je suis venu, j'ai cliqué,
Allemand (33 blagues)
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Un pilote de bombardier anglais qui se fait descendre par la D.C.A. allemande au cours de la seconde guerre mondiale.
On l’emmène à l’hôpital où il s’avère que sa jambe droite a subi de très gros dégâts. Seule l’amputation permettra de lui sauver la vie. L’anglais reste stoïque lorsqu’on lui annonce la nouvelle, mais il demande simplement à ce que son membre amputé soit expédié sur le sol anglais. C’est pourquoi il demande aux allemands si un de leurs pilotes ne pourrait pas emmener la jambe dans le cockpit d’un avion pour le balancer au cours du prochain raid sur Londres. Les allemands trouvant l’idée très amusante, la jambe est emportée dans un bombardier dès le lendemain.
Une semaine plus tard, il s’avère que la main du pilote anglais est sérieusement contaminée par un staphylocoque doré de la pire espèce. Une fois encore, la seule option est l’amputation. Comme la première fois, le pilote anglais est d’accord sous réserve que la main soit balancée sur le sol anglais. Et le lendemain, la main est balancée en même temps que les bombes au dessus de Londres.
Mais deux semaines plus tard, c’est la deuxième jambe du pilote qui donne des signes de faiblesse (encore ce bon vieux Staph). Le pilote anglais s’apprête déjà à donner son accord pour l’amputation, mais cette fois-ci, les autorités militaires allemandes répondent NON, pas question !
Le pilote anglais, perplexe, leur demande pourquoi ce revirement de situation. Et les Allemands répondent :
— Nous pensons que vous cherchez à vous échapper.
Un type se balade avec un énorme chien jaune. Il croise un copain et lui demande :
— Il est moche ton chien, il est tout pelé ! Où l’as-tu trouvé ?
— C’est un copain qui me l’a donné.
— Il a l’air costaud, tu crois qu’il peut se battre contre mon berger allemand ?
— Je veux !
Et ils mettent les deux bêtes face à face. En moins d’une minute, le chien jaune a dévoré le berger allemand.
— Mais c’est dingue ! C’est quoi comme race ?
— Je ne sais pas. Quand mon copain me l’a ramené d’Afrique, il avait une crinière, mais c’était moche, alors je l’ai tondu…
Un vieux monsieur va se confesser.
Il rentre dans le confessionnal et le curé commence :
— Allez-y mon fils. Confessez vos péchés…
— Eh bien voilà mon Père. Ce que j’ai à vous avouer n’est pas joli joli… Pendant la guerre de 39-45 j’ai reçu la visite dans la ferme d’une jeune fille juive qui voulait se cacher des Allemands. Alors je l’ai cachée dans mon grenier et comme ça, ils n’ont jamais pu la trouver.
— Mais c’est très bien ça ! C’est même un acte de résistance. Ce n’est pas un péché et ça pourrait même vous valoir une médaille…
— Mais je n’ai pas fini, mon Père… À l’époque, j’étais jeune, plutôt viril, si vous voyez ce que je veux dire… Alors je lui ai dit qu’en échange de cette cachette que je lui offrais, elle devrait m’accorder ses faveurs… sexuellement parlant…
Le curé réfléchit une minute puis reprend :
— Eh bien, les temps étaient vraiment difficiles, et puis vous preniez vraiment un très gros risque en la cachant chez vous… Je suis sûr que Dieu dans son infinie sagesse et sa grande bonté saura reconnaître en vous l’âme charitable plutôt que le simple profiteur d’une situation dramatique…
— Oh merci mon Père. C’est un gros poids sur ma conscience que vous me retirez. Est-ce que je peux vous poser une autre question ?
— Mais bien sûr, mon fils.
— Est-ce que je dois lui dire maintenant que la guerre est terminée ?