je suis venu, j'ai cliqué,
Perroquet (12 blagues)
Voir aussi :
Un représentant qui rentre de tournée entend un de ses deux perroquets répéter d’une voix langoureuse :
— Embrasse-moi, chéri !
Fou de jalousie, il flanque une correction à sa femme et le lendemain, repart pour ses affaires.
À son retour, le perroquet dénonciateur a disparu, emporté par un coup de chaleur selon sa femme. Voulant en avoir le cœur net, le représentant interroge le volatile survivant :
— Dis-moi ce qu’il s’est passé !
— Je ne parlerais, répond le perroquet, que loin du four et en présence de mon avocat.
Un type entre dans un magasin d’animaux, fait un tour et passe devant un perroquet sans pattes.
Il dit tout haut :
— Eh ben, qu’est-il arrivé à ce perroquet ?
— Je suis né comme ça…
— Eh, on dirait qu’il a compris ce que je disais, et qu’il a répondu !
— Je comprends chaque mot. Je suis terriblement intelligent et très cultivé
— Ah ouais ? Et bien explique-moi comment tu tiens sur ta perche ?
— C’est à dire… c’est un peu embarrassant… Comme je n’ai pas de pattes, je me sers de mon petit zizi de perroquet comme d’une sorte de crochet. Tu ne peux pas le voir à cause de mes plumes.
— Wow, dit le gars, alors comme ça, tu peux vraiment comprendre et répondre à ce qu’on te dit ?
— Je parle couramment plusieurs langues, et je peux tenir une conversation sur des sujets divers : politique, religion, économie, physique, philosophie… Bien sûr, je suis assez calé en ornithologie. Tu devrais m’acheter, je serais un compagnon très agréable.
Le gars regarde le prix
— 2 500 euros, c’est cher, mais bon tu vaux ton prix !
Il rentre chez lui. Les semaines passent et le petit perroquet sans pattes est fantastique. Il est amusant, intéressant, un bon copain, il comprend tout, sympathise avec les problèmes de son maître et est de bon conseil.
Un jour, le type revient du boulot. Le perroquet, en dessous du fauteuil, l’appelle :
— Psst !!!
Il approche, et le perroquet dit à voix basse :
— je ne sais pas si je devrais te dire ça, mais ta femme et le facteur, ben euh…
— Quoi, ma femme et le facteur ?
— Chuuttt ! Ben, quand le facteur est passé ce matin, ta femme lui a ouvert, vêtue seulement d’une chemise de nuit quasi transparente, l’a fait entrer et elle l’a embrassé sur la bouche.
— Quoi ? Et puis, qu’ont-ils fait ?
— Il a soulevé sa chemise de nuit et l’a caressée sur tout le corps…
— Hein ? Et puis, qu’a-t-il fait ?
— Il a commencé à lui lécher les seins, puis le ventre, puis s’est mis à genoux et lui a embrassé le bas-ventre…
— Quoi ? Et puis ? Qu’a-t-il fait ? Réponds !
— … Je ne sais pas, j’ai commencé à bander et je suis tombé !