je suis venu, j'ai cliqué,
Pharmacien (24 blagues)
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Un homme se plaint à son ami :
— Mon coude droit me fait vraiment mal. Je crois que je devrais aller voir un médecin.
Son ami de lui répondre :
— Ne fais pas ça ! Il y a un tout nouvel ordinateur à la pharmacie du centre qui peut te diagnostiquer n’importe quoi, bien plus rapidement et pour beaucoup moins cher qu’un médecin. Tu déposes juste un échantillon d’urine, et l’ordinateur diagnostique ton problème et te dit ce que tu dois faire. Et tiens-toi bien, cela ne coûte QUE 2 euros.
Se disant qu’il n’a rien à perdre, l’homme remplit alors un petit récipient avec un échantillon d’urine, et se rend à la pharmacie. Il y trouve l’ordinateur en question, il place l’échantillon et introduit les 2 euros.
La machine se met alors à faire des tas de bruits bizarres, des tas de lumières commencent à clignoter. Après une courte pause, une petite bande de papier sort de la machine. Il y est écrit :
— Vous avez une tendinite au coude droit. Trempez votre bras dans de l’eau chaude. Évitez de le faire trop travailler. Cela devrait aller mieux dans 2 semaines.
L’homme est totalement impressionné ! Plus tard dans la soirée, alors qu’il repense à cette nouvelle technologie incroyable, et à la façon dont elle pourrait révolutionner le domaine médical, il commence à devenir sceptique.
Il se demande si la machine ne pourrait pas se tromper. Il décide alors d’essayer. Il mélange ainsi de l’eau du robinet, un peu d’urine de son chien, d’urine de sa femme et de sa fille. Il retourne à la pharmacie, retrouve la machine, y place le nouvel échantillon et introduit 2 euros.
La machine, comme à son habitude, fait du boucan et clignote de partout puis, imprime l’analyse suivante :
— Votre eau du robinet est trop dure–Faites installer un filtre.
— Votre chien a le tænia–Purgez-le avec un vermifuge adéquat.
— Votre fille se drogue à l’héroïne–Une cure de désintoxication s’impose.
— Votre femme est enceinte–L’enfant n’est pas de vous. Contactez votre avocat.
Un jeune homme entre dans une pharmacie et dit au pharmacien :
— Bonjour, pouvez vous me donner un préservatif. Ma copine m’a invité a diner ce soir et je crois qu’elle attend quelque chose de moi
Le pharmacien lui donne le préservatif et quand il va sortir, le garçon se retourne et lui dit :
— Donnez-moi encore un autre, parce que la sœur de ma copine est très mignonne elle aussi, elle croise toujours les jambes de manière provocante quand elle me voit et je crois qu’elle aussi attend quelque chose de moi.
Le pharmacien lui donne un second préservatif et quand il va sortir le garçon se retourne et lui dit de nouveau :
— Tout compte fait, donnez m’en encore un autre parce que la mère de ma copine a de beaux restes et quand elle me voit, elle fait toujours des allusions… Et comme elle m’a invité à dîner, je crois qu’elle attend quelque chose de moi.
Au dîner, le garçon est assis avec sa copine à sa gauche, la sœur à sa droite et la mère en face de lui.
Quand le père arrive, le garçon baisse la tête et se met à prier :
— « Seigneur, je bénis ce dîner, merci pour ce que tu nous donnes… »
Après une minute le garçon est encore en train de prier.
— Merci Seigneur pour ta bonté…. bla bla bla.
Dix minutes passent et le garçon prie encore, toujours avec la tête baissée. Ils se regardent tous très surpris et la copine plus encore que les autres. Elle se rapproche du garçon et elle lui dit dans l’oreille :
— Je ne savais pas que tu étais aussi croyant
Et il répond :
— Je ne savais pas que ton père était pharmacien !
Un type entre dans une pharmacie à Neuilly et demande :
— Bonjour, je voudrais des préservatifs, s’il vous plaît.
La pharmacienne lui dit à voix basse :
— Excusez-moi, monsieur, mais vu notre clientèle assez conservatrice, nous employons un code pour désigner certains produits. En l’occurrence, celui que vous demandez est nommé « ticket de métro ».
À ce moment, une bonne sœur entre dans la pharmacie.
Le type reprend :
— Bon alors s’il vous plaît je voudrais un « ticket de métro ».
La pharmacienne lui donne un petit sachet et le type s’en va. La bonne sœur demande de l’aspirine et s’en va elle aussi. Puis elle descend dans le métro et voit qu’il y a beaucoup de monde au guichet. Comme elle n’a pas de ticket, elle se dit, pas bête :
— Tiens, vu qu’ils en vendent a la pharmacie, je vais y aller, au moins il n’y a personne.
Elle y retourne et demande :
— Rebonjour mademoiselle, je voudrais un ticket de métro.
— Enfin, ma sœur, pas à vous, je n’oserai pas…
— Mais si, vous me rendriez un grand service, car si vous saviez la queue qui m’attend en bas !
Un vieux de soixante piges présente son ordonnance au pharmacien pour l’achat de viagra.
Une fois servi, il prend les comprimés et demande au pharmacien de patienter le temps d’aller acheter de la viande en face : il reviendra payer.
Une fois servi chez le boucher, il lui demande de patienter le temps d’acheter des légumes et fruits en face pour revenir le payer et ainsi de suite chez tous les commerçants de la rue. Et finalement, il se tire sans payer personne.
Le lendemain, un vieux du même âge se présente chez le pharmacien avec une ordonnance pour du viagra et demande :
— J’espère que c’est efficace comme médicament.
Et le pharmacien lui rétorque :
— Pour ça, je peux vous dire qu’hier un homme de votre âge a eu le même médicament ; il m’a baisé, a baisé le boucher, le commerçant d’à côté !