je suis venu, j'ai cliqué,
Alcool (94 blagues)
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Dans un bar, un mec un peu bourré est sur son tabouret en train de boire sa n-ième bière. Une fille vient s’asseoir à côté de lui et lui parle à l’oreille :
— Dis donc chéri, ça te dirait d’aller prendre un peu de bon temps, toi et moi ?
Le gars fait mine de ne pas s’occuper d’elle, alors la fille laisse son tabouret et fait mine de s’en aller. Alors qu’elle a le dos tourné, le gars lance bruyamment :
— Ma poule, c’est sûr que tu saurais y faire, mais j’ai même pas 5 euros à te donner pour ça !
Alors la fille se retourne et lance encore plus bruyamment :
— Et qu’est-ce qui te fait croire que je facture au centimètre ?
🔗Voir la blagueDans une petite brasserie locale, une très jolie femme décolletée s’approche du bar.
Elle fait signe au barman qui s’approche.
Lorsqu’il arrive, elle lui fait signe de façon assez séduisante de s’approcher encore. Il se penche au-dessus du bar et elle commence à caresser doucement son abondante barbe.
—« Êtes-vous le gérant ? » dit-elle en caressant sensuellement son visage.
—« Euh… en fait, non » répond le barman..
—« Pouvez-vous aller le chercher ? demande la femme en faisant glisser sa main dans les cheveux du barman.
—« En fait… malheureusement non », souffle le barman, prenant visiblement plaisir à la situation.
—« Pouvez-vous faire quelque chose pour moi ? » demande la femme, passant maintenant ses doigts sur les lèvres du barman.
—« Bien sûr ! » répond l’homme.
—« Je voudrais lui laisser un message », dit-elle en glissant un doigt, puis l’autre dans la bouche du barman qui les suce légèrement.
—« Qu’est-ce que c’est ? »demande le barman.
—« Dites-lui qu’il n’y a plus de papier de toilette ni de savon à mains dans les toilettes des femmes. »
De l’Argon entre dans un bar.
Le barman dit : « on ne sert pas les gaz nobles ici ».
L’Argon ne réagit pas.
Deux copains fêtent leurs retrouvailles dans un bar. Déjà bien atteints par l’alcool, ils décident d’aller prendre le dernier verre chez celui qui habite le plus près. Il est plus d’une heure du matin, alors ils essaient de ne pas faire de bruit en rentrant pour ne pas réveiller la femme de l’hôte.
L’hôte justement va à la cuisine chercher à boire, pendant que son invité cherche les toilettes pour vider une vessie plus que pleine… Mais il se trompe et ouvre la porte de la chambre dans laquelle il a le temps de remarquer que la femme de son ami n’est pas seule dans le lit…
Sur la pointe des pieds, il rejoint la cuisine et dit à son ami :
— Dis-donc, il y a un type dans ton lit avec ta femme !
Et son ami lui répond :
— CHUUUTTT, ne le réveille pas, il ne reste plus que deux bières dans le frigo.
Deux ivrognes déambulent dans les rues de Paris. Soudain, l’un d’eux aperçoit un agent de police.
— Pardon, Monsieur… hips… l’agent. Le 72 est déjà passé ?
— À cette heure-ci, il n’y a plus de bus, voyons ! répond sèchement le policier. Allez, circulez !
— Et le 86, il est passé ?
— Je vous dis qu’il n’y a plus de bus !
— Il est passé, alors ?
— oui ! Le 86 est passé ! Et le 72 aussi !
— Et le 27 ?
— Le 27 aussi ! Et le 12, et le 32 ! Je vous dis de circuler ! Il n’y a plus de bus !!!
Alors l’ivrogne se tourne vers son copain :
— Viens mon pote. On peut traverser.
En Afrique du Sud, trois blancs sont accoudés à un bar et sirotent leur whisky. Soudain, la porte s’ouvre avec fracas et un énorme black haut de deux mètres et bâti comme un bulldozer entre dans le bar.
Il s’approche du premier blanc, lui boit son verre, et lui dit :
— Moi, les femmes blanches, je les baise !
— Pas de problème, répond le premier blanc en bégayant.
Puis le noir n’approche du deuxième blanc, lui boit son verre et lui dit :
— Moi, les femmes blanches, je les baise !
— Tant mieux pour vous, répond le deuxième blanc en bégayant.
Enfin, le noir s’approche du troisième blanc, lui boit son verre et lui dit :
— Moi, les femmes blanches, je les baise !
— Tu as bien raison, répond le troisième, complètement ivre. Moi aussi je trouve les femmes noires répugnantes.
Fin de soirée, deux types discutent dans un bar :
— Tu es né où toi ?
— À Lille.
— À Lille ? Moi aussi ! Et dans quelle maternité ?
— À Jeanne de Flandre…
— À Jeanne de Flandre ? Moi aussi ! Et quel jour ?
— Le 16 octobre 1973…
— Le 16 octobre 1973 ! Oh ! C’est dingue ! Moi aussi !
Un troisième type entre dans le bar et s’adresse au barman :
— Bonsoir Jeannot, quoi de neuf ce soir ?
— Rien de spécial… Les jumeaux sont encore bourrés, comme d’habitude !
Ici, on ne boit pas d’alcool mais des spiritueux.
Donc on n’est pas alcoolique, on est spirituels.