je suis venu, j'ai cliqué,
Juif (39 blagues)
Voir aussi :
- Quelle est la différence entre un Juif et un scout ?
- Le scout, il rentre du camp, lui.
Savez vous pourquoi Elon Musk a embauché deux PDG en Europe au lieu d’un seul ?
Elon Musk décide d’organiser une énorme session de recrutement pour trouver son PDG Europe. Ils convoquent donc 5 000 candidats dans une grande salle. Au milieu se trouve Maurice Cohen, petit juif tunisien de Paris.
Elon Musk remercie tous les candidats de leur venue et demande à tous les candidats qui ne connaissent pas le langage de programmation JAVA de bien vouloir se lever et partir. De là, 2 000 personnes se lèvent et quittent la salle.
Maurice Cohen se dit « je connais pas ce langage mais bon j’ai rien à perdre, je reste, je tente le coup ».
Elon Musk demande à tous les candidats qui n’ont jamais eu d’expérience de management d’équipe de plus de 100 personnes de bien vouloir se lever et partir. De là, 2 000 personnes se lèvent et quittent la salle.
Maurice Cohen se dit « j’ai jamais manager personne moi mais bon j’ai rien à perdre, je reste, je tente le coup, qu’est ce qui peut m’arriver franchement ».
Elon Musk demande à tous les candidats qui n’ont pas fait une grande école de bien vouloir se lever et partir. De là, 500 personnes se lèvent et quittent la salle.
Maurice Cohen se dit « j’ai même pas le bac mais bon j’ai rien à perdre, je reste, je tente le coup, j’le fait je m’en fous j’le fais ».
Enfin, Elon Musk demande à tous les candidats qui ne parlent pas serbo-croate de bien vouloir se lever et partir. De là, 498 personnes se lèvent et quittent la salle.
Maurice Cohen se dit « je parle pas serbo-croate mais bon j’ai rien à perdre, je suis au bout du truc, au pire ça marche pas, c’est pas grave ».
Donc il reste Maurice Cohen et un autre candidat. Elon Musk se retrouve en face d’eux deux et leur dit :« alors apparemment vous parlez tous les 2 serbo-croate, donc pouvez-vous me faire une petite discussion dans cette langue ? »
Sur ce, Maurice se retourne vers l’autre candidat : « Baroukh ata Adonaï ? » et l’autre lui répond « Elohenou melekh ha‑olam ».
Ta pizza est Italienne
Ton couscous est Algérien.
Ta démocratie est Grecque.
Ton café est Brésilien.
Ta montre est Suisse.
Ta chemise est Hawaïenne.
Ton baladeur est Coréen.
Tes vacances sont Turques,
Tunisiennes ou Marocaines.
Tes chiffres sont Arabes.
Ton écriture est Latine.
Ton Christ est Juif…
Et tu reproches à ton voisin d’être un étranger ! ?
🔗Voir la blagueTrois juifs sont à la piscine.
L’un d’eux propose un petit concours d’apnée : celui qui remonte le premier paye le resto.
Résultat : trois morts par noyade…
🔗Voir la blagueUn Américain part en vacances en Israël avec sa femme et sa belle mère.
Pendant le séjour, la belle mère décède.
Les pompes funèbres indiquent à l’américain et sa femme que le rapatriement coûte 5 000 dollars alors que l’enterrement sur place coûte 100 dollars.
L’américain opte sans hésiter pour le rapatriement.
Les pompes funèbres insistent et indiquent que le prix inclut une cérémonie en grande pompe.
L’américain ne change pas d’avis.
Une fois dans leur hôtel, sa femme s’adresse à lui :
— Chéri, je suis contente que tu aies choisi le rapatriement le plus onéreux, c’est vraiment une marque d’amour pour maman !
Son mari lui rétorque :
— Ici, ils ont enterré un certain Jésus il y a 2000 ans et il est revenu 3 jours après sur terre. Je ne voulais prendre aucun risque avec ta mère !!!
Un arabe marche dans le Sahara, à moitié mort de soif.
Soudain, au détour d’une dune, il tombe sur un vieux petit juif assis sur un tabouret et qui vend des cravates sur un tréteau, en plein soleil, au milieu de nulle part.
L’Arabe demande :
— S’il ti pli, ji suis en train di mourir di soif, ti mi donnes un peu d’eau ?
— Je n’ai pas d’eau ; je n’ai que des cravates. Tu ne veux pas m’acheter une belle cravate ? En voici une qui t’irait bien au teint !
L’Arabe s’égosille :
— J’en veux pas di ti salipri d’cravates, spisse d’idiot ! J’i soif !!!
— OK, n’achètes pas de cravate ! Pas de problème ! Pour te montrer que je suis bon, je vais te dire que, après cette colline, à 12 km, il y a un joli petit restaurant. Marche dans cette direction : ils ont toute l’eau que tu veux.
L’Arabe remercie en maugréant et s’empresse vers la colline pour finalement disparaître. Six heures plus tard, il revient en rampant près du vieux juif.
Le petit vieux :
— Mais je t’ai dit 12 km derrière la montagne ! Tu n’as pas trouvé le restaurant ?
— Si ji l’i bien trouvé, spisse di connard, couine l’Arabe ; mais ton frère n’a pas voulu me laisser entrer sans cravate…
Un jeune gars fréquente la fille du rabbin Godenberg et veut se marier avec elle.
Pour ce faire, il a besoin de l’autorisation du père. En allant faire sa demande officielle chez le père de la jeune fille, le rabbin lui explique :
— Vois tu, nous sommes juifs et nous avons une forme particulière de faire les choses. Si tu veux te marier avec ma fille, tu dois d’abord passer une petite épreuve. Prends cette orange et reviens demain.
Le gars sort de l’entrevue fort surpris.
Le lendemain il revient voir le rabbin.
— Très bien, dit le père, qu’as-tu fait de l’orange ?
— Je l’ai mangée, j’avais faim.
— Très mal ! Tu vois, chez nous, on épluche l’orange et avec la peau nous faisons une délicieuse liqueur. Nous coupons ensuite l’orange en deux, donnons la moitié aux pauvres et l’autre moitié nous la répartissons dans la famille. La moitié des pépins nous les vendons au marché, l’autre moitié nous les gardons pour semer. Tu vois comme nous sommes ? Bon, je vais te donner une autre opportunité. Prends ce saucisson et reviens demain…
Le gars sort, un peu en rogne et revient le lendemain :
— Alors qu’as-tu fait du saucisson ?
— Avec les cordons, j’ai fait des lacets pour mes chaussures, avec le petit métal gravé j’ai fait un pendentif pour votre fille. J’ai coupé le saucisson à moitié, j’ai donné la moitié aux pauvres et l’autre moitié je l’ai répartie dans la famille.
— Très bien ! s’extasie le rabbin. Et qu’est-ce que tu as fait de la peau ?
— Avec la peau j’ai fait un préservatif, j’ai tiré un coup avec votre fille et je vous apporte la crème pour faire un yaourt.
Un jeune inspecteur des impôts est envoyé pour un contrôle fiscal à la synagogue de Liège.
Impitoyable, il pose de nombreuses questions au rabbin :
— Et que faites vous des restes de cire et de bougie ?
— Nous les renvoyons à notre fournisseur qui, chaque année, nous offre en échange un paquet de bougies
— Et les restes de bagels, toutes ces miettes, qu’en faites vous ?
— Mais, la même chose, nous les expédions à notre boulanger et, chaque année, il nous donne gratuitement un paquet supplémentaire.
Moqueur, l’inspecteur ajoute :
— Et ce qui reste des circoncisions… Toutes ces petites peaux… Qu’en faites vous ?
Placide, le rabbin répond :
— Mais, comme pour le reste, nous les envoyons au ministère des finances et, chaque année, ils nous envoient une tête de gland !
Un jour, le Pape décida que tous les Juifs devraient quitter Rome.
Naturellement, la communauté judaïque s’indigna, et le Pape proposa un marché au chef de la communauté.
Un débat aurait lieu avec un membre désigné de la communauté juive et le Pape, et si au terme de ce débat les arguments juifs s’avéraient plus forts que les arguments catholiques, alors les juifs auraient le droit de rester.
Par contre, si le Pape était gagnant, ce serait aux juifs de quitter Rome.
Les juifs n’arrivaient pas à trouver un rabbin pour relever le défi, alors, ils désignèrent un vieux Juif qui accepta de relever le défi.
Comme le Pape ne parlait qu’italien, et le vieux Juif ne parlait qu’hébreu, il fut décidé que ce serait un débat silencieux.
Le jour venu, Le vieux Juif et le Pape prirent chacun une chaise et se firent face.
Au bout d’une minute, le Pape leva la main et montra trois doigts tendus au Vieux Juif.
À son tour, le Vieux Juif leva sa main vers le ciel et tendit un doigt.
Le Pape, énervé, décrivit alors avec l’index de sa main un cercle tout autour de son visage.
Le Vieux Juif, lui, se servit de son index pour pointer alors le sol à ses pieds.
Le pape, encore plus en colère, prit alors une hostie et un verre de vin sur un plateau à côté de lui.
Le Vieux Juif, quant à lui, tira une pomme de son sac.
À ce moment-là, le Pape se leva furieux et concéda sa défaite : les juifs pourraient rester à Rome.
Les Cardinaux, curieux, demandèrent au Pape comment s’était passé le débat.
Le Pape leur expliqua :
— D’abord, je lui ai montré trois doigts tendus pour lui représenter la Trinité.
Il m’a répondu qu’il n’y avait pourtant un seul Dieu qui trône dans les cieux.
Alors, j’ai décrit un cercle autour de mon visage pour lui signifier que j’étais la seule autorité représentant Dieu sur Terre. Là, il m’a répondu en montrant le sol à ses pieds que tout homme est poussière et qu’il retournerait à la poussière.
Enfin, j’ai pris une hostie et du vin pour montrer que Dieu nous pardonne de tous nos péchés.
Et là, il a pris une pomme pour me rappeler le péché originel…
Il avait réponse à tout !
Pendant ce temps là, dans la communauté juive, l’heure est aussi au bilan. Le Vieux Juif raconte :
— D’'abord, il m’a dit que les juifs avaient trois jours pour quitter le Vatican.
Je lui ai fait un doigt d’honneur. Puis, il m’a dit que toute la ville serait nettoyée des juifs. Je lui ai fait comprendre qu’on resterait tous ici, en pointant la terre de mon index !
— Et à la fin, demande quelqu’un dans l’assistance, qu’a voulu dire le Pape en prenant du vin et une hostie ?
Et le Vieux Juif répond :
— J’en sais rien. Quand j’ai vu qu’il sortait son repas, j’ai sorti le mien !
Un juif et un chinois sont assis sur un banc public et lisent le journal. Soudain, le juif se lève et fout une telle raclée au chinois que celui-ci en a le visage tout vert (jaune + bleu…). Lorsque le juif en a fini de battre le Chinois, il s’assied et continue la lecture de son quotidien.
Lorsque le Chinois s’est remis de ses émotions, il demande au juif pourquoi il lui a fait ça, et le juif de répondre :
— C’est pour Pearl Harbour !
— Mais, dit le Chinois, c’étaient les Japonais qui ont bombardé Pearl Harbour…
— M’en fout, répond le juif, Chinois, Japonais ou Coréens… pour moi, ce sont tous les mêmes…
Quelques minutes plus tard, le Chinois se lève et fout une raclée au juif. Lorsqu’il a exercé tous les coups des arts martiaux dont il connaît les secrets, il s’assied et continue de lire son journal.
Lorsque le juif s’est remis de ses émotions, il demande au chinois pourquoi il lui a fait ça, et le Chinois de répondre :
— C’est pour le Titanic.
— Mais, dit le juif, le Titanic, c’était un iceberg qui l’a coulé… !
— M’en fout, répond le Chinois, Iceberg, Grunberg, Rosenberg… pour moi, ce sont tous les mêmes…