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Anglais (44 blagues)
Voir aussi :
- Pourquoi y-a-t-il beaucoup de femmes célibataires au Royaume-Uni ?
- Parce qu’elles préfèrent garder du bacon dans le frigo qu’un gros porc dans le salon.
Quand une bombe de cent mégatonnes tombe dans sa tasse de thé, l’Anglais reste plongé dans son journal et dit :
— Hum, ça se couvre.
Quand il se met à bander, l’anglais regarde sa femme et dit :
— Hum, ça se lève.
Ronald MacDonald, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s’expatrier à Londres pour poursuivre ses études
secondaires.
Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
— Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Ronald ?
— Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la
chambre à ma droite n’arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l’autre côté, tout ce qu’il sait faire c’est hurler et hurler encore !
— Oh mon pauvre Ronald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
— Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste, là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse.
Trois individus de nationalité américaine, britannique et ivoirienne meurent dans un accident et se retrouvent en Enfer.
Après quelques temps, l’Américain désireux de savoir si, enfin, le terrorisme a été totalement résolu, sollicite la possibilité de passer un coup de fil vers l’Amérique.
Le diable accepte et lui facture, aussitôt le coup de fil terminé, les trois minutes à trois millions de dollars. L’américain sort son carnet de chèque et s’acquitte de sa dette sans sourciller…
Le britannique, à son tour sollicite la même faveur, afin de s’enquérir de la santé de la Reine Elisabeth…
Le diable accepte et lui facture, aussitôt la conversation achevée, les trois minutes à 4 millions de dollars que notre ami s’empresse de payer…
Ce fut, enfin, au tour de l’ivoirien.
Ce dernier hésitant du fait de la faiblesse de ses moyens, se décide quand même à demander l’autorisation d’appeler en Afrique pour avoir des nouvelles du continent. Satan accepte et là commence une longue conversation téléphonique au cours de laquelle l’ivoirien apprend qu’une guerre civile fait rage en Côte-d’Ivoire, que le sida continue de progresser sur l’ensemble du continent, que les Togolais s’affrontent, que le Jolo a coulé au Sénégal, que la famine et les criquets sévissent au Burkina et au Mali, etc…etc…etc… La conversation s’achève enfin au bout de trois heures ! L’Ivoirien osant à peine regarder le diable, lui demande en bégayant, le prix de la communication.
Le diable tout serein répond :
— Oh, pour les trois heures ça fait trois dollars !
Surpris, l’Ivoirien demande :
— Mais co… co…comment ça se fait ???
— Et bien, de l’Enfer à l’Enfer, c’est un appel local !!!
Trouvé sur une copie d’un élève de sixième : « Q : Comment dit-on Du Calme, en anglais ? R : Bicouillète. »
🔗Voir la blagueUn Américain, un Anglais et un Irakien sont dans un bar, un soir, en train de siroter une bière.
Le Yankee boit sa bière et tout à coup lance son verre, dégaine son colt et explose le verre en l’air. Il dit :
— Aux States, nos verres sont si bon marché qu’on n’est pas obligés de boire deux fois dans le même.
Le British, un peu impressionné, boit sa bière, lance son verre en l’air, dégaine son colt et explose le verre. Il dit :
— En Angleterre on a tellement de sable pour faire nos verres qu’on n’a pas à boire deux fois avec le même.
L’Irakien, paisible, boit sa bière, lance son verre en l’air, dégaine son colt et bute l’Américain et l’Anglais.
— En Irak, on a tellement d’Américains et d’Anglais qu’on n’est pas obligés de boire deux fois avec les mêmes !
Un Anglais et deux Écossais sont sur une plage en Écosse. L’Anglais, pour passer le temps (et se moquer) propose un pari aux deux Écossais :
— J’offre 1£ à celui de vous deux qui restera le plus longtemps sous l’eau.
Ça se passait l’année dernière et on recherche toujours les corps des deux cadavres.
🔗Voir la blagueUn Anglais et un Russe sont dans un bar. L’Anglais dit au Russe :
— Je suis capable de tirer dans cinq pièces de monnaie à la fois.
Il sortent du bar, l’Anglais s’exécute et réussit.
Il dit alors :
— Mon nom à moi c’est Bill. Buffalo Bill.
Le Russe impressionné lui dit alors :
— Oui toi très bon mais moi meilleur moi être capable de faire l’amour à cinq femmes en même temps.
L’Anglais ne le croit pas et demande une preuve.
Le Russe baisse donc son pantalon et révèle cinq pénis tous alignés.
Le Russe dit alors :
— Mon nom à moi c’est Bill. Tcherno Bill.
C’est un couple anglais qui désire un enfant. La femme demande à son mari :
— Chéri, tu sais comment on fait les bébés ?
Son mari lui répond :
— Non, allons voir le docteur.
Ils vont chez le docteur…
La femme demande :
— Docteur, comment fait-on les bébés ?
— Ah, c’est très simple, il suffit de relier la partie la plus sensible de l’homme à la partie la plus sensible de la femme !
— Merci, au revoir !
Ils rentrent chez eux et la femme dis à son mari :
— Hey, chéri c’est quoi ta partie la plus sensible à toi ?
— C’est l’oreille, et toi ?
— Moi c’est les fesses.
Alors ils relient les fesses de la femme à l’oreille de l’homme…
La femme pète, et l’homme heureux hurle :
— Chérie ça y est j’entends le bébé… Il arrive en MOBYLETTE !
Un couple stérile a tout essayé pour avoir un enfant. En désespoir de cause, ils se décident à consulter un grand spécialiste américain. Ils se rendent donc de l’autre coté de l’Atlantique.
Problème : le couple ne parle pas anglais et le spécialiste de la Stérilité ne parle pas français. Néanmoins il leur fait comprendre par des gestes qui ne portent pas à confusion qu’ils doivent se mettre au travail devant lui.
Un peu gênés au départ, les deux protagonistes se livrent donc à un ébat sexuel devant le spécialiste mondial des problèmes de fécondité.
Il commence alors à inspecter le couple sous toutes les coutures pendant 4 à 5 minutes puis crie STOP ! Il s’engouffre alors dans son bureau et rédige une ordonnance qu’il remet au couple.
Les deux amoureux sont soulagés certains que le grand professeur a trouvé un remède à leur incapacité de procréer.
De retour en France, l’homme se dirige à la pharmacie et demande :
— Je voudrais du Trytheotherole.
— Pardon ? lui répond la pharmacienne.
— Ben oui du Trytheotherol comme c’est marqué sur l’ordonnance !
— Faites voir… demande la pharmacienne. Ah ! Je vois, vous avez mal lu.
C’est écrit : Try the other hole.
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