je suis venu, j'ai cliqué,
Américain (63 blagues)
Voir aussi :
Un soldat en poste en Irak a reçu une lettre de sa petite amie, aux États-Unis.
Elle disait ceci :
Cher Ricky,
Je ne peux pas poursuivre notre relation.
La distance entre nous est trop grande. Je t’ai trompé deux fois depuis que tu es parti, et cela n’est juste pour aucun de nous. Je suis désolée. Merci de me renvoyer la photo de moi que je t’avais donnée.
Bises. Becky.
Le soldat, à qui ça avait fait mal, a demandé à ses collègues de lui donner autant de photos que possible de leurs petites amies, sœurs, tantes, cousines, etc.
À la photo de Becky, il a ajouté toutes les photos de jolies filles fournies par ses copains. Il y avait 57 photos dans cette enveloppe… avec ce petit mot :
🔗Voir la blagueChère Becky, Je suis désolé, mais je ne me souviens pas de qui tu es.
Merci de prendre ta photo dans la pile et de me renvoyer les autres.
Un Texan et un Français sont dans un train, assis l’un en face de l’autre. Ils se dévisagent avec curiosité.
L’Américain est l’archétype du parfait cow-boy. La chemise à carreaux, le chapeau, les bottes, la totale.
Le Français est tout ce qu’il y a de plus moyen, avec son béret.
Au bout d’un moment, le Texan lâche une volée de petits crachats, qui viennent dessiner une auréole parfaite autour de la tête du Français, et il dit :
— Smith, John Smith, champion du monde professionnel de crachat 1995,
je suis même dans le livre des records.
Après une légère hésitation, le français envoie un gros molard en pleine figure du Texan, et lui répond :
— Dupont, Jean. Amateur.
Voici quelques phrases relevées dans des cours de justice américaines.
— Quel est le jour de votre anniversaire ?
— 18 juillet.
— Quelle année ?
— Chaque année.
— Dans quoi étiez-vous au moment de l’impact ?
— Un sweat-shirt Gucci et des Reebok.
— Cette maladie, affecte-t-elle vraiment votre mémoire ?
— Oui.
— Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
— J’ai oublié.
— Vous avez oublié. Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?
— …
— Quelle fut la première chose que votre mari vous a dite quand il s’est réveillé ce matin-là ?
— Il a dit « Où suis-je Cathy ?
— Et pourquoi cela vous a-t-il mis en colère ?
— Mon nom est Susan.
— Et à quel endroit a eu lieu l’accident ?
— Approximativement au kilomètre 499.
— Et où se trouve le kilomètre 499 ?
— Probablement entre les kilomètres 498 et 500.
— Le plus jeune fils, celui de 20 ans, quel âge a-t-il ?
— Étiez-vous présent quand votre photo a été prise ?
— Était-ce vous ou votre plus jeune frère qui fut tué durant la guerre ?
— Vous a-t-il tué ?
— À quelle distance étaient les véhicules au moment de la collision ?
— Vous étiez là jusqu’à ce que vous partiez, est-ce exact ?
— Combien de fois vous êtes-vous suicidé ?
— Elle avait trois enfants, vrai ?
— Oui.
— Combien de garçons ?
— Aucun.
— Il y avait des filles ?
— Docteur, combien d’autopsies avez-vous effectuées sur des morts ?
— Toutes mes autopsies ont été effectuées sur des morts.
— Toutes vos réponses doivent être orales. À quelle école êtes-vous allé ?
— Orale.
— Vous souvenez-vous à quelle heure vous avez examiné le corps ?
— L’autopsie a commencé vers 20h30.
— Et M. Dennington était mort à cette heure ?
— Non, il était assis sur la table à se demander pourquoi je faisais une autopsie.
— Docteur, avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
— Non.
— Avez- vous vérifié la pression sanguine ?
— Non.
— Avez-vous vérifié s’il respirait ?
— Non.
— Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand vous avez commencé l’autopsie ?
— Non.
— Comment pouvez-vous en être certain, Docteur ?
— Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
— Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en vie ?
— Il est possible qu’il ait été encore en vie et en train d’exercer le métier d’avocat quelque part.
— Qu’a donné le prélèvement de tissu vaginal ?
— Des traces de sperme.
— Du sperme masculin ?
— C’est le seul que je connaisse.
— Avez-vous couché avec lui à New York ?
— Je refuse de répondre à cette question.
— Avez-vous couché avec lui à Chicago ?
— Je refuse de répondre à cette question.
— Avez-vous couché avec lui à Miami ?
— Non.
— Répétez après moi s’il vous plaît : « Je jure devant Dieu… »
— Je jure devant Dieu…
— « Que le témoignage que je vais apporter… »
— Oui
— Répétez-le.
— Répétez-le.
— Non ! Répétez ce que j’ai dit.
— Ce que vous avez dit quand ?
— « Que le témoignage que je vais apporter… »
— Que le témoignage que je vais apporter…
— « Sera la vérité et… »
— Oh, oui ! Et rien que la vérité !
— S’il vous plaît, contentez-vous de répéter après moi : « Sera la vérité et… »
— Je ne suis pas lettré, vous savez.
— Nous pouvons le constater. Répétez après moi : « Sera la vérité et… »
— « Sera la vérité et… »
— Dites : « rien… ».
— D’accord. (Le témoin se tait.)
— Non ! Ne dites pas rien. Dites : « Rien que la vérité »
— Oui.
— Pouvez-vous dire « Rien que la vérité » ?
— Oui.
— Et bien, faites-le !
— Vous m’embrouillez.
— Dites simplement : « Rien que la vérité ??? »
— C’est tout ?
— Oui.
— Bien. Je comprends.
— Alors dites-le !
— Quoi ?
— « Rien que la vérité »
— Mais je le fais ! Je dirai la vérité.
— Vous devez dire : « Rien que la vérité »…
— Mais je dirai toute la vérité !
— S’il vous plaît répétez ces quatre mots. « Rien », « Que », « La », « Vérité ».
— Quoi ? Vous voulez dire, comme ça ?
— Oui ! Comme cela s’il vous plaît. Dites simplement ces quatre mots.
— « Rien. Que. La. Vérité. »
— Merci