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Adultère (55 blagues)
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La belle-mère arrive à la maison et trouve son gendre furieux en train de faire ses bagages.
— Mais qu’est-ce qui arrive ?
— Qu’est-ce qui arrive ? Je vais vous le dire ! J’ai envoyé un mail à ma femme en disant que je rentrais de voyage aujourd’hui. J’arrive chez moi et devinez ce que je trouve ? Votre fille, oui votre fille, ma femme quoi, à poil avec un mec dans notre lit conjugal ! C’est fini, je la quitte !
— Du calme, dit la belle-mère ! Il y a quelque chose de bizarre dans cette histoire. Ma fille ne ferait jamais une chose pareille ! Attends, je vais vérifier ce qui s’est passé.
Quelques instants plus tard, la belle-mère est de retour avec un grand sourire :
— Je te l’avais dit qu’il devait y avoir une explication simple : elle n’a pas reçu ton mail !
La femme du directeur d’une entreprise rentre dans son bureau sans se faire annoncer :
— Peux-tu m’expliquer pourquoi ma secrétaire ne porte que ses chaussures et un collant ?
— Très facilement, ma chérie. C’est une ancienne strip-teaseuse qui s’est reconvertie au secrétariat, elle se réhabitue doucement à porter des vêtements.
Le croque-mort travaille tard le soir, préparant le corps de son client (et voisin) pour la crémation. Soudain, il fait une découverte surprenante.
Le défunt a le plus énorme organe reproducteur qu’il ait jamais vu !
Il réfléchit, puis se décide :
– Désolé voisin, mais je ne peux pas laisser disparaître un pénis aussi imposant dans les flammes. Il faut le garder pour la postérité…
Il découpe le membre et ses attributs avec précaution et met le tout dans un sac isotherme.
Rentré à la maison, il dit à sa femme :
– Je vais te montrer quelque chose et tu ne vas pas le croire !
Il ouvre le sac et en montre le contenu :
– Mon Dieu, dit sa femme, le voisin est mort…
L’enfant dans le berceau est tout noir.
Devant la mine interloquée de son mari, la maman s’explique :
— Mon amour, je comprends ta surprise, mais vois-tu, je sais pourquoi notre enfant est noir. Tu sais que quand j’étais petite, mon père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant. Ma mère avait choisi une nourrice noire, Lili. Les gènes de son lait sont passés directement dans mon sang et voilà pourquoi notre enfant est noir.
— Ah bon ? C’est pour ça ?
Le jeune papa va au téléphone annoncer la naissance de l’enfant à sa propre maman.
— Oh mon chéri comme je suis heureuse, est-ce qu’il te ressemble ?
— Je suis l’homme le plus heureux de la terre, mais bon, il est juste heu… hum, bon à vrai dire, il est noir… Mais j’ai l’explication. Voilà : Est-ce que tu savais que quand ta belle-fille était petite, son père travaillait en Côte-d’Ivoire comme coopérant, et sa mère avait choisi Lili, une nourrice noire. Les gènes de son lait sont passés dans son sang et voilà pourquoi notre enfant est noir.
— Ah oui, je comprends, répond la mère. C’est comme pour toi quand tu étais bébé, je t’ai nourri au lait de vache, les gènes ont dû passer dans ton sang et c’est pour ça que tu as des cornes !
Le petit Pierre revient de l’école et demande à son père :
— Papa, j’aurais besoin de tes lumières. Pourrais-tu me parler de la politique ? J’ai un devoir à rendre pour demain.
Après un instant de réflexion, son père lui répond :
— Bien, je pense que la meilleure méthode pour t’expliquer tout cela est de faire une analogie avec notre famille. Je suis le capitalisme car je nourris la famille. Ta mère est le gouvernement car elle contrôle chaque chose. La bonne est la classe ouvrière car elle travaille pour nous. Toi, tu es le peuple et ton petit frère, c’est la future génération. En espérant que cela puisse t’aider pour ton devoir.
— Merci Papa, dit le petit Pierre. Je ne comprends pas tout mais je vais y réfléchir.
Dans la nuit, le petit Pierre est réveillé par les cris de son frère.
Il constate que ses couches sont sales.
Il se rend dans la chambre de ses parents et essaie de réveiller sa mère sans succès.
Il remarque que la place de son père est vide.
Il retrouve son père au lit avec la bonne. En désespoir de cause, il retourne se coucher.
Le matin suivant, au petit déjeuner, il dit à son père :
— Papa, je crois que cette nuit, j’ai tout compris à la politique.
— Excellent mon garçon. Et qu’as-tu compris ?
— J’ai appris que le capitalisme baise la classe ouvrière tandis que le gouvernement roupille, ignorant le peuple et laissant la génération future dans la merde.
Un homme a perdu son chapeau, et a passé plusieurs jours à le chercher.
Comme il n’a pas les moyens d’en acheter un autre, il décide d’aller en voler un à l’église pendant la messe du dimanche.
Il se rend à l’église, et s’assoit à l’arrière près de l’endroit où les fidèles déposent leurs chapeaux, faisant semblant d’écouter le sermon qui porte sur les 10 commandements de Dieu.
Après la messe, l’homme a changé d’avis.
Au lieu de voler un chapeau, il va parler au prêtre :
— Mon père, je suis venu ici avec l’intention de voler un chapeau, car j’ai perdu le mien, mais après vous avoir entendu prêché, j’ai changé d’idée.
Le prêtre dit :
— Soyez béni, mon fils ! Est-ce que c’est quand j’ai parlé du huitième commandement, « tu ne voleras pas ton prochain », que vous avez changé d’avis ?
L’homme lui répond :
— Non mon père, c’est quand vous avez parlé du septième, « tu ne commettras pas l’adultère », que ça a sonné dans ma tête. Je me suis rappelé de l’endroit où j’ai laissé mon chapeau.
— Mais, enfin ! Soit un peu logique, dit une femme à son mari qui vient de la surprendre couchée dans le lit conjugal avec un amant. Tu pouvais quand même te douter que du jour où tu m’as équipé d’un lave-linge, d’un aspirateur, d’un four micro-ondes et une machine à laver la vaisselle, il a bien fallu que je trouve quelque chose pour utiliser tout le temps que cela me permettait d’économiser !
🔗Voir la blagueNous voilà dans un village dans lequel les habitants ont les mœurs un peu dissolues.
Le prêtre du village, un beau jour, se fatigue des confessions de ses paroissiens où tout tourne toujours autour de l’adultère.
Aussi, dès le dimanche suivant, pour son prêche, il leur dit :
— À partir de maintenant, je ne veux plus entendre parler d’adultère dans les confessions. C’est bien simple, si j’entends encore quelqu’un confesser qu’il a trompé son mari ou sa femme, je demande à changer de paroisse !
Comme tout le monde aime bien le curé du village, une réunion informelle a lieu dès la sortie de la messe, et il est décidé de continuer à confesser les adultères, mais d’utiliser un nom de code pour ce pêché : il est convenu que lorsque quelqu’un aura fauté sexuellement, il confessera être tombé par terre et avoir proféré des jurons à cette occasion.
Une semaine plus tard, le curé croise le maire du village dans la rue. Le prêtre lui dit :
— Bonjour Monsieur le Maire. Dites-moi, je suis bien content de vous voir. Vous devriez faire macadamiser les trottoirs du village : je ne compte plus les personnes qui se plaignent d’être tombé par terre !
Le maire ne peut pas s’empêcher de rigoler en entendant la remarque naïve de son curé, mais le curé le coupe tout de suite :
— Vous ne devriez pas rire de ça : rien que cette semaine, votre femme est quand même tombée trois fois !
Un gamin demande à son père :
— Papa, est ce que je peux sortir avec Julie notre voisine ?
Le père répond :
— Non mon fils, j’ai couché avec sa mère, ça pourrait être ta sœur !
Alors le gamin retente avec une autre de ses copines :
— Et Aurore, la fille du boulanger ?
Le père :
— Bah, elle aussi j’ai couché avec sa mère.
Le garçon :
— Alors, Sandra la fille de Pascal ?
Le père :
— Bah… non plus, c’est peut être ta sœur…
C’est là que la mère sort de la cuisine :
— Fais ce que tu veux mon ange, ce n’est pas ton père !
Un Belge en voyage en Chine achète des lunettes révolutionnaires…
Elles permettent de voir complètement nues les personnes habillées.
Il sort dans la rue et met ses lunettes. Il voit tout le monde à poil. Il est en extase !
Il enlève les lunettes : habillées. Il remet les lunettes : nues. C’est incroyable !
Dans l’avion du retour, il devient fou en voyant les hôtesses nues.
Avant d’entrer chez lui, il met ses lunettes pour voir sa femme toute nue.
Il ouvre la porte et voit sa femme et son meilleur ami assis sur le canapé, nus.
Il enlève les lunettes : ils sont toujours nus.
Il remet les lunettes : toujours nus
Il enlève les lunettes : encore nus.
Furieux, il hurle :
— Saloperie de camelote chinoise ! Trois jours que je les ai, et elles sont déjà foutues !