je suis venu, j'ai cliqué,
Juge (18 blagues)
Voir aussi :
Le juge : Vous rendez-vous compte de l’horreur de vos actes !!! Vous avez violé à trois reprises une morte !!!
L’accusé : Je vous demande pardon, Monsieur le juge, mais je pensais sincèrement que c’était une Anglaise…
Lettre d’un automobiliste flashé à 250 km/h sur une portion de route limitée à 70 (en France)
Monsieur le Juge,
J’ai effectivement bien vu le marquage « 70 » en noir cerclé de rouge sur le panneau sans autre indication d’unités. Vous savez que la loi du 4 juillet 1837 rend obligatoire le système métrique en France et que le décret n°65-501 du 3 mai 1961 modifié pris en application des directives européennes définit comme UNITÉS DE BASE LÉGALES les unités du système international (S.I.).
Vous pouvez vérifier tout cela sur le site du gouvernement :
http ://www.industrie.gouv.fr/metro/aquoisert/si.htm
Or dans le système S.I. l’unité de longueur est le « mètre » et l’unité de temps la « seconde ».
Il est donc évident que l’unité de vitesse LÉGALE est alors le MÈTRE PAR SECONDE.
Je ne peux pas imaginer une seconde que le Ministère de l’Intérieur n’applique pas les lois de la République.
Donc 70 m/s cela correspond très exactement à 252 km/h. Les policiers affirment que j’ai été chronométré à 250 km/h et je ne le conteste pas. J’étais donc bien à 2 km/h sous la limite autorisée.
Merci d’en prendre bonne note, de me rendre mon permis et de me laisser repartir.
Requête rejetée…
🔗Voir la blagueMatéo se rend chez le juge en compagnie de ses parents qui divorcent, pour savoir avec qui il veut vivre.
Le juge lui demande :
— Alors petit, veux-tu aller vivre avec ta maman ?
— Non, elle me bat.
— Alors tu veux aller vivre avec ton père ?
— Non, papa me bat aussi.
— Mais dans ce cas… avec qui veux-tu aller ?
— Avec l’équipe de France, eux ils ne battent jamais personne.
Président du Tribunal : Madame, voudriez-vous nous dire votre âge ?
Gentille Vieille Dame : Bien sûr. J’ai 91 ans.
PTribunal : Voulez-vous nous dire, sans vous contrarier,ce qui vous est arrivé ?
GVDame : J’étais assise devant chez moi, sous la tonnelle. C’était un soir de printemps, il faisait bon. Un jeune homme s’est approché furtivement, et il est venu s’asseoir auprès de moi.
PTribunal : Le connaissiez-vous ?
GVDame : Non, mais je l’ai trouvé sympathique tout de suite.
PTribunal : Qu’est-il arrivé ensuite ?
GVDame : Il a commencé à me caresser la cuisse.
PTribunal : Et vous ne l’avez pas interrompu ?
GVDame : Non, Monsieur le Juge.
PTribunal : Pourquoi donc ?
GVDame : Ben… C’était agréable. Personne ne m’avait fait ça depuis trente ans.
PTribunal : Et ensuite ?
GVDame : Il a commencé à me caresser les seins.
PTribunal : Vous lui avez dit d’arrêter ?
GVDame : Non, pas du tout.
PTribunal : Pourquoi ça ?
GVDame : Bien, Monsieur le Juge. Ses caresses m’ont fait revivre. J’étais excitée. Je ne m’étais pas sentie aussi bien depuis des lustres !
PTribunal : Et ensuite ?
GVDame : Bon, je me sentais tellement sexy. Que j’ai écarté mes vieilles jambes et que je lui ai dit : « Prenez-moi, jeune homme, prenez-moi ! »
PTribunal : Qu’a-t-il fait alors ? Il vous a prise ?
GVDame : Nom de Dieu, que non ! Il s’est mis à gueuler « Poisson d’avril ! » en ricanant comme un con. Et c’est là que je l’ai descendu, ce petit enfoiré !
Tout le monde étant en état d’ébriété avancée, la fête de mariage avait tourné court. À l’issue du repas, les représentants masculins des deux familles concernées en étaient venus aux mains.
La police avait finalement embarqué tout le monde et la semaine d’après, une dizaine d’hommes passaient devant le juge.
La rixe se poursuit jusque dans la salle d’audience jusqu’au moment où le juge frappe un grand coup de marteau pour calmer tout le monde. Il prend alors la parole :
— Qui peut m’apporter une explication plausible à ce qui s’est passé ?
Un homme, avec des bandages partout, se lève et raconte :
— Moi, j’étais le témoin du marié et je peux tout expliquer. Dans notre tradition, c’est toujours le témoin qui ouvre le bal avec la mariée. J’ai donc dansé avec elle une première fois, puis comme les chansons se sont enchaînées, j’ai fait la deuxième danse, et puis la troisième… Je pense que ça a dû énerver le père de la mariée car à la quatrième danse, il a adressé un coup de pied brutal dans l’entrejambe de sa propre fille…
Le juge, médusé, remarque :
— Ouah ! C’est que ça a dû faire très mal ? !
Et le témoin explique :
— M’en parlez pas, cet abruti m’a cassé trois doigts !
🔗Voir la blagueUne prostituée est convoquée devant le tribunal correctionnel pour racolage sur la voie publique.
— Votre nom et prénom, demande le juge.
— Alors… tu ne me reconnais plus mon gros loulou ?