
Le prisonnier à cran abandonne : « écoutez je ne veux pas souffrir comme les autres… Je choisis la mort »…
Le chef le regarde alors avec un air vicieux et lui dit « La mort par LA CHOUNGA !!! »
Un Américain atterrit à Paris et prend un taxi.
Le taxi passe devant l’arc de triomphe.
— C’est quoi ça ?
— C’est notre arc de triomphe !
— Vous avez mis combien de temps pour construire ça ?
— Ça a bien dû prendre 5 ans
— Chez nous, ça prend 3 jours
Le taxi passe devant Notre-Dame ; même scène :
— C’est quoi ça ?
— C’est Notre-Dame, la cathédrale de Paris
— Vous avez mis combien de temps pour construire ça ?
— Oh… 40 ans, sans doute.
— Chez nous au Texas, 6 jours.
Le chauffeur commence à avoir les oreilles qui chauffent. Ils passent devant la Tour Eiffel :
— C’est quoi ça ?
— Ça ? Je sais pas. C’était pas là ce matin !
Un américain et deux arabes sont à la piscine.
Un arabe demande à l’américain :
— Tu peux aller me chercher un Coca ?
L’américain va chercher le coca et pendant ce temps, l’arabe pisse dans la chaussure gauche du ricain.
Celui ci revient, et l’autre arabe demande :
— Tu peux me passer un coca à moi aussi steuplé ?
L’américain est dans son bon jour et part chercher le Coca.
Pendant ce temps, l’arabe pisse dans la chaussure droite de l’armerloque.
L’américain revient, lui passe le coca. L’arabe le boit, ils partent se baigner.
Au moment de partir, l’américain s’aperçoit que ses chaussures sont mouillées.
— Bon les gars, c’est drôle un moment de pisser dans les chaussures et les Cocas, mais là je propose qu’on arrête…
Un Américain part en vacances en Israël avec sa femme et sa belle mère.
Pendant le séjour, la belle mère décède.
Les pompes funèbres indiquent à l’américain et sa femme que le rapatriement coûte 5 000 dollars alors que l’enterrement sur place coûte 100 dollars.
L’américain opte sans hésiter pour le rapatriement.
Les pompes funèbres insistent et indiquent que le prix inclut une cérémonie en grande pompe.
L’américain ne change pas d’avis.
Une fois dans leur hôtel, sa femme s’adresse à lui :
— Chéri, je suis contente que tu aies choisi le rapatriement le plus onéreux, c’est vraiment une marque d’amour pour maman !
Son mari lui rétorque :
— Ici, ils ont enterré un certain Jésus il y a 2000 ans et il est revenu 3 jours après sur terre. Je ne voulais prendre aucun risque avec ta mère !!!
Un Américain, un Anglais et un Irakien sont dans un bar, un soir, en train de siroter une bière.
Le Yankee boit sa bière et tout à coup lance son verre, dégaine son colt et explose le verre en l’air. Il dit :
— Aux States, nos verres sont si bon marché qu’on n’est pas obligés de boire deux fois dans le même.
Le British, un peu impressionné, boit sa bière, lance son verre en l’air, dégaine son colt et explose le verre. Il dit :
— En Angleterre on a tellement de sable pour faire nos verres qu’on n’a pas à boire deux fois avec le même.
L’Irakien, paisible, boit sa bière, lance son verre en l’air, dégaine son colt et bute l’Américain et l’Anglais.
— En Irak, on a tellement d’Américains et d’Anglais qu’on n’est pas obligés de boire deux fois avec les mêmes !
Un avion de diplomates s’écrase dans la jungle. Il y a trois rescapés, un Français un Américain et un Belge (et oui toujours eux).
Ils sont immédiatement capturés par la tribu d’indigènes locale. Le chef s’approche et dit :
— Voila comme aujourd’hui nous avons récupéré assez de viande pour passer l’hiver je vous propose un marché : si vous voulez rester en vie il faut passer deux épreuves ! La première : nous ramener chacun 100 fruits de la forêt vierge et pour la deuxième on verra plus tard !
L’Américain refuse :
— Je m’oppose à toute forme de chantage en vertu des droits de l’homme.
Le chef du village l’attrape et lui coupe la tête.
Le Belge et le Français pétrifiés acceptent.
Le chef donne à chacun un sac et les conduit à l’orée de la forêt vierge.
Le français revient le premier avec un sac plein de litchis.
Le chef le félicite, réunit le conseil du village et lui dit :
— Voila ! Maintenant nous pouvons passer à la deuxième épreuve : il faut que tu te rentres un par un chaque fruit dans le cul sans crier sans rire et sans parler. Après nous te laisserons la vie sauve.
Le Français s’exécute avec beaucoup de mal… 1 2 3….96 97 98ème litchi et là il éclate de rire.
Le chef l’attrape et pan il lui coupe la tête.
Il arrive aux portes du paradis et Saint-Pierre l’interroge :
— Je ne comprends pas ! J’ai suivi toute la scène et vous aviez pratiquement réussi la deuxième épreuve !
Comment se fait-il que vous ayez craqué au 98ème litchi ?
— C’est la faute du Belge quand je l’ai vu arriver avec ses noix de coco !