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Famille (163 blagues)
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- Aucune, les deux sont faits pour les enfants mais c’est papa qui joue avec.
- Quelle est la définition de la femme parfaite ?
- Une blonde idiote, sourde et nymphomane dont le papa possède un bar.
Le vieux Simon ne savait pas trop quoi choisir comme cadeau d’anniversaire pour sa belle-mère.
Finalement, en désespoir de cause, il opta pour l’achat d’une concession funéraire dans un cimetière très huppé de la ville.
Un an plus tard, pour le nouvel anniversaire de sa belle-mère, Simon ne lui achète rien…
La belle-mère ne manque pas de lui faire remarquer son oubli :
— Alors Simon, tu ne m’aimes plus ? Tu n’as plus de considération pour ta belle-maman ?
— C’est à dire belle-maman, je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer que vous ne vous étiez pas servi de mon cadeau de l’année dernière…
Ronald MacDonald, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s’expatrier à Londres pour poursuivre ses études
secondaires.
Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
— Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Ronald ?
— Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la
chambre à ma droite n’arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l’autre côté, tout ce qu’il sait faire c’est hurler et hurler encore !
— Oh mon pauvre Ronald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
— Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste, là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse.
Soirée chez les Gayet…
Julie décide de passer à l’offensive. Un soir, elle se blottit dans les bras du Président en disant :
— Oh !… François, j’ai froid !…
Bon prince, François se lève et remonte le thermostat de plusieurs degrés.
Deuxième tentative : elle se blottit à nouveau :
— François, j’ai encore froid !…
Notre benêt de Président se lève à nouveau, prend dans une armoire une belle couverture et couvre Julie.
À la troisième tentative, Julie se veut plus explicite :
— J’ai encore froid… Je vais te dire un truc : quand maman avait froid, mon père se couchait sur elle !…
Et François de répondre :
— On ne va quand même pas réveiller ton père à cette heure-ci !…
Toto dit à sa maîtresse, en lui rendant son carnet de notes assez médiocre :
— Je ne voudrais pas vous tracasser, mais ce week-end, papa m’a dit que si je n’ai pas des meilleures notes sur mon bulletin le mois prochain, « Y a quelqu’un qui va se prendre un bon coup de pied quelque part… »
Un jour Toto revient de l’école avec des égratignures sur le visage et les mains.
Sa mère lui demande d’un air inquiet :
— Mais, que t’es t’il donc arrivé Toto ?
Toto répond :
— Y’a un autre enfant qui m’a frappé.
La maman :
— C’est pas normal, on doit en parler à la directrice, tu penses que tu le reconnaîtrais si tu le revoyais ?
Toto :
— Ah oui, je vais le reconnaitre, c’est sûr ! J’ai une de ses oreilles dans ma poche et il a un œil au beurre noir !!!
Toto revient de l’école avec un mot de l’instituteur :
« Il serait temps d’apprendre à Toto la différence entre un garçon et une fille ! »
Maman prend Toto par la main l’amène dans sa chambre et lui dit :
— Toto enlève mon corsage !
— maintenant enlève ma jupe
— retire mon soutien-gorge
— et maintenant ma culotte !
— …Bien Toto à partir de maintenant tu mets TES habits !
🔗Voir la blague
Toto traverse le quartier le plus hot de la ville en voiture avec son papa.
— Dis papa, qu’est-ce qu’elles font les dames sur le trottoir ?
Embarrassé, le père s’en tire par une pirouette :
— Elles vendent du bonheur.
Une fois à la maison, Toto se dit qu’il en achèterait bien un peu de bonheur. Il casse sa tirelire, prend son billet de 20 euros et sort de la maison pour aller voir les dames. Une fois rendu dans la bonne rue, il se dirige vers la première dame, lui tend le billet et lui demande un peu de bonheur.
La professionnelle est un peu décontenancée. Elle évite depuis longtemps toute infraction à la loi, mais d’autre part, elle ne peut cracher sur 20 euros en ces temps de crise. Elle ramène Toto chez elle et lui prépare trois tartines avec une bonne couche de Nutella.
Enfin, Toto rentre chez lui, où ses parents inquiets lui demandent où il était passé. Il regarde son père et lui dit qu’il était parti acheter un peu de bonheur auprès des dames qu’il lui avait montrées de la voiture.
Horrifié, le père lui demande ce qui s’est passé et Toto répond :
— Pas de problème avec les deux premières, mais pour la troisième je n’en pouvais plus, alors je l’ai seulement léchée…
Toto rentre à la maison pour dîner, après avoir passé tout le mercredi après-midi dehors.
Sa maman lui demande ce qu’il a fait tout l’après-midi :
— J’ai d’abord joué au foot avec les copains. Ensuite les autres sont partis, alors j’ai été voir Julie. On s’est promis qu’on allait se marier !
La maman trouve son petit Toto adorable, et, ne voulant aucunement se moquer de lui, elle continue :
— Et comment allez-vous faire pour les frais du mariage ?
Toto répond :
— Ben, avec les dix euros que Papa et toi me donnez comme argent de poche chaque semaine, et les 10 euros que Julie récolte chaque semaine elle aussi, ça devrait aller.
Alors le papa demande :
— Ah oui, c’est bien ! Mais comment ferez-vous pour les dépenses supplémentaires si Julie et toi avez un petit bébé ?
Et Toto :
— Ben… Jusqu’ici, on a eu de la chance…