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Russe (18 blagues)
Voir aussi :
Quatre médecins discutent entre eux à l’occasion d’un congrès international de médecine…
Le premier est allemand :
— Nous on est tellement forts en chirurgie qu’on a pris un homme qui était sans testicules à la suite d’un accident et on a réussi à lui en greffer une paire. Eh bien 6 semaines après il cherchait du boulot.
L’Américain tout fier dit :
— Nous on a fait mieux, on a pris un grand malade du cœur on lui a fait une greffe et 4 semaines après il cherchait du travail.
Le Russe ne veut pas être en reste :
— Nous nous avons pris un homme qui avait un cerveau malade on lui a greffé un nouveau cerveau et 2 semaines après il cherchait du boulot.
Alors le Français intervient :
— Messieurs vous êtes vraiment très en retard ! En mai 2012 nous avons pris un mec sans cerveau et sans couilles et on en a fait un président de la république. Et dans six mois c’est tous les Français qui chercheront du travail !
Un Anglais et un Russe sont dans un bar. L’Anglais dit au Russe :
— Je suis capable de tirer dans cinq pièces de monnaie à la fois.
Il sortent du bar, l’Anglais s’exécute et réussit.
Il dit alors :
— Mon nom à moi c’est Bill. Buffalo Bill.
Le Russe impressionné lui dit alors :
— Oui toi très bon mais moi meilleur moi être capable de faire l’amour à cinq femmes en même temps.
L’Anglais ne le croit pas et demande une preuve.
Le Russe baisse donc son pantalon et révèle cinq pénis tous alignés.
Le Russe dit alors :
— Mon nom à moi c’est Bill. Tcherno Bill.
Un Français, avant de partir en guerre, doigte sa femme.
Plus tard, il se retrouve en cellule avec un Russe. Le Français, malheureux, pense a sa femme et sent ses doigts en chuchotant « Madeleine ».
Le russe en face se sent tout le bras et crie : « PETRRRROUCHKA » !
Un général Russe entend au loin : « 1 Ukrainien vaut plus que 10 Russes ! »
Le général envoie 10 soldats tuer l’Ukrainien. Ils ne reviennent pas.
La voix se manifeste à nouveau : « 1 Ukrainien vaut plus que 100 Russes ! »
Le général envoie 100 soldats d’élite. Ils ne reviennent pas.
Pour la troisième fois, la même voix retentit : « 1 Ukrainien vaut plus que 1 000 Russes ! »
Le général envoie 1000 soldats vétérans.
Un seul revient, éclopé et sanguinolent : « C’est un piège ! ils sont deux ! »
Un journaliste fervent catholique de renom vient de mourir et se présente devant Saint-Pierre.
Il remarque installées derrière le maître des lieux une douzaine d’horloges sous lesquelles figurent les noms de plusieurs
personnalités et hommes politiques : « Nicolas Sarkozy » « Benoît XVI »…
Curieux de nature, il n’hésite pas à demander :
— À quoi servent toutes ces horloges, grand Saint-Pierre ?
Saint-Pierre explique aimablement :
— Ce sont les horloges de vie de tous les hommes importants de ce monde. À chaque fois que l’un d’entre eux dit une connerie elle avance d’une heure.
Le visiteur remarque :
— Le Pape, Vladimir Poutine, Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron, et même Bill Gates ! Mais où est celle de Donald Trump ? C’est pourtant l’une des personnes les plus importantes sur terre…
Saint-Pierre, un peu confus, explique :
— Oui ne le répétez pas mais je l’ai installée sur mon bureau. Elle me sert de ventilateur !
Un Russe ivre mort déambule dans les rues de Moscou et, shootant négligemment dans une bouteille vide, fait apparaître un génie qui, selon une tradition bien connue, lui accorde immédiatement un vœu.
L’homme, pas très clair et obsédé par la boisson, rétorque après une brève réflexion :
— OK, génie, comme je veux être en mesure de boire n’importe où et n’importe quand, change mon urine en vodka jusqu’à la fin de mes jours !
Le lendemain, le Russe se lève avec un terrible mal au crâne, va aux toilettes et s’aperçoit que son urine sent la vodka.
Il se rappelle alors l’apparition de la veille et, pour en avoir le cœur net, finit par goûter lui même. Ca marche… Il prévient immédiatement sa femme, fait pipi dans un verre et lui propose de goûter. D’abord dégoûtée, elle cède et finit par admettre que c’est la meilleure vodka qu’elle ait jamais dégustée. Ils boivent plusieurs verres d’affilée et se jurent de remettre ça le soir-même.
En revenant du travail, l’homme va directement à la cuisine, il attrape un verre et le remplit.
Sa femme, vexée de son manque d’attention lui dit :
— Merci de penser à moi. Tu aurais pu me donner un verre !
L’homme réplique :
— Pas besoin, chérie. Ce soir, tu bois à la bouteille…
- Vous savez ce que c’était, le bonheur en URSS ?
- C’est d’être réveillé en pleine nuit par la milice qui demande « C’est ici Ivan Ivanovich » ?, et de pouvoir répondre « non, c’est en dessous »