je suis venu, j'ai cliqué,
Médecin (132 blagues)
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Un fonctionnaire de la douane du Havre vient de décéder de la grippe !
En rentrant chez lui l’homme ne se sentait pas bien du tout.
Vertiges, palpitations, jambes flageolantes, maux de ventre etc.
Sa femme l’a envoyé au lit et lui a dit de prendre 2 aspirines.
Le lendemain, elle l’a trouvé mort dans son lit.
Directo, elle a appelé le médecin et lui a expliqué qu’elle lui avait donné 2 aspirines pour le faire transpirer, comme on fait d’habitude pour évacuer toutes les saloperies qu’on a dans le corps.
— Mais, Madame, vous l’avez tué.
— Comment, dit la dame, vous m’accusez ?
— Mais bien sûr Madame ! On ne fait pas transpirer un fonctionnaire !
Un gars arrive à l’hôpital après s’être fait renverser par un camion, il se réveille après avoir perdu connaissance, en face de lui, le médecin :
— (le médecin) : On a dû vous opérer, j’ai une bonne et une mauvaise nouvelle
— (le patient) : Commencez par la mauvaise
— (le médecin) : Vous êtes passé sous un camion, on a dû vous amputer les 2 jambes
— (le patient) : Pour une mauvaise nouvelle… et la bonne ?
— (le médecin) : On chausse la même pointure, je vous rachète vos chaussures en croco !
Un gars va chez son médecin pour faire un check-up, car depuis quelques temps, ça ne va vraiment plus très fort.
Le médecin, après auscultation et résultats de divers examens, lui dit :
— J’ai bien peur de n’avoir que des mauvaises nouvelles pour vous… Vous êtes en train de mourir.
— Oh non ! Combien de temps me reste-t-il à vivre ?
— 10
— 10 ? Dix quoi ? 10 mois ? 10 semaines ? 10 jours ?
— 9… 8… 7…
Un gars va consulter son médecin :
— Je suis très ennuyé, docteur, mon fils a couché avec une fille qui lui a transmis une vilaine maladie…
— Je vois… Et bien qu’il vienne me voir, nous essaierons de soigner cela.
— C’est que, il l’a à son tour refilé à la bonne.
— Oh, oh…
— Et la bonne me l’a transmise.
— Ah, la, la ! Bon, faites-moi voir ça.
— Mais ce n’est pas tout, docteur. Forcément, moi j’ai dû la refiler à ma femme…
Alors, le médecin se met à hurler :
— Mais alors… à cause de ce petit con, nous voilà tous contaminés !
Un gars va voir son docteur parce qu’il a toujours froid. Dans son lit, sous la douche, quoiqu’il fasse : il a froid.
Le docteur l’examine et lui dit :
— Ah je vois, c’est tout tordu la dedans, il va falloir opérer.
Il lui donne rendez vous et une semaine après, l’homme est opéré.
La semaine suivante l’homme revient voir le médecin :
— Docteur je ne sais pas ce que vous avez fait mais c’est incroyable, j’ai toujours chaud maintenant, merci docteur, mais qu’est ce que vous avez fait ?
— Ah mais c’est très simple, je vous ai mis l’œsophage central.
Un homme arrive chez son docteur :
— Ah, monsieur Dubois, eh bien dites donc depuis le temps que je cherchais à vous voir.
— Oui, je sais, je sais, mais je suis pressé, docteur. Mon chauffeur m’attend en bas, le moteur de ma voiture tourne. Je n’ai pas le temps. Je suis un homme d’affaires très pressé, docteur.
— Je sais, je sais, mais je ne vous dérange pas pour rien malheureusement. C’est grave.
— C’est pour le résultat de mes analyses ?
— Oui, monsieur, asseyez-vous, s’il vous plaît.
— Non, non, ce matin, je n’ai pas le temps.
— Je vous en prie, c’est…
— Je suis un homme d’affaires, je suis pressé, vous dis-je, je dois être à Amsterdam pour un déjeuner capital. Mon chauffeur m’attend pour m’emmener à Roissy Ce soir, j’ai un dîner d’affaires à Londres. Demain je prends le Concorde pour être à New York. Je n’ai pas une minute à moi. Qu’est-ce qui se passe, docteur ?
— Monsieur, je vous en prie, asseyez-vous.
— Non, non, mais je vous fais tout à fait confiance. Alors ces analyses ?
— Asseyez-vous, vous dis-je.
— Non, je n’ai pas le temps !
— Je vous en prie.
— Je reste debout. Je n’ai pas le temps. Dites-moi seulement ce qu’il en est.
— Bon ! Ce sont en effet vos analyses. Comme elles m’inquiétaient, j’ai demandé leurs avis à d’éminents confrères à Paris, à Londres et à New York. Ils ont malheureusement confirmé ce que je pensais…
— Oui, ce doit être grave, mais qu’est-ce que j’ai ?
— Monsieur, c’est un peu difficile à dire.
— Je vous en prie, pas de chichi avec moi, je suis un homme d’affaires et je suis pressé, docteur.
— Bien, monsieur, bien, je vous le dis franchement : vous n’avez plus que deux mois à vivre.
— Très bien, je prends juillet-août.
Un homme s’endort plusieurs heures sur la plage et se réveille avec un terrible coup de soleil sur tout le corps.
Il s’en va immédiatement à l’hôpital et il est admis pour brûlures au second degré.
Il commence déjà à avoir des cloques sur la peau et il est en quasi agonie…
Le médecin lui prescrit immédiatement un traitement :
- Biafine en couche épaisse,
- un puissant sédatif,
- et une pilule de Viagra à prendre toutes les quatre heures.
L’infirmière surprise demande au médecin :
— Quel bienfait va donc lui apporter le Viagra dans son cas ?
Le médecin réplique :
— Ça va lui permettre de garder les draps éloignés de ses jambes !
Un homme se plaint à son ami :
— Mon coude droit me fait vraiment mal. Je crois que je devrais aller voir un médecin.
Son ami de lui répondre :
— Ne fais pas ça ! Il y a un tout nouvel ordinateur à la pharmacie du centre qui peut te diagnostiquer n’importe quoi, bien plus rapidement et pour beaucoup moins cher qu’un médecin. Tu déposes juste un échantillon d’urine, et l’ordinateur diagnostique ton problème et te dit ce que tu dois faire. Et tiens-toi bien, cela ne coûte QUE 2 euros.
Se disant qu’il n’a rien à perdre, l’homme remplit alors un petit récipient avec un échantillon d’urine, et se rend à la pharmacie. Il y trouve l’ordinateur en question, il place l’échantillon et introduit les 2 euros.
La machine se met alors à faire des tas de bruits bizarres, des tas de lumières commencent à clignoter. Après une courte pause, une petite bande de papier sort de la machine. Il y est écrit :
— Vous avez une tendinite au coude droit. Trempez votre bras dans de l’eau chaude. Évitez de le faire trop travailler. Cela devrait aller mieux dans 2 semaines.
L’homme est totalement impressionné ! Plus tard dans la soirée, alors qu’il repense à cette nouvelle technologie incroyable, et à la façon dont elle pourrait révolutionner le domaine médical, il commence à devenir sceptique.
Il se demande si la machine ne pourrait pas se tromper. Il décide alors d’essayer. Il mélange ainsi de l’eau du robinet, un peu d’urine de son chien, d’urine de sa femme et de sa fille. Il retourne à la pharmacie, retrouve la machine, y place le nouvel échantillon et introduit 2 euros.
La machine, comme à son habitude, fait du boucan et clignote de partout puis, imprime l’analyse suivante :
— Votre eau du robinet est trop dure–Faites installer un filtre.
— Votre chien a le tænia–Purgez-le avec un vermifuge adéquat.
— Votre fille se drogue à l’héroïne–Une cure de désintoxication s’impose.
— Votre femme est enceinte–L’enfant n’est pas de vous. Contactez votre avocat.
Un homme se plaint de terribles maux d’estomac.
Il va chez le docteur et lui demande ce qu’il peut faire. Le docteur répond que la maladie est assez sérieuse, mais peut être guérie en insérant un suppositoire au plus profond de son passage anal.
L’homme consent. Le docteur le prévient de la douleur et lui dit de se pencher. Il lui pousse la chose au plus profond de son derrière.
Le docteur lui donne une deuxième dose et lui dit de répéter la même chose dans six heures.
L’homme retourne donc à la maison. Plus tard, le soir venu, il essaie d’insérer le deuxième suppositoire, mais il ne peut atteindre la profondeur exigée. Il appelle sa femme et lui dit quoi faire.
La femme fait un signe de la tête, mets une main sur son épaule pour le stabiliser et avec l’autre main elle pousse le médicament.
Soudain l’homme crie :
— Maudit, saligot !!!
— Je t’ai fait mal ?
— Non, mais je viens juste de me rendre compte que quand le docteur a fait ça… IL AVAIT LES DEUX MAINS SUR MES ÉPAULES.
Un homme se présente à l’accueil d’un hôpital, se présente de la part de son médecin :
— Bonjour. Je viens de la part de mon médecin traitant, pour une vasectomie.
(La vasectomie est une méthode de stérilisation qui consiste à sectionner ou bloquer chirurgicalement les canaux déférents qui transportent les spermatozoïdes.)
— J’appelle un médecin, installez vous dans la salle d’attente.
Le gars s’installe, attend quelques minutes avant qu’un chirurgien vient à sa rencontre :
— Bonjour Monsieur. Vous venez donc de la part de votre médecin traitant pour une vasectomie. Suivez moi, je vous emmène au bloc.
Le chirurgien opère, le gars se retrouve en salle de réveil. Un ami vient le voir :
— Mon pauvre ami, dans quel état tu es ! Tout ça pour une vaccination !
— Ahhh, VACCINATION !!! C’est ça le mot que je cherchais !