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Animaux (44 blagues)
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- Qu’est ce qui fait 999 fois « TIC » et 1 fois « TOC » ?
- Un mille pattes avec une jambe de bois.
Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un bœuf, têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l’autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.
Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat ! Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l’a certifié : « Cette poule a du chien, Une vraie panthère ! » C’est sûr, vous serez un crapaud mort d’amour.
Mais tout de même, elle vous traite comme un chien. Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. Bon, dix minutes de retard, il n’y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion, est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. Vous restez muet comme une carpe. Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l’âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de crocodile.
Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon !
- Sais-tu pourquoi les éléphants femelles ont une trompe ?
- Parce que les moutons n’ont pas de ficelle.
Toto suit son cours de Biologie à l’école.
Le professeur est en train d’expliquer une des curiosités de la nature, à savoir que seuls les humains bégaient. Aucun autre animal ne possède de tels troubles de l’élocution.
Toto, en désaccord, intervient :
— Monsieur, Monsieur, c’est pas vrai. Moi je connais au moins un animal qui bégaie !
— Ah oui ? fait le prof étonné. Et quel est cet animal ?
— Ben, en fait, c’était mon chat : l’autre jour, je jouais avec lui sous la véranda et le Rottweiler du voisin s’est rapproché, alors mon chat a commencé à faire « ffffffffff ! ffffffffffff ! ffffffffff ! » et avant qu’il puisse dire « FOUS LE CAMPS ! » eh bien, le chien l’avait mangé !
Trois petites chattes assoiffées marchent au bord d’une route.
Au détour d’un virage, elles voient une grande flaque d’eau en plein milieu de la route.
La première chatte s’approche tout doucement, trempe à peine les babines lorsqu’un semi-remorque débarque et PAF la chatte.
La deuxième s’approche, trempe les deux pattes avant et commence à boire lorsqu’un semi-remorque débarque et PIF la chatte.
La troisième arrive, se jette toute entière dans la flaque, boit à pleines gorgées et POF la chatte.
Les trois petites chattes se retrouvent donc devant saint Pierre :
— Toi, la première, que t’est-il arrivé ?
— J’étais en train de boire sur la route quand un camion est arrivé et PAF.
— OK, tu iras au paradis. Et toi que t’est-il arrivé ?' dit Saint Pierre s’adressant à la deuxième.
— Pareil, je me suis approchée, j’ai trempé les deux pattes et PAF.
— Ah ! Ce n’est pas très bien ça, tu retourneras sur terre comme fantôme. Toi la dernière, que t’est-il arrivé ?
— Pareil que les deux autres, j’ai plongé dans la flaque pour boire et PAF.
— QUOI, mais c’est honteux tu iras en ENFER !
Moralité : plus la chatte est mouillée, plus les saints sont durs.
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Un concurrent du Paris Dakar tombe en panne avec sa voiture dans le désert.
Il a beau chercher la panne, il ne trouve pas. Il est seul…
Tout à coup, un cheval se trouve à côte de lui.
— Salut, t’es en panne ? lui demande le cheval.
L’homme croit rêver. C’est le début de la folie, se dit-il.
— Pas de problème, lui dit le cheval en plongeant la tête sous le capot pour examiner le moteur.
Quelques bruits métalliques sortent de devant le capot, puis la voix du cheval reprend :
— Mets-toi au volant et tourne la clé.
Le mec s’exécute. Tourne la clé, le moteur démarre du premier coup. Sans demander son reste il fonce jusqu’au premier village. Arrivé là, il s’arrête devant le premier bistrot et réclame une bière. Au barman qui le sert, il raconte son histoire. Sans broncher, le barman retourne à ses occupations. Alors notre homme se tourne vers un autre consommateur à qui il raconte à nouveau son aventure.
— De quelle couleur était le cheval ? lui demande le type
— Blanc, tout blanc !
Le type finit son verre, lui tape sur l’épaule,
— On peut dire que vous avez eu de la chance, si vous aviez rencontré le cheval noir vous seriez toujours là bas en train de mourir de soif…
— Pourquoi ? demande l’homme affolé.
— Le cheval noir ? il est nul en mécanique
Une maman dromadaire et un bébé dromadaire discutent des choses de la vie :
— Maman, pourquoi est-ce que j’ai ces énormes pieds avec trois orteils ?
La maman dromadaire répond :
— Eh bien, c’est pour ne pas s’enfoncer, lorsqu’on traverse les immensités désertiques.
— Ah ! D’accord, répond le fils.
Quelques minutes plus tard, le fils demande à nouveau :
— Maman, pourquoi est-ce que j’ai de si longs sourcils ?
— Ces sourcils sont là pour empêcher le sable de passer sous les paupières, lors des tempêtes de sable.
— Ah ! D’accord maman, répond le fils.
Un peu plus tard, le petit dromadaire revient à la charge :
— Dis maman, pourquoi est-ce que l’on a cette grosse bosse sur le dos ?
La maman dromadaire, lassée de toutes ces questions, répond tout de même :
— La bosse nous sert à stocker l’eau, pour nos longues courses dans le désert. C’est grâce à elle qu’on peut se priver de boire pendant plusieurs dizaines de jours !
— D’accord maman : si je comprends bien, on a des pieds très larges pour ne pas s’enfoncer dans le sable, de longs sourcils pour ne pas avoir les yeux irrités par le sable, et une bosse sur le dos pour pouvoir stocker de l’eau lors des longues courses dans le désert… Mais alors, maman, dis-moi une chose…
— Oui, mon fils ?
— Qu est-ce qu’on fout ici, dans le zoo de Vincennes ?
Un explorateur, coursé par un lion, trébuche et tombe. Il prie à voix haute :
— Dieu, faites que ce lion ait une pensée Chrétienne !
Et le lion de répondre :
— Dieu, bénissez ce repas.
Un loup arrive derrière un petit lapin :
— Prépare-toi à mourir lapin
— Attends ! J’ai une femme et des petits.
— Moi aussi. C’est la loi de la nature. J’ai faim !
— Ah… On s’est mal compris… Je voulais dire, mange-les à ma place.
Un poulpe raconte à un de ses congénères :
— J’ai fait l’amour toute la nuit avec une poupée gonflable qu’un marin avait dû jeter par dessus bord depuis son bateau
— Fais-la voir, ta poupée gonflable ?
— Tiens, dit le poulpe. Les écossais ont même un nom pour elle : une cornemuse.