je suis venu, j'ai cliqué,
Enfant (166 blagues)
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Je conduisais avec mes trois jeunes enfants un soir d’été chaud lorsqu’une femme dans une décapotable devant nous se lève et nous salue de la main.
Elle était complètement nue !…
J’étais encore sous le choc quand mon petit garçon de 5 ans assis sur le siège arrière dit :
— Maman !… La dame ne porte pas sa ceinture de sécurité…
🔗Voir la blagueJe suis globalement contre l’eugénisme mais imaginez des enfants présélectionnés génétiquement pour faire la grasse matinée le week-end ?
🔗Voir la blagueJournaux intimes du chien et du chat
Extraits du journal intime du chien :
Jour n° 180
08h00 : Chouette de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
09h30 : Chouette une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
09h40 : Chouette une promenade ! Ce que je préfère !
10h30 : Chouette une sortie en voiture ! Ce que je préfère !
11h30 : Chouette de la pâtée pour chien ! Ce que je préfère !
12h00 : Chouette les enfants ! Ce que je préfère !
13h00 : Chouette la cour ! Ce que je préfère !
16h00 : Chouette les enfants ! Ce que je préfère !
17h00 : Chouette de la pâtée pour chien ! Ce que jepréfère !
17h30 : Chouette papa et maman ! Ce que je préfère !
Jour n°181
Voir jour n°180
Jour n°182
Voir jour n°181
Jour n°183
Voir jour n°182
Extraits du journal intime du chat :
Jour n° 152
Mes ravisseurs continuent à me provoquer avec de bizarres petits objets pendouillant au bout d’une ficelle.
Ils se gavent de viande fraîche au dîner pendant qu’ils me forcent à manger des céréales déshydratées.
La seule chose qui m’aide à tenir le coup est l’espoir d’une évasion et la maigre satisfaction que je retire de temps à autres de la destruction d’un meuble.
Demain je mangerai peut-être une autre plante d’appartement.
Jour n° 161
Aujourd’hui ma tentative d’assassiner mes ravisseurs en me glissant dans leurs pieds pendant qu’ils marchaient a presque réussi.
Il faudra que j’essaie encore depuis le haut des escaliers.
Dans l’espoir d’induire dégoût et répulsion chez ces vils oppresseurs je me suis encore forcé à vomir sur leur fauteuil préféré. Il faudra que je recommence sur leur lit.
Jour n° 165
J’ai décapité une souris et leur ai apporté le corps afin de leur faire comprendre ce dont je suis capable et pour frapper leurs cœurs de terreur.
Mais ils se sont juste extasiés et se sont répandus en paroles onctueuses et condescendantes me disant à quel point j’étais un bon petit chat. Hmmm…
Ça ne fonctionne pas conformément au plan.
Jour n° 168
J’ai enfin réalisé jusqu’à quel point allait leur sadisme. Sans aucune raison j’ai été choisi pour le supplice de l’eau. Cette fois de plus il comprenait une substance chimique mousseuse et piquante nommée « shampooing ».
Quel cerveau malade a bien pu inventer un tel liquide ?
Ma seule consolation est le morceau de pouce que je tiens encore entre mes dents.
Jour n° 171
Aujourd’hui s’est tenue une sorte de réunion de malfaiteurs. J’ai été placé à l’isolement pendant l’événement. Cependant j’ai pu entendre le bruit et humer l’odeur nauséabonde de ces tubes de verres qu’ils appellent « bière ».
Plus important j’ai réussi à obtenir l’information que la raison de ma réclusion était mon pouvoir « allergisant ».
Il va falloir que j’apprenne de quoi il s’agit pour que je puisse l’utiliser à mon avantage.
Jour n° 174
Je suis persuadé que les autres prisonniers sont des comédiens ou peut-être même des mouchards. Le chien est relâché tous les jours et semble plus qu’heureux de revenir. C’est visiblement un attardé mental.
D’un autre côté, l’oiseau doit être un informateur puisqu’il leur parle constamment. Je suis certain qu’il leur rapporte mes moindres mouvements. Tant qu’il restera dans cette pièce de métal sa sécurité est assurée.
Mais je peux attendre. Ce n’est qu’une question de temps…
La langue allemande est relativement facile.
La personne qui sait le latin et est habituée à faire des déclinaisons l’apprend sans grandes difficultés. C’est ce que les professeurs d’allemand disent lors de la première leçon.
Ensuite on commence à étudier le der des den dem die et ils disent que tout est une suite logique.
C’est donc facile : pour s’en rendre compte on va regarder un cas d’un peu plus près : En premier vous achetez Le livre d’allemand. C’est un livre magnifique fourré d’une toile publié à Dortmund et qui raconte les us et coutumes des Hotentots (auf Deutsch : Hottentotten).
Le livre raconte que les kangourous (Beutelratten) sont capturés et placés en cages (Kotter) couvertes d’un tissu (Lattengitter) pour les abriter des intempéries. Ces cages s’appellent en allemand « cages couvertes de tissu » (Lattengitterkotter) et lorsqu’elles contiennent un kangourou ça s’appelle (Lattengitterkotterbeutelratten).
Un jour les Hotentots arrêtèrent un assassin (Attentater) accusé d’avoir tué une mère (Mutter) hotentote (Hottentottenmutter) mère d’un fils bête et bégayeur (Stottertrottel).
Cette mère se dit en allemand Hottentottenstottertrottelmutter et son assassin s’appelle Hottentottenstottertrottelmutterattentater. La police capture l’assassin et le met provisoirement dans une cage à kangourou (Beutelrattenlattengitterkotter) mais le prisonnier s’échappe.
Tout de suite commencent les recherches et soudain vient un guerrier Hotentot en criant :
— J’ai capturé l’assassin (Attentater).
— Oui ? Lequel ? demande le chef.
— Le Lattengitterkotterbeutelratterattentater répond le guerrier.
— Comment, l’assassin qui est dans la cage à kangourous couverte d’une toile ? demande le chef des hotentotes.
— C’est, répond l’indigène, le Hottentottenstottertrottelmutterattentater. (L’assassin de la mère hotentote de l’enfant bête et bégayeur).
— Mais bien sûr ! répond le chef hotentote. T’aurais pu dire tout de suite que tu avais capturé le Hottentottenstottertrottelmutterlattengitterkotterbeutelrattenattentater.
Comme vous pouvez le constater, l’allemand est une langue facile. Il suffit de s’y intéresser…
🔗Voir la blagueLa maîtresse demande un jour aux enfants :
— Avec quoi fait-on de la compote ?
Les mains se lèvent :
— Avec des pommes, avec des poires, avec des pêches, etc…
Et un petit garçon qui dit : « avec des moules » !
La maîtresse lui demande :
— Es-tu sûr de toi ? Les moules, ce sont des fruits de mer, mais je ne crois pas qu’on fasse de la compote avec. Sais-tu comment on fait ça ?
Le petit garçon :
— Ben je ne connais pas la recette mais ma mère quand elle se lève le matin, elle dit toujours : « J’ai la moule en compote »
L’enfant croit au Père Noël.
L’adulte non.
L’adulte ne croit pas au Père Noël.
Il vote.
Le père entre dans la chambre de l’accouchée. Sa femme lui dit :
— Tu as vu le bébé ?
— Oui dit-il, gêné, mais écoute on va pas demander le divorce pour ça…
Le petit Jojo rentre dans une pharmacie et annonce à haute-voix :
— Bonjour, j’aimerai trois douzaines de capotes dans différentes tailles…
Tout le monde reste perplexe… Le pharmacien :
— Primo : on ne parle pas aussi fort ! Secundo : ce que tu demandes ce n’est pas pour les enfants ! Tertio : dis à ton papa de faire ce genre de courses lui-même !
Jojo ne se laisse pas démonter :
— Primo : à l’école on m’a appris de parler fort et de bien articuler ! Secundo : ce que je veux ce n’est pas POUR les enfants mais POUR LES ÉVITER ! Tertio : Papa n’a pas à le savoir : c’est maman qui part aux Baléares pour 15 jours !
Les enfants chinois déposent les jouets qu’ils ont fabriqués au pied du sapin pour que le Père Noël puisse les emporter.
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