je suis venu, j'ai cliqué,
Corse (13 blagues)
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Un touriste à Ajaccio prend contact avec l’autochtone :
— C’est un bien beau pays que vous habitez là.
— Ouais… on peut dire comme ça.
— Et de la belle terre… bien grasse… fertile.
— Peu ! Pensez-vous… y à rien qui pousse ici.
— Vous me surprenez. Je suis moi même agriculteur sur le continent et je suis sûr que ici, si on plante,…
— Ah ben évidement, si on plante, alors…
Un vieux Corse est sur le point de mourir. Il dit à ses trois fils :
— Je donnerai toute ma fortune au plus fainéant de vous trois.
Alors, il appelle le premier, et il dit :
— Mon fils, tu as très faim et tu vois un énorme sandwich par terre, qu’est ce que tu fais ?
— Je ne le ramasse pas, je suis trop fainéant.
Il appelle le second et lui dit :
— T’as plus d’argent et tu vois un beau billet de 500 euros par terre. qu’est ce que tu fais ?
— Je ne le ramasse pas, je suis trop fainéant.
— Serge (c’est le nom du dernier), viens ici !
— Ah non papa ! C’est toi qui vient ici ! Moi je suis trop fainéant !
Vers Corte, un berger et son épouse ont créé une table d’hôtes avec gîte attenant.
Après un séjour de trois jours où la maîtresse de maison l’a choyé tant au point de vue nourriture que pour tout son petit confort, un client parisien demande au berger :
— Comment faites-vous, en Corse, pour avoir des femmes aussi chaleureuses, douces et bien élevées ? Chez nous, à Paris, on ne peut rien leur demander. Elles sont agressives et stressées… enfin, rien à voir avec les femmes d’ici !
Là, le berger lui répond tout naturellement, avec un bon accent :
— On les élève bio comme les sangliers : au gland et à la châtaigne.