je suis venu, j'ai cliqué,
Famille (163 blagues)
Voir aussi :
- Chandail
- Jardin plein de gousses.
- Saint Ignace
- Fête des cheveux.
- Syntaxe
- Fête des impôts.
- Fêtard
- Il faut rentrer se coucher.
- Mercato
- Maman pratiquante.
- Sismique
- Salaire élevé car correspondant à six fois le salaire minimum en France.
- La moustache
- Le ketchup aussi.
- Patois Nîmois
- Mais c’est qui alors ?
- Groupe sanguin
- Les perdants du Loto.
- Pomme dauphine
- Pomme de terre arrivée deuxième à Miss Patate.
- Un skieur alpin
- Le boulanger aussi.
- Considéré
- Tellement il est con, il n’en revient pas lui-même.
- Chinchilla
- Emplacement réservé aux chiens pour faire leurs besoins.
- Portail
- Cochon Thaïlandais.
- Gabon
- Mec vraiment trop sympa.
- Liban
- Canapé clic-clac.
- Perroquet
- Accord du paternel.
- La maîtresse d’école
- L’institutrice prend l’avion.
- Les ciseaux à bois
- Les chiens aussi.
- Les tôles ondulées
- Les vaches aussi.
- La camisole
- La drogue rend solitaire.
- Aventurier
- Maintenant tu ne ris plus.
- Un enfoiré
- Une année de perdue.
- Le mascara
- Déguisement pour rongeurs.
- Chauffeur de corbillard
- Pilote décès.
- Téquila
- Interpellation d’un inconnu chez soi.
- Ingrid Betancourt
- Femme qui ne comprenait rien à l’école.
Après une soirée, un gars ramène sa copine, Giselle, chez elle, dans un quartier très huppé.
Ils sont à la veille de s’embrasser pour se dire bonne nuit devant la porte d’entrée, lorsque le gars commence à se sentir excité.
Avec un air confiant, il se penche vers elle en souriant, une main accolée sur le mur, et lui dit :
— Chérie, me ferais-tu une pipe ?
Horrifiée, elle répond :
— Es-tu malade ? Mes parents pourraient nous voir !
— Oh alleeez ! Qui va nous voir à cette heure ? demande-t-il d’une voix déjà haletante.
— Non, s’il te plaît. Imagines-tu si on se fait prendre ? La fille du juge local se doit d’être exemplaire !
— Oooh alleeez ! Il n’y a personne aux alentours, ils dorment tous.
— P-A-S Q-U-E-S-T-I-O-N. C’est trop risqué !…
— Oooh s’il te plaît !, s’il te plaiiiiit, je t’aime tellement ? ! ?
— Non, non, et non. Je t’aime aussi, mais je ne peux pas !
— Je t’en suppliiiiiiiiie…
— Donnes-moi une seule bonne raison, dit-elle.
Le jeune homme se lance alors dans une argumentation passionnée de dix bonnes minutes sur les besoins et pulsions masculines, d’une voix de plus en plus rauque.
Soudain, la lumière dans l’escalier s’allume, et la sœur aînée de la jeune fille apparaît en pyjama, les cheveux en bataille, les yeux bouffis, et leur annonce d’une voix endormie :
— Papa m’a dit de te dire soit tu lui fait sa pipe, soit c’est moi qui lui fait sa pipe. En cas de besoin, maman dit qu’elle peut descendre elle-même et la lui faire. Mais par pitié, dis-lui d’enlever sa main de l’interphone…
🔗Voir la blagueCher Jésus, je t’écris ce petit mot pour que tu puisses m’expliquer pourquoi l’Église est contre les mères porteuses.
PS bises à ta maman.
Un jeune garçon demande à son père :
— Papa, c’est normal pour nous, les garçons, de classifier les différentes sortes de seins ?
Surpris, le papa répond :
— Bien sûr, mon garçon, sinon, on ne serait pas normaux…
Il y a trois sortes de poitrines, tout dépend de l’âge de la femme…
Dans les vingt ans, ses seins sont comme des melons, ronds et fermes. Entre la trentaine et la quarantaine, ils sont comme des poires, encore beaux, mais un peu pendants. Après la cinquantaine, ils sont comme des oignons.
— Des oignons, papa ?
— Oui, tu les regardes et ils te font pleurer.
La petite sœur choqué de la réponse de son père explique à sa mère et lui demande :
— Maman, combien de sortes de pénis il y a ?
La mère, ravie d’avoir sa revanche, répond :
— Bien, ma fille, un homme passe par trois phases. Dans la vingtaine, son pénis est comme un chêne, grandiose et rigide. Dans la trentaine et la quarantaine, il est comme un bouleau, flexible mais encore fiable. Après la cinquantaine, il est comme un arbre de Noël.
— Un arbre de Noël ?
— Ouais, asséché et les boules ne servent qu’à le décorer…
Dans une école primaire très BCBG d’Auteuil, une institutrice fait un petit cours à ses élèves sur le thème de la richesse et de la pauvreté. Elle cherche à faire comprendre aux enfants que aussi riche que l’on soit financièrement parlant, on ne peut pas tout avoir.
À la suite de cette affirmation, un premier élève lève le doigt :
— Moi mon papa, il a tout ! L’écran plat, l’ordinateur portable…
L’institutrice répond :
— Mais est-ce qu’il a un bateau ???
L’élève répond que non.
L’institutrice :
— Alors tu n’as pas tout !
Un deuxième élève dit alors :
— Mon papa à moi, il a tout : l’écran plat, l’ordinateur portable et le bateau.
L’institutrice :
— Peut-être, mais est-ce qu’il a un jet privé ?
L’élève répond que non.
L’institutrice :
— Alors tu n’as pas tout !
Un troisième élève (appelons le Thomas De La Mastardière… mais ses petits copains le surnomment Toto) se lève alors :
— Eh bien moi, mon papa à moi, c’est sur qu’il a tout : parce que quand ma sœur a ramené l’autre jour son petit copain Rachid à la maison, mon papa il a dit : « Eh bien, il ne nous manquait plus que ça !!! »
Dans une famille très pieuse, le soir à table, au moment du bénédicité, un père demande à sa jeune fille :
– Allez Corinne, cette fois c’est toi qui nous dis la prière.
– D’accord papa, alors je vais prier comme maman hier :
« Oh mon Dieu ! Oh oui encore ! Vas-y ! Oh mon Dieu ! Plus fort ! Je sens que ça vient ! »
David a invité sa mère à dîner.
Pendant le repas, sa mère ne peut s’empêcher de remarquer que Julie, la personne avec qui son fils partage un appartement, est extrêmement belle. Pendant la soirée, alors qu’elle observe la façon dont David et Julie se comportent l’un envers l’autre, elle se demande s’il n’y a pas quelque chose de plus entre eux que le simple partage d’un appartement.
David, devinant les pensées de sa mère, lui dit :
— Je sais ce que tu es en train de penser mais je t’assure que Julie et moi ne faisons que partager un appartement !
Environ une semaine plus tard, Julie dit à David :
— Depuis que ta mère est venue dîner, je ne trouve plus la louche d’argent. Est-il possible qu’elle l’ait prise ?
— Je ne pense pas, mais je vais lui écrire un mail pour être sûr.
Aussi, il s’assied et écrit :
Chère Maman,
Je ne dis pas que tu as pris la louche et je ne dis pas que tu n’as pas pris la louche, mais il n’en reste pas moins vrai que la louche a disparu depuis que tu es venue dîner.
Bisous, David.
Plusieurs jours plus tard, David reçoit un mail de sa mère qui dit :
🔗Voir la blagueCher David,
Je ne dis pas que tu couches avec Julie et je ne dis pas que tu ne couches pas avec Julie. Mais il n’en reste pas moins vrai que si Julie dormait dans son lit, elle aurait trouvé la louche depuis longtemps. Bisous, Maman
Le père rassemble ses progénitures et leur dit :
— Les enfants, cette année, nous avons décidé de partir en vacances en pension complète !
Le plus jeune demande :
— C’est quoi la pension complète ?
— La pension complète c’est le top ! Nous allons dormir dans un hôtel où une dame viendra le matin refaire nos lits, faire le ménage, remettre des serviettes propres. Au restaurant de l’hôtel, on pourra aller prendre un copieux petit déjeuner, des cuisiniers nous prépareront notre déjeuner et notre dîner pendant que nous nous promènerons. C’est super, non ?
— Oui, oui ! répond le petit sur un air dubitatif.
— Quelque chose ne va pas, s’inquiète le père ?
— Non, non, c’est très bien, seulement, je me demande pourquoi on emmène maman, alors !
— Dis maman c’est vrai que je suis né dans un chou ?
— Heu oui… c’est ça !
— Et dis, maman c’est vrai que ma sœur est née dans une rose ?
— Mais oui mon chéri, c’est ça !
— Mais alors, vous baisez que dans le jardin ?