je suis venu, j'ai cliqué,
Adultère (55 blagues)
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Après leur journée de labeur, Marcel et René, deux peintres en bâtiment, discutent sur le chemin du retour.
Marcel dit à son comparse :
— René, ça fait 5 ans que je suis des cours du soir et je vais passer mon examen le trimestre prochain…
— Bah…
— Tiens par exemple, tu sais qui c’est Graham Bell ?
— Non.
— C’est celui qui a inventé le téléphone en 1876 ! Si tu suivais les cours du soir, tu le saurais.
Le lendemain, sur le chemin du retour, la même scène se reproduit :
— Tu sais qui c’est Alexandre Dumas ?
— Non.
— C’est l’auteur des « Trois Mousquetaires ». Si tu suivais les cours du soir, tu le saurais…
Le jour d’après, une nouvelle fois, Marcel demande à son camarade :
— Et tu sais qui c’est Jean-Jacques Rousseau ?
— Non.
— C’est l’auteur des « Confessions ». Si tu suivais les cours du soir, tu le saurais…
Cette fois, un peu excédé, René réplique :
— Et toi tu sais qui c’est Pierre Gaspard ?
— Non ?
— C’est le père de tes deux enfants. Si t’arrêtais les cours du soir, tu le saurais…
Au paradis, Saint Pierre accueille 10 femmes qui sont mortes la même journée.
— Que toutes les femmes qui ont trompé leur mari fassent un pas en avant.
Et neuf femmes sur les dix présentes avancent d’un pas.
À ce moment-là, Saint Pierre se retourne vers Dieu et lui demande :
— Et qu’est ce qu’on en fait de la sourde ?
Bill travaillait depuis plusieurs années dans une usine de cornichons.
Un soir, il confessa à sa femme qu’il avait une tentation terrible : il désirait mettre son sexe dans la découpeuse de cornichons…
Sa femme lui suggéra d’aller voir un thérapeute pour en parler, mais Bill déclara qu’il serait trop embarrassé. Il jura de combattre cette tentation seul.
Un jour, quelques semaines plus tard, Bill rentra chez lui. Sa femme vit tout de suite que quelque chose n’allait pas.
— Qu’est-ce qui ne va pas Bill ?
— Tu te souviens de mon fantasme à propos de la découpeuse de cornichons ?
— Oh, non Bill, tu n’as pas…
— Si.
— Mon Dieu, Bill que s’est-il passé ?
— J’ai été viré.
— Non, je veux dire, que s’est-il passé avec la découpeuse ?
— Elle aussi a été virée.
Ce sont deux Africains qui vont en Italie. Là bas, ils découvrent les gondoles…
Le premier dit a l’autre :
— Wouah c’est super, il faut absolument qu’on fasse ça en Afrique !
Ils rentrent tous deux en Afrique dans leur village et se mettent à construire une petite barque destinée aux touristes.
L’Africain qui a eu l’idée :
— Alors moi je me mets devant et j’explique et toi tu te mets derrière et tu répètes pour que tout le monde entende !
Ils font entrer les touristes et commencent la visite :
— Ceci est une maison typiquement africaine !
Et le deuxième de répéter :
— Ceci est une maison typiquement africaine
Le premier :
— Ceci est une girafe typiquement africaine.
Et le deuxième répète…
Tout à coup, le premier voit un Africain qui fait l’amour à une Africaine… il panique et dit :
— Voila un homme qui fait du vélo…
Et le deuxième de répéter :
— Voila un homme qui fait du vélo… HEY, MAIS PUTAIN, C’EST MON VÉLO !
C’est deux femmes qui discutent de leur vie de couple. La première dit à la seconde :
— Cette fois-ci c’est décidé, je vais demander le divorce !
— Mais pourquoi ? demande l’autre.
— J’ai vu ce branleur, mon mari, aller au cinéma avec une autre femme.
— Et tu sais qui c’était cette femme ?
— Non, je ne l’avais jamais vue auparavant.
— Et tu n’as pas pensé un seul instant qu’il pouvait y avoir une explication autre que celle à laquelle tu penses ? Pourquoi ne les as-tu pas suivi dans le cinéma pour savoir ?
— Ben, je ne pouvais pas : l’homme avec qui j’étais avait déjà vu le film.
C’est l’histoire d’un gars qui ne voyait que le bon côté des choses.
À tel point qu’il finissait par agacer tous ses amis par son optimisme forcené : peu importe les circonstances, sa réponse était du genre :
— Ça aurait pu être pire !
Pour lui faire passer son habitude exécrable, tous ses amis décidèrent de lui tendre un piège en inventant une situation tellement désastreuse que même lui ne pourrait y trouver de côté positif. Alors qu’ils se retrouvaient pour un repas au restaurant, un des amis du gars lui dit :
— Tu connais Léon Dugenou ? Tu sais, l’avocat. Et bien, il est rentré chez lui un peu plus tôt que prévu hier soir, et il a trouvé sa femme au lit avec un autre homme. Figure-toi qu’il n’a rien trouvé de mieux que de les tuer tous les deux puis de retourner l’arme contre lui et se suicider !
Alors notre optimiste répond :
— Ah c’est affreux… Mais ça aurait pu être pire !
L’ami n’en croit pas ses oreilles :
— Comment ça, tu me fais marcher dis ?
Et l’optimiste rétorque :
— Ben non, si cette histoire était arrivée la veille, je serais mort maintenant.
C’est un « couple » en train de…(hihihi ça commence bien).
— Dis donc chérie, ton mari il ne va pas bientôt rentrer ? Parce que je n’aimerais pas le croiser : c’est quand même mon meilleur ami.
— T’inquiète pas… il ne rentre pas avant une heure.
Le téléphone sonne. La femme répond :
— Oui ? Bonjour mon chéri. Bien mon chéri. D’accord mon chéri. À tout à l’heure mon chéri.
— C’était mon mari : il aura du retard, il est en train de terminer une partie de billard avec toi…
C’est un docteur et sa femme qui ont une violente dispute le matin. Le médecin finit par hurler à sa femme :
— Tu es nulle au lit !
Puis il s’en va au boulot. Dans la matinée, pris par les remords, il décide d’appeler sa femme au téléphone pour s’excuser et tenter de faire la paix. Le téléphone sonne, sonne, sonne encore… Après plus d’une minute de sonnerie, la femme décroche, la voix haletante d’avoir couru :
— Où étais-tu pour être essoufflée comme ça ? demande le médecin
— J’étais dans la chambre, en haut.
— Encore au lit à onze heures du matin ???
— C’était pour avoir un deuxième avis.
C’est un gars qui rentre chez lui et qui trouve sa femme au lit avec un autre gars.
Comme le mec trompé est super balèze, il attrape l’amant de sa femme et l’emmène de force au sous-sol dans son garage.
Là, il lui serre l’objet du délit d’adultère dans un étau ; il s’assure ensuite que l’amant ne pourra pas desserrer l’étau en démontant le manche. Et à ce moment, il empoigne la scie à métaux…
L’amant, qui n’en menait déjà pas large, est terrifié. Il hurle :
— Hé !!! Vous… vous… VOUS N’ALLEZ PAS ME LA COUPER ? !!!
Le mari trompé lui répond avec le pire sourire sadique :
— Non. Mais c’est toi qui va te la couper tout seul, car je vais foutre le feu au garage.
C’est un homme qui sort de chez lui le soir pour aller acheter des cigarettes.
Au Café-Tabac, il fait connaissance avec une ravissante jeune fille qui lui semble particulièrement chaude.
Après quelques verres, ils conviennent d’aller passer un moment dans son appartement.
Mais bientôt, après la partie de jambes-en-l’air, le gars réalise qu’il est 3 heures du mat’:
— Oh non… Ma femme va me tuer ! J’ai une idée : Est-ce que tu as du talc ?
La fille lui donne du talc ; il s’en empare et commence à s’en frotter les mains. Puis il lui dit au revoir et rentre chez lui.
À la maison, sa femme l’attend dans le couloir. Elle est plutôt furax :
— Dis-moi ! D’où est-ce que tu viens encore ? !
— Eh bien, chérie, en fait… Je suis allé au tabac pour m’acheter des clopes, et là-bas, j’ai rencontré une superbe fille. On a bu quelques verres et, tu sais, elle était vraiment excitée, et comme elle était vraiment très jolie, on est allé chez elle… dans son lit…
— Ah ouais ? ! Fais-moi voir tes mains (et ce faisant, elle lui prend les mains et tourne ses paumes vers la lumière). Espèce de satané menteur ! T’as encore été au bowling, hein ? !