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Paradis (47 blagues)
Voir aussi :
C’est Saint-Pierre qui accueille Mère Theresa au Paradis.
Il lui tend les bras et il dit :
— Je suis vraiment content de te voir Theresa. Tu as été exceptionnelle dans ta vie d’en bas. Pour te récompenser je te donne cette superbe auréole !
Alors Mère Theresa se balade dans le Paradis et étrenne son auréole. Et puis soudain elle rencontre Lady Di et constate que Lady Di a une auréole bien plus grande…
Un peu déçue, Mère Theresa s’en retourne voir Saint-Pierre et lui demande :
— Dis-moi Pierre, j’ai passé toute ma vie en bas à faire le bien dans la misère et qu’est-ce que je ne vois pas en arrivant ici en haut ? Une princesse qui n’a vécu que dans le luxe et qui n’a pas fait la moitié pour les autres de ce que j’ai pu faire et qui porte une auréole bien plus grande !
Alors Saint Pierre lui répond :
— Mais Theresa, ce n’est pas son auréole, c’est le volant de la Mercedes !
🔗Voir la blagueC’est un gars qui a survécu à un naufrage.
Il se retrouve sur une île déserte en compagnie d’un mouton et d’un chien de berger.
Sur l’île, la nourriture est abondante, le climat est parfait, l’eau est pure et disponible, bref, ce serait le Paradis… Sauf que, au bout de quelques mois, notre naufragé commence à se sentir bien seul ! Aussi, des idées zoophiles (envers la brebis) lui viennent de plus en plus souvent à l’esprit.
Et un beau jour, il saute le pas, et tente de jouer à saute-mouton ! Mais le chien ne l’entend pas de cette oreille, et à chaque tentative de l’homme, il lui mord les mollets…
Ce qui ne fait pas les affaires de notre gars.
Un beau jour, alors qu’il scrutait l’horizon machinalement, il voit quelque chose flotter. Il nage jusque là et trouve une belle jeune femme étendue inconsciente sur un radeau de fortune.
Il ramène la belle rescapée sur son île, et il lui refait une santé.
Lorsqu’elle revient à elle, elle lui dit :
— Oh merci, vous m’avez sauvé la vie. Je vous dois tout. Dites-moi ce que je peux faire pour vous ?
Le gars réfléchit 30 secondes et dit :
—Vous pourriez aller faire une petite promenade avec le chien ?
Einstein arrive au Paradis, et devant la porte d’accès se trouve Dieu qui lui demande :
— Nom, prénom, profession.
Einstein répond :
— Einstein, Albert, Physicien.
Dieu lui dit :
— Il y a beaucoup de personnes qui se sont fait passer pour Albert Einstein, donc il me faut une preuve de votre véritable identité.
— Donnez-moi un tableau et une craie !
Dieu claque des doigts et Einstein se retrouve devant le tableau, sur lequel il fait la démonstration complète de la théorie de la Relativité. Dieu est épaté, et lui donne le droit d’accès.
Quelque temps plus tard, Picasso se pointe devant la porte du Paradis.
Dieu s’adresse à lui :
— Nom, prénom, profession ?
— Picasso, Pablo, artiste.
— Il y a beaucoup de personnes qui se sont fait passer pour Picasso, donc comme Einstein l’a fait, donnez une preuve de votre véritable identité.
Picasso demande une toile et des pinceaux, Dieu claque des doigts, et Picasso refait une de ses plus belles toiles de la période bleue. Dieu le félicite et lui donne le droit de passage.
Bien plus tard, George W. Bush se pointe au Paradis et est arrêté par Dieu qui lui demande :
— Nom, prénom, profession ?
— Bush, Georges, ex-président des États-Unis.
— Ok, fait Dieu, mais beaucoup de personnes se sont fait passer pour Georges W. Bush, donc comme l’ont fait Einstein et Picasso, il me faut une preuve de votre identité.
Bush le regarde et lui demande :
— C’est qui, Einstein et Picasso ?
Et Dieu lui répond :
— C’est bon Georges, tu peux entrer…
Hitler est au paradis. Tout le monde se demande pourquoi il est au paradis, saint Pierre, Jésus, même Dieu, mais c’est ainsi, il est au paradis. Il a gardé la même coiffure avec la mèche, la même moustache, le même uniforme, avec la culotte de cheval, les bottes, la casquette, les gants, la badine. Il casse les couilles à tout le monde.
Il n’arrête pas de donner des ordres, de dire que tout va mal, que la propreté des lieux laisse à désirer. Il oblige les anges à des inspections, il exige d’eux qu’ils défilent au pas, que pas une plume de leurs ailes ne dépasse. Le paradis est devenu un enfer. Tout le monde en a plein le cul. Enfin un jour, bonne nouvelle, saint Pierre, joyeux comme tout, déboule
chez Dieu :
— Hitler a posé une demande de permission pour retourner sur la terre.
— Oh ! là ! là ! Amène-le moi immédiatement.
Hitler arrive dans le bureau de Dieu. Il claque des bottes.
— Écoutez, mon vieux, arrêtez de claquer des bottes, vous me gonflez avec ça.
— Ché né peu pas m’en empêcher, z’est la Natur.
— Bon, bon, d’accord. Vous avez posé une permission, paraît-il…
— Oui, ché foudré dezendr zur terre pour foir zi…
— Vous me promettez de ne pas faire de conneries ?
— Ché fous le promez, ché ne feré pas de Konneries.
Et de claquer des talons de plus belle.
— Ne claquez plus des talons, soyez gentil, monsieur Hitler. Et votre badine, là, vous voyez bien que vous me dérangez avec, vous êtes en train d’éteindre ma bougie.
— Jé m’excuz, mezzieur Tieu.
— Bon, je vous autorise à aller sur terre, mais vous rasez votre moustache, vous vous coupez les cheveux en brosse, vous les teignez en blond, vous supprimez votre mèche, vous enlevez votre costume, votre casquette, vos bottes, tout le saint frusquin, et vous remplacez tout ça par un grand tee-shirt Mickey, un short large façon sport et des basquettes.
— Yawohl, aber warum…
— Nicht warum, c’est comme ça, plus d’uniforme, de putains de bottes, de mèche.
Hitler claque une nouvelle fois des bottes.
— Qu’est-ce que je vous ai dit ? Ne claquez plus des bottes, nom de nom.
— Toutes mes excuzes, mezzieur Tieu. Ché fous promets que temain ché serai un autre homme.
Et le lendemain, incroyable, Hitler revient complètement transformé. Il a coupé sa moustache, il est teint en blond
et coiffé en brosse, il porte un tee-shirt Mickey, un short large, des basquettes.
Il claque néanmoins des basquettes (La Natur, que voulez-vous !)
— Ne claquez pas des basquettes, c’est absurde.
— Excusez-moi, c’est…
— Oui, oui, la Nature, je sais, je sais… Bon, vous allez sur terre le temps que vous voulez et vous ne faites
pas le con, vous restez peinard.
— Ché fous remerzie.
Et Hitler descend sur terre. Aussitôt, c’est la fête au para- dis. Caviar, saumon, champagne pour tout le monde.
Dieu, Jésus, saint Pierre, les apôtres, les anges, tous respirent. « Enfin barré ce con, ah ! là ! là ! quel bonheur, ah ! qu’est-ce qu’on se sent mieux ! »
Manque de bol, deux heures plus tard, toc, toc, on frappe à la porte du paradis. Saint Pierre qui a été ouvrir n’en croit pas ses yeux. C’est pas possible. Hitler est déjà de retour. « Ah non, pas ça, c’est pas vrai. » Il finit quand même par lui ouvrir. Consternation générale et c’est un Hitler toujours avec son tee-shirt Mickey, les cheveux courts, le short large, les basquettes qui réapparaît sanglotant.
À le voir ainsi, les habitants du paradis auraient presque pitié de lui :
— Asseyez-vous, monsieur Hitler, lui dit Dieu. Qu’est-ce qui se passe ? Vous m’avez demandé une permission pour redescendre sur terre…
— Katastrof, Katastrof, gross Malheur, kolossal Katastrof.
— Mais que se passe-t-il ? Je vous avais dit que vous pouviez passer tout le temps que vous vouliez sur terre. Ça fait pas deux heures que vous êtes parti que vous êtes déjà revenu !
— Ché ne feu plus chamais rétourner sur terre. Ché feu rester au paradis avec fous tous, fous êtes ma fraie
famille.
— Quelle horreur, mais qu’y a t-il ?
— Ché ne peux pas fous expliker, fous ne pou-vez pas comprendre, gross Malheur, atroce, horrible.
— Mais quoi, quoi ?
Et dans un sanglot, Hitler s’écrie :
— Maintenant sur terre ce sont les Allemands qui font des affaires et les juifs qui font la guerre.
Il était une fois un Saint très contrarié car personne ne le priait.
Les gens priaient Saint Pierre, Saint Christophe, Saint-François et bien d’autres, mais lui, rien !!!
Alors il demanda une réunion avec Dieu et ce dernier lui recommanda la chose suivante :
— Fais-toi faire des cartes de visite et répands-les dans le monde entier. Tu diras que tu fais des miracles à la demande, mais par contre, ne la donne ni aux cons, ni aux femmes faciles ! Rappelle toi bien : ni aux cons, ni aux femmes faciles !
C’est ainsi qu’il suivit les conseils de Dieu, et à présent c’est le Saint le plus miraculeux et le plus adoré dans le monde.
Dis-moi, comment s’appelle-t-il ce Saint ?
Allez réfléchis bien !
Tu ne sais pas qui c’est ?
Alors, on n’a pas eu sa petite carte, hein ? !
Il y a 3 bonnes raisons de penser que Jésus était noir :
- Il appelait tout le monde « mon frère »
- Il aimait chanter la gloire de Dieu
- Il n’a pas eu un procès équitable
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était juif :
- Il a repris l’affaire de son père
- Il est resté à la maison jusqu’à l’âge de 33 ans
- Il était sûr que sa mère était vierge, et sa mère était sûre qu’il était Dieu
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était italien :
- Il parlait avec les mains
- Il buvait du vin à tous les repas
- Il mangeait exclusivement de la cuisine à l’huile d’olive
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était californien :
- Il avait les cheveux longs et il était toujours bronzé
- Il aimait marcher pieds nus
- Il a lancé une nouvelle religion
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était tzigane :
- Il n’a jamais travaillé un seul jour
- Il n’a jamais écrit une seule ligne
- La police l’a arrêté dans un jardin public où il campait sans autorisation
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était homo :
- Il était très joli garçon
- Il n’a jamais eu de petite amie
- Après sa mort, il a invité sa mère à habiter chez lui
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était un prof :
- Il parlait sans arrêt
- Il ne se demandait pas si les personnes qui l’écoutaient comprenaient ce qu’il disait
- Il prenait 40 jours de vacances par an pour faire de la randonnée dans le désert
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était un beur de banlieue :
- Ses parents ne parlaient pas français à la maison
- Il n’a jamais acheté un ticket de métro
- Il traînait tout le temps dehors avec sa bande au lieu de travailler manuellement comme son père
Il y a aussi 3 bonnes raisons de penser que Jésus était un publicitaire :
- Son livre est n°1 au hit-parade depuis sa parution
- Ses successeurs ont créé un paradis fiscal
- Après 2000 ans de réflexion, personne n’est encore sûr d’avoir compris ce qu’il a dit
Jésus dans un état d’énervement avancé convoque ses apôtres pour une réunion d’urgence.
Sujet de la réunion : la trop forte consommation de drogues sur Terre.
Apres avoir mûrement réfléchi ils arrivent à la conclusion que pour régler le problème ils doivent d’abord goûter les drogues eux-mêmes.
Il est donc décidé qu’une commission aille sur Terre afin de collecter les différentes drogues.
Deux jours se passent et les apôtres mandatés commencent à revenir au Paradis.
Jésus attend a la porte.
Il demande au premier :
— Qui est là ?
— C’est Paul !
Jésus ouvre la porte.
— Qu’as-tu ramené Paul ?
— Haschisch du Maroc.
— Très bien mon fils entre.
— Qui est là ?
— C’est Marc !
Jésus ouvre la porte
— Qu’as-tu ramené Marc ?
— Marijuana de Colombie.
— Très bien mon fils entre.
— Qui est là ?
— C’est Mathieu !
Jésus ouvre la porte.
— Qu’as-tu ramené Mathieu ?
— Cocaïne de Bolivie.
— Très bien mon fils entre.
— Qui est là ?
— C’est Jean !
Jésus ouvre la porte.
— Qu’as-tu ramené Jean ?
— Crack de New York.
— Très bien mon fils entre.
— Qui est là ?
— C’est Luc !
Jésus ouvre la porte.
— Qu’as-tu ramené Luc ?
— Speed d’Amsterdam.
— Très bien mon fils entre.
— Qui est là ?
— C’est Judas !
Jésus ouvre la porte.
— Qu’as-tu ramené Judas ?
— La police ! Tous contre le mur les mains sur la tête…
Le Paradis : c’est l’endroit où la police est britannique, les cuisiniers sont Français, les mécaniciens sont Allemands, les amants sont Italiens et où tout est organisé par les Suisses.
L’Enfer : c’est l’endroit où la police est allemande, les cuisiniers sont Britanniques, les mécaniciens sont Français, les amants sont Suisses et où tout est organisé par les Italiens.
🔗Voir la blagueLe paradis d’Emmanuel Macron
Emmanuel Macron meurt accidentellement…
Il est accueilli au Paradis par Saint-Pierre qui lui dit :
— Bienvenue. Cependant, nous devons régler un petit problème. Nous voyons si rarement des chefs de parti, ici, que nous ne sommes pas certains de ce que nous devons faire de toi. Le Grand Patron veut que tu passes un jour en Enfer et un jour au Paradis. Tu devras ensuite choisir l’endroit où tu voudras passer l’éternité.
— Mais j’ai déjà décidé, je veux rester au Paradis.
— Je regrette, mais nous avons nos règlements.
Saint-Pierre conduit Emmanuel Macron vers un ascenseur qui le conduit en Enfer.
Quand la porte s’ouvre, il se retrouve sur un magnifique terrain de golf tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait 25 degrés. Au loin se profile un superbe club house.
À l’avant de l’édifice se trouvent son papa ainsi que ses amis de gauche ; une grande partie de la droite est là aussi ; tous ces beaux personnages s’amusent, heureux et habillés de façon élégante et décontractée (Dior, Versace, Armani, etc.). Ils accourent à sa rencontre, l’embrassent et se mettent à brasser leurs souvenirs d’antan et leurs débats homériques (ha ! ha !).
Ils jouent une partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar.
Le Diable offre même une consommation glacée.
— Bois donc cette Margarita et relaxe un peu, Manu !
— Euh, ben, je ne peux plus boire, j’ai fait un serment…
— Voyons, mon garçon, c’est l’Enfer ici. Tu peux boire et manger tout ce que tu veux sans t’inquiéter. À partir de maintenant, ça ne peut qu’aller de mieux en mieux !
Emmanuel Macron boit son cocktail et commence à trouver le Diable sympathique. Il est gentil, raconte de bonnes blagues, aime aussi jouer de bons tours, etc. Ils s’amusent tellement qu’il ne voie pas le temps passer. Arrive pourtant l’heure de partir. Tous ses amis le serrent dans leurs bras et Emmanuel Macron prend l’ascenseur qui monte vers le Ciel.
Saint-Pierre l’attend à la sortie.
— C’est maintenant le temps de visiter le Ciel, lui dit le vieil homme, en ouvrant la porte du Paradis.
Pendant vingt-quatre heures, Emmanuel Macron doit frayer avec Jean Moulin, Jean Jaurès, De Gaulle et toute une confrérie de gens bienveillants qui conversent de sujets beaucoup plus intéressants que l’argent et qui se traitent l’un l’autre avec courtoisie. Pas un seul mauvais coup ou une seule blague cochonne ; pas de blagues, pas de club house mirobolant, mais un resto ordinaire.
Étant donné que ces gens sont tous pauvres, il ne rencontre aucune connaissance, et il n’est pas reconnu comme quelqu’un d’important ou de spécial ! Pire ! Jésus est une espèce de hippie, un hurluberlu qui ne parle que de « paix éternelle » et ne cesse de répéter ses insipides rengaines : « Chasser les marchands du Temple », « il sera plus difficile à un riche d’entrer dans mon royaume qu’à un chameau de passer par le chas d’une aiguille », etc.
La journée terminée, Saint-Pierre revient…
— Alors, Emmanuel, tu dois maintenant choisir.
Emmanuel Macron réfléchit pendant une minute et répond :
— Bien, je n’aurais jamais pensé faire ce choix… Hum ! Bon, je trouve le Paradis « intéressant », néanmoins je crois que je serais plus à l’aise en Enfer avec mes amis.
Saint-Pierre l’escorte alors jusqu’à l’ascenseur et Emmanuel Macron redescend jusqu’en Enfer.
Quand les portes s’ouvrent, il se retrouve au beau milieu d’une grande plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques industriels.
Il est horrifié d’apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous ensemble, qui ramassent des déchets pour les mettre dans de grands sacs noirs. Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et leurs visages noirs de saleté.
Le Diable s’amène, mettant son bras velu et puant autour des épaules du nouveau.
— Je ne comprends pas, balbutie Emmanuel Macron en état de choc, lorsque j’étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un club house ; nous avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes soûlés. On s’est envoyés en l’air comme des lapins et on s’est tous follement amusés. Maintenant, je ne vois qu’un désert rempli d’immondices et tout le monde a l’air misérable.
Le Diable le regarde, lui sourit sournoisement et lui susurre à l’oreille :
— Hier nous étions en campagne électorale ; aujourd’hui, tu as voté pour nous !
🔗Voir la blagueIl y avait, dans un village, deux hommes qui s’appelaient Francis. L’un était prêtre et l’autre chauffeur de taxi.
Le destin voulut que tous deux meurent le même jour. Ils arrivent au ciel et se présentent devant le Seigneur. Francis, le chauffeur de taxi passe en premier.
Dieu consulte ses registres et lui dit :
— Très bien, mon fils. Tu as gagné le Paradis. Tu as droit à une tunique en fil d’or et un bâton en platine. Tu peux y aller…
Quand passe l’autre Francis, Dieu lui dit :
— Bien, tu as mérité le Paradis. Tu as droit à une tunique de lin et un bâton en chêne.
Le prêtre est surpris :
— Pardon Seigneur, mais il doit y avoir une erreur. Je suis bien Francis, le prêtre !
— Oui mon fils, tu as mérité le Paradis avec cette tunique de lin.
— Non ! Ce n’est pas possible ! Je connais l’autre Francis, il vivait dans mon village. C’était une catastrophe comme chauffeur de taxi ! Il avait des accrochages tous les jours, il roulait comme un dingue et conduisait très mal. Et moi j’ai passé 50 ans de ma vie à prêcher tous les dimanches à la paroisse. Comment est-il possible qu’on lui donne la tunique en fil d’or et à moi celle-ci ?
Et Dieu lui répond :
— Non, mon fils, il n’y a aucune erreur. Nous faisons maintenant des statistiques !
— Comment ? Je ne comprends pas.
— Oui. Nous travaillons au résultat et avec des objectifs. Durant ces derniers 25 ans, chaque fois que tu prêchais, les paroissiens s’endormaient… Mais lui, chaque fois qu’il conduisait, tout le monde priait !