je suis venu, j'ai cliqué,
Américain (63 blagues)
Voir aussi :
Je suis persuadée qu’il y a un complot visant à éradiquer le cinéma américain du sol français, leur arme : un doublage à chier.
🔗Voir la blagueLa CIA manque de tueurs à gages compétents.
Elle vient de faire passer des tests à des milliers d’américains, et seules trois personnes sortent finalistes : deux hommes et une superbe femme blonde.
L’ultime épreuve arrive : les responsables de la CIA les font monter dans une limousine, et leur donnent une arme.
La limousine se gare devant le domicile du premier homme, et l’un des responsables lui dit : « voilà, c’est l’épreuve finale, nous avons besoin de savoir si vous serez capable de suivre nos instructions sans jamais les remettre en question. Alors vous allez rentrer chez vous, votre femme y est, nous avons contrôlé, et vous allez la tuer… »
« Quoi ! Vous êtes fou ! Demandez moi tout ce que vous voulez mais pas cela !… »
« OK ! Bye ! Vous n’êtes pas fait pour ce job ! »
La limousine se gare devant le domicile du deuxième homme. Même cinéma.
L’homme entre chez lui, puis ressort en pleurant et en criant : « Non ! je ne peux pas… »
La limousine repart et s’arrête devant le domicile de la blonde.
Elle entre chez elle.
On entend alors 6 coups de feu. Elle a vidé son chargeur.
Puis des bruits de casse et des cris atroces sortent de la maison, les responsables des la CIA sortent vite de la limousine pour voir ce qu’il se passe. Ils finissent par voir la blonde sortir de la maison avec une batte de base-ball ensanglantée à la main. Elle crie :
— Vous auriez pu me prévenir pour les balles à blanc ! J’ai dû le finir avec ce qui me tombait sous la main !
L’actualité des nuls
Bonsoir, je suis Bruno Carette.
Bonsoir, je suis Chantal Lauby.
Bonsoir, je suis Alain Chabat.
Tous ces titres ne seront pas développés dans cette édition.
Débarquement
C’est samedi que la Vache Qui Rit a été parachutée au nord de l’Irak en chantant : Un gros kurde, un petit kurde, c’est l’heure de l’apéri-kurde.
Fête du Dauphinois
Tout le gratin était là.
Ouragan
Stéphanie de Monaco qui enregistre en ce moment dans un studio parisien est de plus en plus accaparée par son nouveau métier de chanteuse. Elle déclare : J’ai un pied à Paris et un autre à Monaco. On plaint les Lyonnais.
Spectacle
Voulant imiter Madonna, une chanteuse belge a été hospitalisée après son gala. En effet, lorsqu’elle a jeté sa petite culotte, elle était encore dedans.
Incendie au Bois de Boulogne
Le Brésil est déclaré pays sinistré.
Haïti
Téléphone maison.
Assimil
C’est en écoutant à longueur de nuit Canal+ sans décodeur qu’un Français a appris le hollandais.
Cul-de-sac
Miss France présente aux USA le beaujolais nouveau. De la touffe, de la jambe, du cou, de la cuisse, du slip, un beau cru bien de chez nous, chaud en bouche. Telles sont les appréciations des œnologues américains. Aux dernières nouvelles, Miss France aurait du mal à marcher et le beaujolais serait revenu intact.
Vide
Mireille Mathieu se suicide d’une balle dans la tête. La balle ricoche toujours.
Conseil
Une petite phrase à méditer qui s’adresse à vous, Messieurs, en vous tapant des naines, vous aurez l’impression d’avoir une plus grosse bite.
Trafic d’aphrodisiaques
Les policiers sont impuissants.
Sports de glisse
Au championnat du monde de constipation, le Français a obtenu la médaille de bronze.
Risques majeurs
À la porte de Versailles, au salon de l’agriculture, une trayeuse électrique devient folle : 3 000 visiteurs sucés à mort.
Fait divers
Un détenu est tombé malade en s’évadant de la Santé.
🔗Voir la blagueLa guerre froide est terminée. Boris Eltsine qui appelle Clinton sur le téléphone rouge.
— Bill ? Bonjour, ici c’est Boris. Notre fabrique nationale de préservatifs vient d’exploser. Les russes n’auront plus aucun moyen de se protéger du SIDA. Il faut nous aider !
— Boris, pas de problème. Tu as frappé à la bonne porte. Les États-Unis vont t’aider… Ce n’est pas comme ces bons à rien d’européens. Qu’est-ce qu’il te faut Boris ?
— Il me faudrait dès que possible un million de préservatifs…
— Aucun problème Boris, compte sur moi.
— Et Bill, tant que j’y suis, tu pourrais me faire une autre faveur ?
— Oui ?
— Est-ce que les préservatifs pourraient être de couleur rouge, avec une longueur de 25 cm et un diamètre de 8 centimètres ?
— Pas de problème Boris.
Là dessus, Clinton appelle le PDG de Mannix :
— Il faut réaliser 1 million de préservatifs et les expédier en Russie. Pouvez-vous faire ça ?
— Certainement Monsieur le Président
— Très bien. Mais il devront avoir certaines caractéristiques : être de couleur rouge, mesurer 25 cm de long sur 8 cm de diamètre.
— C’est noté. Et quoi d’autre ?
— Sur chaque préservatif, vous écrirez 'MADE IN AMERICA, Taille MEDIUM’
La recette américaine pour faire un film
- Si votre film se déroule dans une maison hantée, il est indispensable que les actrices se lancent à la recherche de l’origine des bruits mystérieux qui les empêchent de dormir, la nuit et dans leurs sous-vêtements les plus sophistiqués.
- Rappelez-vous que, poursuivi dans une ville américaine, votre héros aura toujours la possibilité de se cacher dans une parade de la Saint Patrick ou du nouvel an chinois à n’importe quel moment de l’année.
- Tous vos lits doivent être munis de draps spéciaux capables de recouvrir l’héroïne jusqu’à ses aisselles et le héros jusqu’à la taille.
- N’importe qui peut faire décoller un avion, à partir du moment où il se trouve quelqu’un dans la tour de contrôle pour lui en donner l’autorisation.
- Si votre héros doit se cacher dans un immeuble (et il le devra forcément…), rappelez-vous que le système de ventilation est parfait pour ce genre de situation. Personne ne pense jamais à y chercher le fugitif et c’est un excellent moyen pour lui de se rendre d’une pièce à l’autre sans aucun problème.
- Il sera possible à votre héros de se sortir de n’importe quelle guerre ou catastrophe naturelle, à moins qu’il ne commette l’erreur fatale de montrer la photo de sa bien-aimée qui attend son retour avec impatience.
- N’oubliez jamais que votre héros est un superman au cœur tendre : Il peut se faire rouer de coups pendant plusieurs heures sans bouger une oreille, mais dès qu’une jolie femme tentera de désinfecter ses plaies, il souffrira terriblement.
- Le chef de votre équipe de police doit impérativement être afro-américain ou latino-américain.
- Quand votre héros devra payer sa course de taxi, ne vous inquiétez de rien : quel que soit le billet qu’il prendra au hasard, ce sera obligatoirement le prix exact demandé par le chauffeur, généreux pourboire compris.
- Votre cuisine doit impérativement être dépourvue de lampe, ainsi lorsque votre héros s’y déplacera furtivement dans la nuit (à la recherche d’un bandit ou d’un yaourt), il utilisera la lampe du frigo (ce qui vous sera également utile si vous décidez d’embrayer sur une scène d’amour torride : l’éclairage tamisé est de rigueur !)
- Lors de son enquête, votre héros devra se rendre au moins une fois dans un club de strip tease.
- Avec une seule allumette, vous pourrez éclairer un espace aussi vaste qu’un terrain de football pendant plus d’une heure.
- Rappelez-vous que les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être : ce n’est pas parce que votre héros roule sur une ligne droite qu’il ne doit pas régulièrement tourner le volant à gauche et à droite d’un geste rageur et vigoureux.
- N’importe quel homme mis en joue par 20 personnes a plus de chance de s’en sortir que 20 personnes mises en joue par un seul homme.
- Dans votre film, la plupart des gens devront tenir avec minutie un album rempli de vieilles coupures de journaux, surtout si un membre de leur famille a perdu la vie dans un mystérieux accident de bateau.
- Lors d’un combat, ne craignez jamais pour la vie de votre héros : même s’il doit affronter plus d’une vingtaine de méchants, ils attendront tous patiemment que leurs alliés se fassent massacrer pour l’attaquer en poussant des cris et agitant leurs couteaux d’un air menaçant.
- Lorsque votre héros confiera ses plus intimes blessures à l’héroïne, la larme à l’œil et la phalange hésitante, au lieu de le faire parler en face d’elle, placez-le derrière et arrangez-vous pour qu’il s’adresse à son dos ou à son cou, tandis qu’elle versera abondamment les larmes qu’il retiendra (c’est un héros, il ne peut pas pleurer, quand même !)
- Lorsque le fou psychopathe de votre film s’échappera de son asile ultra sécurisé au moyen d’une cuillère affûtée et d’un savon taillé en forme de revolver, arrangez-vous pour qu’il y ait une terrible tempête et une coupure totale d’électricité (éventuellement même un nuage électromagnétique émanant d’une usine chimique désaffectée, qui rendrait impossible toute communication par portable interposé).
- Lorsque, à quelques secondes de l’explosion définitive de la terre, votre héros se lancera à la poursuite des bombes à désamorcer, qu’il ne s’affole pas : elles sont toutes connectées au même détonateur, lui même relié à un réveil à grand écran et chiffres rouges, pour qu’il sache, à n’importe quel moment, combien de secondes il lui reste pour sauver le monde.
- Les problèmes de parking ne sont pas d’actualité : votre héros pourra toujours se garer à l’entrée de l’immeuble où il doit se rendre.
- Lorsque votre héros ou votre héroïne seront poursuivis par le méchant qui veut les tuer, le fou psychopathe qui veut les découper en rondelles, ou le flic débile qui n’a rien compris et veut les arrêter, ne faîtes jamais démarrer leur voiture avant la dernière seconde.
- Lorsque quelqu’un laisse un message de la plus haute importance à votre héros, ne le laissez pas en prendre connaissance, surtout s’il s’agit de sa petite copine avec laquelle il est en froid, et qui veut lui donner une dernière chance (ça l’empêcherait de la tromper avec la méchante et de se faire plus tard pardonner en la demandant en mariage devant tous ses coéquipiers).
- La meilleure façon de pousser votre héros et votre héroïne à flirter est d’envoyer en fond sonore une musique romantique ou sensuelle.
- Si votre héros est un policier, il ne pourra résoudre son affaire qu’après avoir été démis de ses fonctions (parce personne le croit : forcément, il est trop malin…).
- Dans votre film, les étrangers devront parler anglais entre eux, même si le film se joue au fin fond de la Papouasie.
- Il est strictement interdit de désamorcer une bombe avant l’ultime seconde.
- Lors d’une poursuite en voiture (élément indispensable au succès de votre film), il doit nécessairement y avoir une grande plaque de verre que deux âmes en peine trimbalent à travers la ville, et dans laquelle le héros ne manquera pas d’encastrer sa BMW flambant neuve, ou bien une épicerie orientale pleine de pastèques, de poulets et de bouteille d’eau dont l’unique but existentiel est de se faire exploser.
- Le méchant doit toujours avoir une connexion avec le passé du gentil (leurs pères ont fait la guerre du Vietnam ensemble, ou alors ils étaient amoureux de la même femme, etc.)
- Peu importe que votre héros ait un chargeur contenant seulement 6 balles, il pourra quand même tirer plus d’une centaine de coups avant de s’écrier d’un air rageur « Putain, le chargeur et vide », exactement en même temps que le méchant, avant de balancer son flingue avec beaucoup de majesté pour signifier au méchant qu’il veut résoudre leur différent à mains nues comme un héros vaillant qu’il est.
- Enfin, le jour où vous donnerez vos interviews, exclamez-vous avec enthousiasme que le tournage fut idyllique (tant pis si les 3/4 du temps votre acteur principal était bourré, l’actrice principale en dépression à cause de son 4ème divorce, et le reste de votre équipe vous servait de défouloir géant) utilisez souvent la phrase « Mais c’est un concept révolutionnaire : on n’avait jamais fait ça avant ! », répétez à qui veut l’entendre « Alison Hart (l’actrice principale) ? ! Mais je l’adore, je l’a-do-re !!! Je n’ai qu’une envie, c’est de retravailler avec elle » (et peu importe si, la dernière fois que vous l’avez vue, vous avez recommencé à fumer à défaut de lui agrafer votre paquet de cigarette sur le front…). Bref ne cessez de vous exclamer : « Réalisateur ? C’est le plus beau métier du monde ! Je suis vraiment verni ! » et arrangez-vous pour cesser de vous demander « Mais qu’est-ce que je fous là ? ! » en permanence…
Une étude a été faite aux USA au sujet de la valeur des hommes et des femmes.
Ils sont arrivés à la conclusion que les femmes valaient 65 000 euros et les hommes 14 euros.
En effet, chez les femmes, il y a :
- un centre de fabrication : 20 000 euros
- une centrale laitière : 20 000 euros
- un centre d’accueil : 25 000 euros
Soit au total : 65 000 euros
Chez les hommes, il y a :
- une knacki : 4 euros
- deux boulettes : 4.5 euros pièce (soit 9 euros)
- 1 euro pour la sauce…
Le 20 juillet 1969, en tant que commandant du module lunaire Apollo 11, Neil Armstrong fut la première personne à poser le pied sur la lune.
Ses premières paroles après avoir marché sur la lune, « C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand pas pour l’humanité » ont été retransmises sur terre et entendues par des millions de personnes.
Mais juste avant de rentrer dans la capsule, il fit cette énigmatique remarque : « Bonne chance, M. Gorsky. »
Beaucoup de gens de la NASA pensèrent qu’il s’agissait d’une remarque gratuite à propos d’un cosmonaute soviétique rival.
Pourtant, après vérification, il s’avéra qu’il n’y avait aucun Gorsky dans le programme spatial russe ou américain.
Pendant des années, beaucoup de gens demandèrent a Armstrong ce que le « bonne chance, M. Gorsky » signifiait, mais Armstrong se contentait de sourire.
Le 5 juillet 1995, à Tampa Bay en Floride, alors qu’il répondait à des questions après un discours, un reporter lui posa la fatidique question toujours sans réponse depuis plus de 26 ans. Cette fois, finalement, il répondit.
M.Gorsky était mort et Neil Armstrong admit qu’il pouvait répondre à la question.
En 1938, lorsqu’il était enfant, dans une petite ville du Middle West, il jouait au base-ball avec un ami dans l’arrière-cour. Son ami frappa une balle qui atterrit dans le jardin de ses voisins, près de la fenêtre de la chambre.
Ses voisins étaient monsieur et madame Gorsky.
Alors qu’il se baissait pour ramasser la balle, le jeune Armstrong entendit madame Gorsky crier à monsieur Gorsky :
— Une pipe ??? !!! Tu veux que je te fasse une pipe ??? !!! Je te ferai une pipe le jour ou le gamin d’à coté marchera sur la lune !
Le président Donald Trump fait le tour des écoles primaires afin de rencontrer les très jeunes futurs votants du pays.
Il entre dans une classe et arrive au moment où l’institutrice est en train de faire un cours aux enfants sur la tragédie du 11 septembre 2001.
Un des enfants lève sa main et demande :
— Madame, qu’est-ce que c’est une « Tragédie » ?
L’institutrice se tourne alors vers le président et lui propose de diriger la discussion. Ainsi, l’illustre dirigeant demande aux autres jeunes élèves qui connaissent la signification de ce mot d’illustrer le sens du terme qu’ils viennent d’utiliser.
Un petit garçon se lève et dit :
— Si mon meilleur ami qui vit à côté de chez moi joue tranquillement dans la rue et qu’une voiture le renverse, ce sera une tragédie.
Trump secoue tristement la tête :
— Non, mon petit. Ce serait un accident !«
Un léger silence s’installe dans la classe. Le président insiste.
— Qui veut proposer autre chose ?
Une petite fille se lève alors à son tour :
— Un bus scolaire transportant 50 élèves tombe dans le ravin, et tout le monde meurt dans la chute. Ça, c’est une tragédie !
Trump secoue la tête à nouveau :
— Non, petite, il s’agit là d’une grosse perte pour le monde…
Cette fois, c’est un lourd silence qui tombe sur le groupe. Trump s’impatiente légèrement :
— Allons, les enfants ! Il n’y a personne pour me donner un exemple sérieux de tragédie ?
Alors, petit Johnny du fin fond de la classe se lève :
— Si Air Force One, alors qu’il transporte M. et Mme Trump, est frappé par un missile et est pulvérisé en plein ciel, ça, c’est une tragédie !
— Fantastique ! s’écrie le Président, le visage illuminé. Voilà une superbe illustration du mot tragédie ! Et peux-tu expliquer à tes petits camarades la raison pour laquelle ce serait une tragédie ?
— Parce que ça ne serait pas un accident et que ça ne serait sûrement pas une grosse perte !
Les aiguilleurs du ciel de l’aéroport de Francfort seraient connus dans le métier comme les plus inamicaux.
Un pilote de Boeing américain, arrivant avec son 747, atterrit et à la sortie de la piste, hésite sur la route à prendre pour rejoindre son parking. Plutôt que de l’aider, son contrôleur allemand lui lance méchamment à la radio :
— Vous n’êtes jamais venu à Francfort ?
Avec tout son calme, le pilote lui répond :
— Si, en 40, mais je n’ai fait que passer.
Les Américains sont très forts sur la terminologie du « ware » en informatique (shareware, hardware, freeware, netware, etc.)
Eh bien les Belges, une fois, sont aussi forts qu’eux, et je me fais un plaisir de vous communiquer leur langage informatique.
Comment dit-on en Bruxellois :
- un logiciel très compliqué : un assomware
- la procédure de sortie d’un logiciel : aureware
- un logiciel de nettoyage d’un disque dur : baignware
- la poubelle de Windows : dépotware
- un logiciel antivirus : un mouchware
- un logiciel pour documents en attente : purgatware
- un logiciel de merde : suppositware
- un logiciel de classement : tirware
- une réunion des directrices de l’informatique : tupperware
- un logiciel de demande d’augmentation : vatferware