je suis venu, j'ai cliqué,
Fermier (22 blagues)
Voir aussi :
Une jeune journaliste ambitieuse décide d’aller enquêter sur le sujet de la vache folle. Elle part au fin fond de la campagne où, parait-il, un vieux fermier a trouvé l’origine de cette maladie :
— Bonjour monsieur.
— B’jour ma p’tite dame
— Il parait que vous savez pourquoi les vaches attrapent cette terrible maladie ?
— Ben oui, vous n’êtes pas sans savoir madame que l’on présente une fois dans l’année le taureau aux vaches !
— Oui je sais, mais je ne vois pas en quoi cela a rapport avec la maladie.
— Vous n’êtes pas sans savoir non plus que l’on trait les vaches deux fois par jour.
— Effectivement, mais je ne saisis toujours pas le rapport…
— Ben si on vous pelotait les seins deux fois par jour et qu’on vous sautait qu’une fois par an, vous ne deviendriez pas folle ?
Un éleveur de poulet entre dans le bar de son village… Il s’assied à côté d’une femme et commande un verre de champagne.
La femme dit :
— Comme c’est bizarre ? Je viens de commander un verre de champagne aussi !
— Quelle coïncidence, dit le fermier, c’est un jour spécial pour moi… je le célèbre.
— C’est un jour spécial pour moi aussi, je le célèbre aussi ! dit la femme.
— Quelle coïncidence ! dit le fermier.
Comme ils trinquent l’homme demande :
— Que célébrez-vous donc ?
— Mon mari et moi avons essayé d’avoir un enfant depuis des années, et aujourd’hui mon gynécologue m’a annoncé que j’étais enceinte !
— Quelle coïncidence, dit l’homme, je suis un éleveur de poulets et pendant des années toutes mes poules ont été infertiles, mais aujourd’hui, elles se sont toutes mises à pondre des œufs fécondés.
— C’est génial ! dit la femme. Comment avez vous fait pour que vos poulets deviennent fertiles ?
— J’ai utilisé un autre coq, répond-il.
La femme sourit et dit :
— Quelle coïncidence…
Un étudiant en agriculture dit à un fermier :
— Vos méthodes sont vraiment trop arriérées : ça m’étonnerait que cet arbre vous donne plus de 10 kilos de pommes par an.
— Moi aussi, répond le paysan. C’est un poirier !
Un fermier américain vient de perdre son valeureux coq. Il se rend alors au marché mais arrive un peu tard, malheureusement. Il commence à regarder les coqs qui restent mais il n’y en a plus qu’un, maigrichon, à demi affalé sur le bord de sa cage. Il s’avance vers le propriétaire et lui demande :
— Combien vous demandez pour le coq ?
— 500$
— 500$ !!! Êtes-vous malade ???
— Ho là, attention l’ami. Ce coq est l’un des plus grand spécimen de son espèce. Ce qu’il est capable de faire à vos poules, aucun coq n’est capable de le faire.
Se disant qu’il n’a rien à perdre, notre fermier paie et emporte son coq.
Rendu chez lui, il le lâche dans sa basse-cour, puis va nourrir les animaux de l’étable. Soudain, il entend un vacarme épouvantable : v’la ti’pa que le coq est train de baiser les poules à un rythme infernal ! Après sa baise incroyable, le coq tombe par terre, yeux clos.
Le fermier, en grogne, se dit :
— Bon, je me suis encore fait avoir ! Ce coq ne vaut déjà plus rien !
Le lendemain, au réveil, le fermier entend encore un vacarme épouvantable venir de la ferme. Il regarde à la fenêtre et voit son coq en train de se faire les lapins et les dindons ! Encore une fois, après sa baise incroyable, le coq tombe par terre, yeux clos.
Le fermier, en grogne, se dit :
— Bon, cette fois c’est sûr, je me suis encore fait avoir ! Ce coq ne vaut rien !
Le surlendemain matin, même scénario. Le coq saute tout ce qui bouge dans la ferme : vache, cochon, poulet… puis s’effondre. Les vautours commencent alors à tourner autour de la ferme dans le ciel. Le fermier arrive au pas de course et se met à hurler :
— Mon pauvre coq ! Mon Dieu,…
Puis le coq ouvre un œil, pointe une aile vers le ciel puis dit tout bas au fermier :
— TSSSS ! Ta gueule ! Tu vas les effrayer !
Un fermier Auvergnat, dans son C15, s’en va chez un de ses voisins et frappe à la porte.
Un garçon d’environ 9 ans ouvre la porte.
— Est-ce que ton père est là ?
— Non Monsieur, il est parti à saint Flour.
— Est-ce que ta mère est là ?
— Non Monsieur, elle est avec mon père à la ville.
— Et ton frère lui, est-il ici ?
— Non Monsieur, il est allé au bois du Fayard avec le tracteur.
Le fermier reste planté là pendant quelques minutes maugréant entre ses dents.
— Si c’est pour emprunter quelque chose Monsieur, je sais où sont les outils ou je peux transmettre un message si ça peut vous aider.
— Bon, dit le fermier, j’aurais vraiment voulu parler à ton père à propos du fait que ton grand frère a mis ma fille Suzie enceinte.
Le garçon réfléchit un moment et dit :
— Alors là, pour sûr qu’il va falloir parler de ça avec mon père. Je sais qu’il prend 40 euros pour le taureau et 20 euros pour le bouc, mais pour mon frère, je ne sais pas le prix.
Un fermier décide d’aller au cinéma…
Le vendeur de billets lui demande ce qu’il a sur son épaule ?
Le vieux fermier répond :
— C’est mon poulet « Chuck » c’est mon ami… Partout ou je vais Chuck vient aussi !
— Je suis désolé mais votre poulet ne peut pas entrer. Les animaux sont défendus dans le cinéma…
Le vieux fermier sort se cacher derrière dans la ruelle et met son poulet dans son pantalon.
Il retourne acheter un billet. Il entre dans le cinéma et s’assoit à coté de deux veuves d’un certain âge.
Le film commence et le poulet à chaud dans le pantalon. Alors le vieil homme détache son pantalon afin que le poulet puisse sortir sa tête.
Une des deux vieille assise à coté dit a son amie :
— Marge…
Marge lui répond :
— Quoi ?
— L’homme assis à coté de moi est un gros pervers.
Marge demande :
— Pourquoi tu dis ça ?
Elle lui chuchote :
— Il a ouvert son pantalon et son engin sort !
Mage lui répond :
— Ne t’en fait pas, à ton age tu en a vu d’autres !
— C’est ce que je pensais aussi… Mais celle là est spéciale. ELLE MANGE MON POP-CORN !
Un fermier se retrouve à l’hôpital avec une jambe cassée.
L’interne de garde lui demande :
— Comment est-ce arrivé ?
Le fermier commence :
— Eh bien, il y a 25 ans…
L’interne l’interrompt :
— Dites-moi simplement comment vous vous êtes cassé la jambe ce matin !
Le fermier répond :
— Je vous le disais, il y a 25 ans, je travaillais comme journalier dans une ferme de la région.
La nuit juste après que je sois couché, la fille du fermier est entrée dans ma chambre.
Elle m’a demandé si je n’avais besoin de rien. je lui ai répondu que tout allait bien. Elle m’a demandé si j’étais vraiment sûr, et là je lui ai répondu oui oui, je vous remercie…
L’interne reprend la parole et demande :
— Mais je ne vois pas très bien ce que cette histoire a à voir avec votre jambe ?
— Bien, ce matin, je réparais mon toit, j’ai finalement compris ce qu’elle avait voulu dire et je suis tombé par terre !
C’est l’histoire d’un notaire dans sa grosse cylindrée qui grille un feu rouge et percute une voiture. L’autre voiture est une fourgonnette, conduite par un agriculteur.
Comme souvent dans ces cas là, ce n’est pas celui qui est dans son droit qui gueule le plus fort… Ici, c’est le notaire qui commence à insulter le paysan pour ne s’être pas arrêté. Un comble !
Mais le paysan ne s’en fait pas pour autant. Il dit au notaire :
— Bah, restez calme ! On verra plus tard pour les dégâts à nos voitures. Le plus important, c’est quand même que ni vous ni moi ne soyons blessés ! Je suis viticulteur et aujourd’hui, j’allais livrer des bouteilles de muscat à un restaurateur. Je vous propose de trinquer avec moi pour nous remettre de nos émotions. Il doit bien rester une bouteille qui ne s’est pas cassée, là, derrière…
Alors le viticulteur passe à l’arrière de la camionnette et en ressort avec une bouteille. Il la tend au notaire, qui ne proteste pas et s’en prend une bonne gorgée.
Puis le notaire dit :
— Mais vous ne trinquez pas avec moi ?
Alors le fermier répond :
— Non, je pense que je vais plutôt attendre que les gendarmes arrivent…
Un Parisien a repéré une maison de campagne et s’apprête à l’acheter lorsqu’il voit des ruches au fond du champ. Il dit alors au paysan-vendeur :
— Vous comprenez, j’ai des enfants et je ne peux pas me permettre de leur faire prendre le risque de se faire piquer par une abeille ! Il faudrait enlever les ruches !
Le paysan répond ouvertement :
— Mes abeilles n’ont jamais piqué qui que ce soit ! Tenez, je vous propose un truc, je vous attache tout nu à l’arbre pendant une heure et si une seule abeille vous pique, la maison je vous la donne !
Le type se dit qu’une heure, c’est vite passé et que le jeu en vaut la chandelle.
Une heure après, le paysan retourne voir le parisien et le voit tout pâle, fatigué, épuisé… et s’écrie :
— NOM DI DIOU !!! Elles vous ont piqué ?
— Oh non ! répond le parisien. Elles ont été sympa les abeilles… mais le petit veau, dites-moi, il y a longtemps qu’il a perdu sa mère ???
Un paysan s’arrête au garage du coin pour faire réparer sa camionnette.
On ne peut pas la lui faire immédiatement ! Il se dit alors qu’il n’habite pas loin et qu’il va rentrer à pied.
Sur le chemin du retour, il s’arrête dans une boutique et achète un seau et cinq kilos de peinture. Puis il s’arrête dans une autre boutique et prend deux poules et une oie.
Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu’à la maison ? Pendant qu’il se gratte la tête, une petite vieille s’approche de lui et lui dit qu’elle est perdue…
— Pouvez-vous me dire comment aller au 160 Allée de Partington ?
— Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n’arrive pas à porter tout ceci.
— Pourquoi ne mettez-vous pas la peinture dans le seau ? Portez le seau d’une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l’oie dans l’autre main ?
— Bonne idée !
Et le paysan se met en route avec la vieille dame.
En cours de route, il dit :
— Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier. Nous y serons en un rien de temps.
La petite vieille le regarde attentivement :
— Je suis une veuve sans personne pour me défendre… Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n’allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?
— Cré vingt dieux, ma petite dame, je porte un seau, 5 kg de peinture, deux poules et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ?
— Posez l’oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la peinture sur le seau, et je tiendrai les poules…