je suis venu, j'ai cliqué,
Militaire (58 blagues)
Voir aussi :
Comment faire fuir le père Noël
- Construisez une armée de bonhommes de neige portant des banderoles sur lesquelles vous avez écrit, « Je hais Noël », « Père Noël casse-toi ! »
- Louez un taureau bien nerveux que vous laisserez dans votre salon. Savourez la réaction du taureau quand il va voir apparaître un homme habillé en rouge de la tête aux pieds.
- Laissez un mot au père Noël expliquant que vous avez déménagé. Agrafez au dos un plan incompréhensible avec l’adresse de votre nouvelle maison.
- Laissez un mot près du téléphone expliquant que madame Noël a appelé pour qu’il n’oublie pas de ramener du lait et du pain en rentrant.
- Posez une assiette remplie de biscuits et un grand verre de lait avec un mot « Pour la petite souris :-) ». À coté posez une soucoupe avec un demi-biscuit et deux gouttes de lait dans un verre sale avec un mot, « Pour le Père Noël »
- Laissez traîner des trophées et des fusils de chasse un peu partout.
- Quand le père Noël est chez vous, sortez et criez bien fort, « Oh ! Un renne ! Et en plus, il a le nez rouge ! » Puis tirez plusieurs coups de fusil.
- Pendant qu’il est chez vous, profitez-en pour glisser une contravention pour excès de vitesse sur le pare-brise de son traîneau, remplacez les rennes de son traîneau par des rennes classiques et attendez pour voir ce qui va se passer quand il va essayer de redécoller.
- Déguisez-vous en policier et videz votre maison comme si elle venait d’être cambriolée. Quand le père Noël arrive exclamez-vous : « Eh bien, on revient sur les lieux du crime ! »
- Décorez votre sapin avec des œufs de Pâques.
- Déguisez-vous en lapin de Pâques et quand le père Noël arrive, expliquez-lui que la maison n’est pas assez grande pour vous deux.
Dans les situations extrêmes, nous reconnaissons nos propres faiblesses.
Une question vous est posée.
Répondez avec sincérité et alors vous pourrez faire votre auto-évaluation morale.
Il s’agit d’une situation imaginaire dans laquelle vous allez décider ce que vous feriez…
Vous êtes à Paris, au milieu du chaos provoqué par les terribles épisodes de terrorisme qui accompagnent les périodes de guerre.
Vous êtes un reporter photographe qui travaille pour Time Magazine et vous êtes aux abois réalisant photos sur photos des clichés très impressionnants.
Soudain vous apercevez le président tentant désespérément d’échapper à un terroriste armé qui le poursuit.
Il est sur le point d’être rattrapé, or vous avez la possibilité d’utiliser votre portable pour appeler la police afin qu’il lui porte secours ou bien de prendre La Photo qui remportera le Prix Pulitzer qui fera le tour du Monde montrant la mort d’un homme politique célèbre…
Basé sur vos principes éthiques et moraux et sur la fraternité et la solidarité humaine répondez sincèrement à la question ci-après : feriez-vous la photo en couleur ou en noir et blanc ?
🔗Voir la blagueDans les tranchées pendant la guerre. Il y a le coté des Français, et celui des Allemands.
Coté des Français :
— Bon les gars j’ai une idée du tonnerre !
— Vas-y raconte !
— Bon, comme vous le savez, tous les boches s’appellent Hans… et bien voila ce que nous allons faire…
Après avoir chuchoté quelques consignes, un des français sort de la tranchée avec son fusil pendant qu’un autre crie :
— Hans chéri ! Tu es là ?
À ce moment, un allemand se lève en criant
— Yawohl ?
Le tireur français n’hésite pas, il tire et tue le boche !
Toute la soirée, ils se moquent des Allemands en répétant cette action…
Coté allemand, on n’est pas en reste :
— Arrrr camarades !….Il faut se fencher ! Tous les français s’appellent Chean (Jean), nous avons les afoir !
Un allemand prépare son fusil tandis qu’un autre est chargé d’attirer le français…
— Jean ?
— Ça dépend, c’est Hans ?
Dans une caserne, l’adjudant rassemble tous les nouveaux et hurle :
– Les bretons et les Corses à gauche ! Les alsaciens et les lorrains à droite ! Les provençaux et les normands devant !
S’ensuit un grand remue-ménage. Quand enfin la poussière se dissipe, l’adjudant voit qu’il reste trois maghrébins et deux noirs au milieu de la cour. L’un d’eux lève la main et demande :
– Et nous les Français, on va où ?
Dans une caserne, plusieurs appelés rentrent en retard de leur permission. Le commandant appelle le premier :
— Alors ptit gars, motif du retard
— Ben mon commandant, vous allez rire, je suis fiancé à une fille de la campagne et là-bas, ce n’est pas comme chez nous, on discute dot… Enfin bref, on a tellement discuté avec le beau-père qu’on n’a pas vu l’heure passer. Alors le beau-père m’a ramené au galop à la gare, avec la charrette et le cheval, mais bon voilà, à cent mètres de la gare, le cheval qu’était vieux est mort, j’ai raté mon train à quelques secondes et y’en a qu’un par jour.
Ému, le commandant passe l’éponge et appelle le deuxième :
— Alors ptit gars, motif du retard
—Ben mon commandant, vous allez rire, je suis fiancé à une fille de la campagne et là-bas, c’est pas comme chez nous, on discute dot ? Enfin bref… le beau-père… a pas vu l’heure passer.… m’a ramené au galop à la gare, avec la charrette et le cheval, mais bon voilà, à cent mètres de la gare, le cheval qu’était vieux est mort, j’ai raté mon train à quelques secondes et il n’y en a qu’un par jour.
— Bon… admettons.
Et le commandant interroge le troisième.
— Alors ptit gars, motif du retard
— …Commandant… rire, je suis fiancé… fille… campagne… pas comme chez nous, discute… dot… Enfin bref,… le beau-père… a pas vu l’heure… ramené… à la gare, avec… charrette… cheval, mais… cent mètres… gare, le cheval… vieux… mort,… raté… train à quelques secondes… un par jour.
Et ainsi de suite jusqu’au trentième soldat qui rentre.
— Bon alors ???
— Ben mon commandant…
— Je sais…Je vais rire, vous êtes fiancé à une fille de la campagne…
— Oui mon commandant
— Là-bas on prend le temps de discuter et vous n’avez pas vu l’heure passer…
— Exactement mon commandant
— Alors votre beau-père vous a ramené à la gare…
— Oui mon commandant
— Mais bon voilà, le vieux cheval est mort à cent mètres de la gare…
— Euh ??? Non mon commandant, mon beau-père na pas de cheval il a une 4L.
— Alors vous, vous n’avez aucun motif, petit salopard
— Ben c’est que…Vous allez rire mon commandant, à cent mètres de la gare il y avait un tas de chevaux morts au milieu de la route…
Dans un trou perdu en pleine campagne, le père et le fils bêchent lorsque, soudain, l’outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l’étrange objet et dit à son père :
— R’garde donc l’pére c’que j’viens d’trouver !
Le père lui répond :
— Oh putain ! une grenade de la dernière guerre et… Ho putain ! où est la goupille ?
Le père arrache la grenade des mains du fils, la balance loin… sur les chiottes au fond du jardin et BOUMMMM…
À ce moment, la grand-mère sort du nuage de fumée en titubant et dit :
— Cré vin diou… heureus’ment qu’j’la pas lâché dans la cuisine celui-là !
DERNIÈRE MINUTE : Tremblement de terre en Algérie
Le monde entier réagit déjà…
Un puissant tremblement de terre, d’une intensité inouïe de 8,9 sur l’échelle de Richter, s’est produit ce matin au centre de l’Algérie, tuant sur place au moins 25 OOO habitants, tandis que des milliers d’autres sont blessés.
Des villes entières sont complètement dévastées, la population survivante se lamente parmi les ruines.
L’Amérique a immédiatement envoyé son armée pour aider à la reconstruction du pays anéanti.
La Russie a déjà envoyé des vivres.
L’Angleterre et la Belgique ont envoyé de l’argent.
La France, par la voix de son ministre des Affaires Étrangères, qui ne veut à aucun prix rester passive, enverra dès demain 25 OOO nouveaux Algériens…
Deux militaires à l’entraînement :
— Pourquoi t’es tu engagé dans l’armée ?
— Parce que je suis célibataire et j’aime la guerre ! Et toi ?
— Moi, je suis marié et je voulais la paix !
Deux prisonniers parlent des crimes qu’ils ont commis :
— Moi j’ai fait un hold-up à main armée, et on m’en a collé pour 20 ans.
— Moi j’ai tué un homme, mais je n’ai eu que 6 mois ferme.
— Quoi ? 6 mois ferme pour une mort d’homme ? Tu ne l’as pas fait exprès alors ?
— Si, c’était bien volontaire. Mais j’ai eu des circonstances atténuantes parce que c’était mon avocat.
Dictons militaires
- Tout ordre qui peut être mal compris a été mal compris
- Ne partagez jamais un trou d’obus avec quelqu’un de plus brave que vous
- Aucun plan de bataille ne survit au contact de l’ennemi
- Les tirs amis ne le sont jamais
- La chose la plus dangereuse sur un champ de bataille est un officier avec une carte.
- Le problème, quand on veut prendre la voie la plus simple, est que l’ennemi l’a déjà minée
- Le système qui vous attribue un sergent est essentiel à votre survie : Il donne à l’ennemi une autre cible.
- Plus vous serez en avancé sur vos positions, et plus l’artillerie alliée tirera mal
- Le feu ennemi a toujours la priorité
- Si votre avance se passe bien, c’est que vous êtes dans une ambulance.
- Si vous avez besoin d’un officier tout de suite, piquez un bon somme.
- La seule fois que les armes défensives marchent, c’est quand elles sont utilisées depuis des positions abandonnées
- À la guerre, il n y a rien de plus agréable que quelqu’un qui vous tire dessus… Après qu’il vous ait manqué
- Ne vous faites jamais remarquer : Sur le champ de bataille, cela attire le feu de l’ennemi, hors du champ de bataille, cela attire le sergent.
- Si votre sergent peut vous voir, alors l’ennemi aussi
- Le meilleur système pour survivre : donnez à l’ennemi une cible… autre que la votre !
- Quoi que ce soit que vous fassiez pourra aider l’ennemi à vous tuer… y compris si vous ne faites rien
- Si vous vous protégez trop bien contre une invasion, vous ne pouvez plus sortir
- Les balles traçantes sont efficaces dans les deux sens
- La seule chose qui vous arrive plus précisément qu’un tir ennemi est un tir allié
- Quand dans les deux camps on est convaincu d’être proche de la défaite, personne ne se trompe