je suis venu, j'ai cliqué,
Homme et femme (452 blagues)
Voir aussi :
- Qu’est-ce qu’une blonde dit à son mari lorsqu’elle accouche ?
- Dis, tu es sûr qu’il est de moi ?
Raoul arrive chez lui complètement bourré. Il se faufile dans son lit près de sa femme et tombe ivre mort.
Il se réveille aux Portes du Paradis devant St-Pierre qui lui dit :
— Raoul, tu es mort dans ton sommeil.
Raoul, complètement abasourdi lui répond :
— J’suis mort ? J’veux pas être mort ! J’aime trop la vie ! J’veux retourner sur terre !
St-Pierre dit :
— D’accord, mais la seule manière que tu as d’y retourner, c’est sous la forme d’une poule.
Raoul répond :
— Bon, du moment que c’est dans une ferme près de ma maison, je suis d’accord.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Raoul se retrouve couvert de plumes et grattant le sol en picorant. Un coq s’approche de lui :
— Alors c’est toi la nouvelle poule ? Comment s’est passée ta première journée ?
— Pas mal, dit Raoul la poule, mais j’ai un truc bizarre dans mon ventre comme si j’allais exploser.
— Tu ovules, explique le coq, ne me dis pas que t’as jamais pondu d’œufs ? Relaxe, laisse-toi aller, tout cela est normal.
Raoul écoute les conseils du coq, et un moment plus tard : voilà l’œuf ! Ce qui remplit Raoul d’émotion, lui qui n’avait jamais connu la maternité. Aussitôt il pond un deuxième œuf, et éprouve une joie sensationnelle.
Il se prépare à pondre un troisième œuf, quand il ressent une grande claque derrière la tête, et entend sa femme hurler :
— Réveille toi Raoul, t’es en train de chier dans le lit !
Réflexions sur le mariage
Définitions
- Définition religieuse : Acte religieux qui consiste à créer un crucifié de plus et une vierge de moins
- Définition juridique : Sentence dont le « condamné à perpétuité » est libéré uniquement pour mauvaise conduite
- Définition de la vie courante : Aucune femme n’a ce qu’elle espérait et aucun homme n’espérait ce qu’il a.
- Définition mathématique : Somme d’emmerdes, soustraction de libertés, multiplication de responsabilités, division des biens
- Définition pondérale : Méthode la plus rapide pour grossir
- Définition militaire : C’est la seule guerre où l’on dort avec l’ennemi
- Définition philosophique : Sert à résoudre des problèmes que l’on n’aurait jamais eus en restant célibataire
Avant et après
Puis vient l’heure du bilan, le mariage avant et après.
Avant : 2 fois par nuit…
Après : 2 fois par mois
Avant : tu m’essouffles…
Après : tu m’étouffes
Avant : ne t’arrête pas…
Après : ne commence pas
Avant : Saturday night fever…
Après : Wednesday night football
Avant : être à tes côtés…
Après : reste de ton côté
Avant : je me demande ce que je faisais sans elle.
Après : mais qu’est ce que je fais avec elle
Avant : érotique…
Après : neurotique
Avant : on croirait qu’on est ensemble depuis toujours…
Après : on est toujours ensemble
Avant : hier soir on l’a fait sur le canapé !
Après : hier soir, j’ai dormi sur le canapé !!!
Robert discute avec son pote Roger au café :
— Je ne suis pas encore prêt pour me marier. Et puis ensuite, quand je serai prêt, il faudra que ma femme ait quelques qualités : Elle devra être une ménagère économe à la cuisine, une bonne maîtresse de maison quand nous recevrons des amis, et au lit, elle devra mettre le feu tous les soirs !
Quelques années plus tard, Robert s’est enfin marié ; les deux amis se retrouvent devant un verre :
— Alors Robert, finalement ça y est, tu t’es marié ?
— Et ouais, je me suis laissé attraper !
— Et alors, ta femme a toutes les qualités que tu voulais chez une femme ?
— Pas exactement. Disons que toutes les qualités y sont, mais pas dans l’ordre que j’espérais : Ma femme brûle tout ce qu’elle prépare à manger à la cuisine, elle est une bonne maîtresse de maison quand nous recevons des amis, mais le pire, c’est qu’au lit, c’est là qu’elle est la plus économe.
Robert retrouve son copain Bernard affalé sur le zinc de leur bar habituel, dans un état d’ébriété avancé et les yeux rougis par les larmes !
Il lui demande en lui donnant une tape amicale dans le dos :
— Qu’est-ce qui se passe mon pote ?
Bernard répond :
— C’est à cause d’une femme.
Robert lui dit :
— Une femme… ? Il ne faut pas se mettre dans des états pareils pour une femme. Et puis d’abord, quelle femme ?
Bernard répond :
— C’est TA femme.
Robert, surpris lui demande :
— Ma femme ? Qu’est-ce qu’elle t’a fait ?
Bernard lui dit avec un grand désespoir :
— Eh bien, je crois bien qu’elle nous fait cocus…
Un homme rentre chez lui et dit à sa femme qu’il prend une douche et part aussitôt pour un dîner d’affaires de dernière minute.
Sa femme a un doute et profite qu’il est sous la douche pour lui faire les poches. Elle y découvre un petit mot :
« Mon amour, je t’attends ce soir. Je te cuisinerai ton canard en sauce, celui dont tu raffoles tant… »
L’épouse ne se décourage pas et décide de sortir le grand jeu : sous-vêtements sexy, maquillage et parfum envoûtant accompagné d’une posture plutôt engageante.
Le mari, stupéfait, se jette immédiatement sur sa femme et lui fait l’amour avec une passion oubliée depuis longtemps et renouvelle même son exploit à deux reprises.
Tout à coup, il se souvient de son mensonge et comprend qu’il est obligé d’aller à son soi-disant repas d’affaires afin d’éviter de mettre la puce à l’oreille à son épouse.
Épuisé, il se rend chez sa maîtresse et lui annonce d’entrée qu’il est éreinté par une journée de travail et qu’il va juste manger et repartir tôt.
Le repas terminé, il s’endort et la jeune femme vexée et douteuse fouille dans ses poches et découvre son petit mot doux sur lequel l’épouse a ajouté ceci :
« Je vous envoie le canard, mais je crains qu’il n’ait plus de sauce… »
Un couple est en voiture, l’homme conduit et sa femme lui dit :
— Je te quitte, je prend les enfants.
L’homme accélère alors à 170 km/h et la femme rajoute :
— J’ai vidé ton compte en banque !
Le mari accélère encore jusqu’à 250 km/h et se rapproche dangereusement d’un camion. La femme lui dit :
— Tu ne réagis pas ? J’ai tout pris ! Qu’as-tu que je n’ai pas ?
L’homme regarde sa femme avec un sourire et lui répond :
— L’airbag, connasse !
Seul à la maison, ma femme est partie pour la semaine. Génial !
LUNDI
Je sens qu’on va vivre des instants inoubliables, le chien et moi. Je me suis concocté un emploi du temps réglé comme du papier à musique. Je sais exactement à quelle heure je vais me lever et le temps que je passerai dans la salle de bains ou dans la cuisine à préparer le déjeuner. J’ai également compté les heures qu’il me faudra pour liquider la vaisselle, le ménage les promenades du chien les courses et la cuisine. Et là, surprise : il me restera plein de temps libre ! Pourquoi les femmes se font-elles une montagne de toutes ces taches alors qu’elles peuvent être expédiées si rapidement ? Tout est une question d’organisation. Pour le souper le chien et moi avons un steak chacun. J’ai disposé une jolie nappe, une bougie et un bouquet de roses pour faire plus intime. Le chien a mangé de la mousse de canard en hors-d’œuvre et aussi en plat principal mais accompagnée d’une farandole de petits légumes. Et comme dessert des biscuits. Moi je me suis octroyé du vin et un cigare. Cela faisait des lustres que je ne m’étais pas senti aussi bien.
MARDI
Je dois revoir mon emploi du temps : apparemment quelques aménagements s’imposent. J’ai expliqué au chien que bien entendu ce n’est pas tous les jours fête ; il ne doit donc pas s’attendre à des hors-d’œuvre et a un service dans trois bols différents vu que le préposé à la vaisselle c’est moi !
En prenant mon déjeuner j’ai noté les inconvénients du jus d’orange pressé : ça vous oblige à nettoyer chaque fois le presse-agrumes. À moins d’en prévoir suffisamment pour deux jours et dans ce cas vous avez moitié moins de vaisselle.
Ma femme a insisté pour que je passe l’aspirateur tous les jours. Pas question ! Une fois tous les deux jours suffira amplement. Il n’y a qu’à enfiler des pantoufles et nettoyer les pattes du chien… À part ça je suis en pleine forme.
MERCREDI
J’ai le sentiment que le ménage prend plus de temps que prévu. Il va falloir affiner ma stratégie. D’abord acheter des repas tout préparés. Cela me fera gagner quelques minutes en cuisine. La préparation du souper ne devrait jamais être plus longue que sa consommation. En revanche, la chambre reste un problème. Il faut s’extraire des couvertures, aérer et enfin faire le lit. Trop compliqué ! D’ailleurs je ne vois pas l’intérêt de faire le lit tous les jours dans la mesure où on se recouche le soir même.
Pour le chien, fini les préparations culinaires élaborées. Au menu : pâtée en boite. Il boude mais tant pis. Si je peux me contenter de plats cuisinés, pourquoi pas lui ?
JEUDI
Plus de jus d’orange ! Comment un fruit d’aspect si anodin peut-il provoquer une telle pagaille ? Désormais, j’achèterai du jus en bouteille.
- Découverte N°1 : j’ai réussi à m’extirper du lit en défaisant à peine les couvertures. Comme ça il n’y a plus qu’à les retaper un peu. Bien sûr cela nécessite un certain entraînement et on a l’intérêt à ne pas trop gigoter pendant la nuit. J’ai un peu mal au dos mais une bonne douche chaude et il n’y paraîtra plus. J’ai cessé de me raser tous les jours. Je gagne ainsi de précieuses minutes.
- Découverte N°2 : changer d’assiette à chaque repas est une hérésie. Les vaisselles à répétition commencent à m’énerver. Le chien lui aussi peut manger dans le même bol. Ce n’est qu’un animal après tout !
Note : je suis parvenu à la conclusion que le passage de l’aspirateur ne s’imposait qu’une fois par semaine… maximum. Saucisses au déjeuner et au souper.
VENDREDI
Terminé le jus de fruits en bouteille ! Trop lourd à porter. J’ai observé un curieux phénomène : les saucisses sont excellentes le matin, un peu moins bonnes le midi et carrément infectes le soir. Si un homme en mange plus de deux jours de suite elles risquent même de lui occasionner de légères nausées. Le chien a eu des croquettes. C’est tout aussi nutritif et le bol reste propre. J’ai découvert qu’on pouvait boire la soupe directement à la casserole. Elle a exactement le même goût. Plus de bol, plus de louche ! Désormais j’ai moins l’impression d’être réincarné en lave-vaisselle. J’ai cessé de passer le balai dans la cuisine. Cela me tapait autant sur les nerfs que de faire le lit.
Note : laisser tomber les conserves. Ça salit l’ouvre-boite.
SAMEDI
À quoi bon se déshabiller le soir pour se rhabiller le lendemain matin ? Je préfère occuper ce temps à me reposer un peu. Pas la peine non plus d’utiliser les couvertures : comme ça le lit reste impeccable. Le chien a laissé des miettes partout. Il s’est fait gronder. Je ne suis pas sa bonne ! Étrange : c’est exactement la réflexion que ma femme me fait parfois. Aujourd’hui rasage. Mais je n’en ai vraiment pas envie. Je suis à bout de nerfs. Pour le déjeuner, proscrire ce qui doit être déballé, ouvert, coupé en tranches, étalé, cuit ou passé au mélangeur. Toutes ces corvées m’exaspèrent. Pour le dîner, manger à même l’emballage. Sans assiette ni couverts ni nappe ni rien de toutes ces choses superflues. Mes gencives sont un peu sensibles. Peut-être parce que je ne mange pas de fruits : ils sont trop lourds à transporter. C’est sans doute un début de scorbut. Ma femme a appelé dans l’après-midi pour savoir si j’avais fait les vitres et la lessive. Je suis parti d’un éclat de rire hystérique. Comme si j’avais le temps ! Malaise dans la baignoire : le siphon est bouché par des spaghettis. Ce n’est pas si grave puisque de toute façon je ne me douche plus.
Note : Le chien et moi mangeons ensemble directement au frigo. Il faut faire vite pour ne pas laisser la porte ouverte trop longtemps.
DIMANCHE
Le chien et moi sommes restés au lit à regarder la télévision. Nous avons salivé tous deux en voyant des gens faire des agapes. Nous sommes épuisés et grognons autant l’un que l’autre. Ce matin j’ai mangé quelque chose dans son bol. Aucun de nous deux n’a aimé. Je devrais vraiment me laver. Me raser. Me peigner. Lui préparer sa pâtée. Le sortir. Faire la vaisselle. Ranger. Penser aux courses. Et tout le reste… Mais je n’en ai vraiment pas la force. J’ai l’impression d’avoir des problèmes d’équilibre et de vision. Le chien ne remue même plus la queue. Seul l’instinct de conservation nous a permis de nous traîner jusqu’au restaurant où nous avons passé plus d’une heure à manger des tas de bonnes choses dans de multiples assiettes… avant d’aller à l’hôtel. La chambre est propre bien rangée et douillette. J’ai trouvé la solution idéale… Je me demande si ma femme y a jamais pensé.
ÉPILOGUE : mesdames, juste un conseil si vous devez vous absenter : réservez deux places au chenil…
🔗Voir la blague« Si j’aurai su, j’aurai pas tapé ma femme » est une double forme de violence conjugale.
🔗Voir la blagueC’est une femme qui, au bout de plusieurs années de mariage, en avait soudain plus qu’assez que son mari exige qu’ils fassent toujours l’amour dans le noir.
Espérant libérer son mari de ses inhibitions en agissant sans prévenir, elle profite d’une séance de ça-va-ça-vient torride pour allumer la lumière… et découvrir en son sexe non pas un pénis turgescent mais un vibro !
— Tu ne vas pas me dire que tu as utilisé ça pendant les cinq années qui viennent de s’écouler ?
— Chérie… Laisse-moi t’expliquer !
— Espèce de salaud. Tu n’es qu’un… qu’un… qu’un impuissant !
— Impuissant peut-être, mais en parlant de salaud, peut-être voudrais tu m’expliquer comment sont nés nos trois enfants ?